Les prix du café pourraient augmenter à la rentrée

En cause notamment les mauvaises récoltes liées à la sécheresse et au gel alors que la demande, elle, est toujours plus forte

Attention, boire un café pourrait bientôt vous coûter plus cher. D’après BFM TV, les industriels du secteur ont prévu d’augmenter les tarifs. La mauvaise récolte cette année liée à la sécheresse et au gel, comme au Brésil, premier producteur mondial, est en cause, tout comme la hausse des coûts de transport. Ce contexte influe ainsi sur le cours de l’arabica et, dans une moindre mesure du robusta.

Dans le même temps, la consommation de café ne baisse pas, surtout depuis la réouverture des bars et restaurants. De plus, de nouveaux consommateurs en Asie font leur apparition.

Une répercussion sur les prix
Même si les prix augmentent ou que les récoltes sont mauvaises, le café aura toujours des consommateurs. Ainsi, le marché mondial du café devrait augmenter de 9 % par an au cours des trois prochaines années et dépasser les 400 milliards de dollars, d’après Starbucks, cité par BFM TV.

Le géant américain a précisé que la « tarification sera l’un des nombreux leviers » utilisés « pour compenser ces vents contraires ». Même son de cloche chez Nestlé et ses marques Nescafé et Nespresso. Selon la chaîne d’information, la hausse des prix est déjà là : la livre de café Arabica a atteint des niveaux jamais vus depuis 2014. Par exemple, la livre de café colombien s’élevait en juillet les 2,2 dollars contre 1 dollar à la même époque l’an passé.

Crème Brûlée Caramel Fleur de Sel

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Aujourd’hui je vous propose une recette de crème brûlée au caramel et à la fleur de sel : crémeuse et onctueuse, elle sera parfaite pour un petit dessert gourmand facile et rapide à réaliser afin de changer de la recette traditionnelle !

Les ingrédients :

  • 125g de sucre
  • 250g de crème liquide entière (35%)
  • 300g de lait entier
  • 3g de fleur de sel
  • 5 jaunes d’œufs (100g)
  • 45g de cassonade pour caraméliser

L’étiquette de ce vin présente son vieillissement avec créativité

Ce n’est pas tous les jours que l’on découvre des idées marketing intéressantes dans le monde du vin, alors quand on tombe sur une initiative originale dans le domaine du packaging et du vin, on se fait un plaisir de vous la partager. Aujourd’hui, on part pour l’Espagne afin de vous présenter le vin Matsu et ses étiquettes originales.

Mis au point par la Maison Vintae, Matsu est un joli projet viticole qui mêle philosophie et créativité. Le nom “Matsu” signifie “Attendre” en japonais et rend hommage aux valeurs du temps et à la philosophie non-interventionniste et éco-responsable d’un vignoble digne de ce nom.

Mais ce qui nous intéresse le plus dans ce vin, ce sont ses étiquettes. Le vin Matsu se compose de 4 bouteilles différentes dont l’étiquette fait apparaître un visage en gros plan. Vous avez compris l’idée, l’étiquette évolue selon le vieillissement du vin et on a ainsi 3 produits distincts : Le Brut (2 mois d’élevage sur lies en cuve béton), La Récio (14 mois en fûts de chêne français) et enfin Le Vieux (16 mois en barriques neuves de chêne français).

La 4ème bouteille baptisée La Cheffe est un vin blanc et offre une étiquette féminine d’un vieillissement comparable au Récio (14 mois). Pour mieux visualiser le concept, on vous invite à regarder les photos ci-dessous. Et si jamais vous souhaitez en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel de Matsu.

Enfin, si vous aimez les innovations marketing autour du vin, on vous recommande l’idée de ce vignoble qui vend des bouteilles avec une nappe de la même couleur pour masquer les (futures) taches ou encore la société Garçon Wines qui produit des bouteilles de vin plates pour les livrer dans votre boîte aux lettres.

Le Brut

2 mois d’élevage sur lies en cuve béton.

La Récio

14 mois en fûts de chêne français et oriental de seconde utilisation.

Le Vieux

16 mois en barriques neuves de chêne français.

La Cheffe

14 mois en bocoyes (grands fûts) neufs de chêne français de 600 litres, légèrement toastés.



10 recettes de cuisine à base de chanvre et CBD


Molécule dérivée du cannabis, le CBD a la particularité de ne provoquer aucune réaction psychotrope, contrairement au THC. Sa consommation est ainsi autorisée en France, à condition toutefois que le taux de THC soit inférieur à 0,2 %.

Le CBD est privilégié pour ses propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et antistress. Il est proposé sous des formes variées. Il peut même s’utiliser en cuisine. Pour ceux qui souhaitent essayer, voici 10 recettes à base de CBD et de chanvre à tester !

Comment utiliser le CBD et le chanvre en cuisine ?
Le CBD est un ingrédient qui apporte de l’exotisme en cuisine. Plusieurs utilisations sont alors possibles selon le produit. Les consommateurs peuvent opter pour :

  • Les huiles de CBD (à utiliser dans les sauces, les marinades ou pour la préparation des desserts)
  • Les feuilles et les fleurs de chanvre séchées (à saupoudrer sur la viande ou pour compléter les ingrédients d’une salade)
  • Le pollen.

Le CBD est parfait pour faire un bouillon ou pour donner du goût à un fromage blanc. Il peut également être mélangé avec du yaourt. Son utilisation en cuisine permet de profiter de ses bienfaits tout en donnant une saveur authentique aux plats. Il suffit d’avoir la bonne combinaison et de bien doser.

Préparer un space cake avec du CBD
Il convient également de savoir que l’huile ou la poudre de CBD peut remplacer le cannabis dans un space cake. La préparation de base reste la même, avec du chocolat, de la farine, du sucre et des œufs.

Une salade d’été à base de CBD
Une salade d’été au CBD est l’idéal pour se rafraîchir face à la chaleur estivale. Les ingrédients se choisissent selon le goût de chacun. La poudre ou l’huile confèrera une vertu antistress à la préparation.

Pâte au pesto et au CBD
L’huile à base de cannabidiol peut être utilisée pour préparer du pesto fait-maison, en complément de l’huile d’olive par exemple. Il est bon de noter que la préparation viendra ensuite donner du goût aux pâtes.

Steak au beurre et au CBD
Pourquoi ne pas changer et mariner son rumsteak avec de l’huile de CBD également ? Cette recette comblera l’appétit et la fatigue ressentis après une longue journée de travail ou une pratique sportive intense.

Soupe de chou-fleur aux feuilles de chanvre
Un bol de soupe fournit l’essentiel pour faire le plein d’énergie. Vitamines, antioxydants et minéraux y sont présents. Les feuilles de chanvre mélangées aux légumes augmentent ses bienfaits. La préparation sera idéale pour se détendre en fin de journée.

Des barres protéinées au CBD
Les barres protéinées sont conseillées pour se rassasier et avoir une alimentation saine tout au long de la journée. Il faudra de la poudre de protéine de chocolat, des noix et des graines mélangées. Il suffit ensuite d’y ajouter des graines de chanvre et de l’huile de CBD.

Bonbons gélifiés à base de CBD
Ces bonbons sont parfaits pour profiter à tout moment de l’effet calmant du cannabidiol. Ils sont préparés avec de la purée de fruits et de la gélatine sans saveur. L’huile de CBD complètera le mélange.

Smoothie au CBD
Les smoothies aident à mieux se réveiller le matin. Un verre au petit déjeuner permet d’avoir l’énergie nécessaire pour affronter sa journée. Chacun est libre de choisir les fruits, sans oublier d’ajouter de l’huile de CBD avant de lancer le mélangeur.

Du lait d’amande fait maison au CBD
Le lait d’amande est un allié contre le vieillissement, les cancers, les maladies cardiovasculaires ou la maladie d’Alzheimer. Ajouter de l’huile de CBD au lait d’amande filtré permet de multiplier ses bienfaits. Le mélange facilite la récupération sportive.

Les energy balls à base de CBD et de chanvre
Ils sont obtenus grâce à un mélange de flocons d’avoine, d’amandes, de purée de noisettes, de bananes séchées et de miel. L’huile de CBD et les graines de chanvre s’ajouteront aux ingrédients de base. Ces boules d’énergie sont recommandées pour les enfants, les sportifs et tous ceux qui souhaitent booster leur organisme.

Baba chocolat et agrumes par Cyril Lignac

Les ingrédients :

    Pour la ganache montée :

  • 190 g de chocolat noir de couverture Caraïbe 66 %.
  • 20 cl de crème liquide + 10 cl.
  • 1 feuille de gélatine.
  • Pour la pâte à baba :

  • 200 g de farine.
  • 2 œufs entiers.
  • 6 g de sel fin.
  • 20 g de sucre.
  • 10 g de levure fraîche biologique.
  • 60 g de beurre.
  • Pour le sirop à baba :

  • 280 g de sucre.
  • 2 gousses de vanille.
  • 9 cl de rhum vieux.
  • le zeste de 1/2 citron jaune.
  • le zeste de 1 orange.
  • Pour la macédoine de fruits et le dressage :

  • 1 orange.
  • 1 pamplemousse rose.
  • 1 mangue.
  • 1 citron vert.
  • 1/2 pot de gelée d’abricots.

La préparation :

    La veille

  1. Préparez la ganache. Mettez à tremper la gélatine dans 10 cl d’eau froide pendant 5 min. Hachez le chocolat, faites bouillir les 20 cl de crème, versez-la sur le chocolat et incorporez la gélatine essorée. Laissez tiédir, puis incorporez le reste de crème liquide en mélangeant et réservez au frais 24 h.
  2. Le jour même

  3. Faites la pâte du baba. Dans la cuve du robot, délayez la levure dans 10 cl d’eau tiède, ajoutez la farine, le sel, le sucre. Travaillez la pâte au crochet, ajoutez les œufs un par un. Laissez pétrir 10 min. Ajoutez alors le beurre ramolli et pétrissez la pâte jusqu’à ce qu’elle se décolle des parois. Couvrez-la d’un linge et laissez-la reposer 1 h à température ambiante, près d’une source de chaleur.
  4. Rassemblez la pâte en boule, faites un trou au milieu et répartissez-la dans le moule. Laissez-la à nouveau reposer 30 min à température ambiante pour qu’elle gonfle. Faites cuire 35 min au four préchauffé sur th. 5/6 (165 °C). Démoulez sur une grille et laissez sécher au four encore 10 min.
  5. Réalisez le sirop. Mettez 50 cl d’eau à bouillir, avec le sucre. Ajoutez les zestes d’agrumes et les gousses de vanille. Laissez infuser pendant 30 min. Portez à nouveau à ébullition, puis filtrez. Ajoutez le rhum et réservez.
  6. Pelez à vif le pamplemousse et l’orange, prélevez les suprêmes. Pelez et coupez la mangue. Taillez les fruits en dés réguliers.
  7. Trempez le baba dans le sirop, jusqu’à ce qu’il soit entièrement imbibé. Égouttez-le sur une grille.
  8. Badigeonnez le gâteau de gelée d’abricots, que vous aurez d’abord chauffée puis laissée tiédir. Placez le baba sur un plat de service, déposez dans son creux la macédoine de fruits égouttée.
  9. Garnissez le centre du baba à l’aide d’une poche à douille, de la ganache préparée la veille et préalablement fouettée au robot en chantilly. Zestez le citron vert directement sur le gâteau et décorez d’une gousse de vanille.

Sorbet au vin rosé

Se rafraichir avec une glace, c’est bien connu. Par contre se rafraichir avec une glace au vin, c’est peu banal ! Je vous propose cette recette hyper simple pour un apéritif d’été qui change de l’ordinaire.

Les ingrédients :

  • 1 bouteille de rosé sec
  • 60 cl d’eau
  • 200g de sucre

La préparation :

  1. Faire chauffer l’eau avec le sucre.
  2. Une fois le mélange refroidi, ajouter le vin rosé et le passer en sorbetière.
  3. Consommer dans les 2/3 jours.

Si vous n’avez pas de sorbetière, mettez le mélange au congélateur et écrasez à la fourchette tous les quarts d’heure.

Oeufs grillés cambodgiens

Pour changer des oeufs à la coques ou des oeufs mimosas, essayez cette recette d’œufs grillés cambodgiens pour vos prochaines brunch.

Les ingrédients :

  • 12 œufs
  • 1 c. à café de sauce Nuoc Mam AYAM™
  • 1 c. à soupe de cassonade
  • 1/4 c. à café de poivre
  • Pic Brochettes en bambou (trempés dans l’eau pendant 30 minutes)

La préparation :

  1. À l’aide d’une grosse aiguille, faites soigneusement un trou dans une des extrémités des œufs, assez grand pour insérer un entonnoir. Retirez les coquilles pour qu’elles ne tombent pas à l’intérieur.
  2. Piquez un petit trou à l’autre extrémité. Soufflez à travers pour pousser l’œuf hors de la coquille, dans un bol.
  3. Placez les coquilles vides dans un cuiseur vapeur, placé dans une casserole d’eau.
  4. Fouettez les œufs, la sauce Nuoc Mam, la cassonade et le poivre ensemble, puis versez le tout dans les coquilles d’œufs (à l’aide d’un entonnoir). Attention à ne pas renverser vos œufs.
  5. Réservez les œufs au réfrigérateur pendant la nuit.
  6. Embrochez les œufs et placez-les sur un grill jusqu’à ce qu’ils soient bien chauds et cuits et servez.

Soupe fraîche de melon et carotte

Gingembre frais, melon, huile de noisette, tomate jaune et carotte se mélangent dans cette soupe froide estivale et originale, à goûter d’urgence.

Les ingrédients :

  • 500 g de melon
  • 200 g de tomates jaunes mûres
  • 10 g gingembre frais
  • 2 carottes
  • 1 cuillerée à soupe d’huile de noisette
  • 1 cuillerée à soupe de jus de citron
  • des brins de thym frais
  • sel, poivre du moulin.

La préparation :

    Préparation des légumes

  1. Peler et couper les tomates, éliminer les graines. Mixer finement la pulpe avec la chair du melon coupée en gros cubes. Peler le gingembre et le passer sur une râpe très fine au-dessus de la purée. Ajouter l’huile de noisette et 1 pincée de sel, et mixer encore 1 minute. Peler les carottes et les râper.
  2. Finitions et dressage

  3. Pour servir, verser la crème dans des bols, parsemer la surface de lamelles de carotte, ajouter un brin de thym, poivrer et déguster.

Les premières vendanges de France ont débuté dans l’Aude

Les premières vendanges en France ont commencé cette année dans le vignoble de Fitou (Aude), ce jeudi d’après Jérôme Despey, président du conseil spécialisé «Vin et cidre» de FranceAgriMer.

Du fait d’un «printemps frais», ces vendanges commencent un peu plus tard que l’année dernière, où elles ont démarré fin juillet, explique Laurent Maynadier, vigneron à Fitou.

Comme d’habitude, «nous commençons par le muscat petit grain» qui permet d’élaborer des vins blancs secs, «nous n’avons pas eu de mildiou cette année. On a eu très peu d’eau», ajoute M. Maynadier, dont la famille compte des vignerons depuis 13 générations.

Les vendanges débutent plus tôt qu’à l’époque de ses parents, qui commençaient les vendanges autour du 10 août, et de ses grands-parents (fin août), «à cause de changement climatique». Laurent Maynadier récoltait traditionnellement à partir de début août, mais en 2017 et 2020 la récolte a commencé dès la fin juillet.

Pour contourner le pass sanitaire, un restaurateur loue des tables à emporter avec son repas

L’idée du restaurateur est simple : emporter sa « anti-pass table » avec son repas et s’installer n’importe où.

L’espèce humaine est décidément inventive, comme l’illustre cette histoire rapportée par Nice Matin Un restaurateur des Alpes-Maritimes, bien décidé à contourner le pass sanitaire, a eu l’idée de louer des tables à emporter avec son repas. Il est vrai qu’en étant installé à Auron, une station de sport d’hiver, les espaces où poser sa table sans être dérangé ni perturber la circulation et les activités ne manquent pas.

Yann, le gérant du restaurant a acheté dix tables dédiées à cette activité. Une idée qui lui est venue cet hiver, alors que les restaurants étaient fermés et que la vente à emporter fonctionnait bien, a-t-il précisé au quotidien régional.

Cake léger au citron et au pavot

Voici un cake qui va vous ravir par sa légèreté et son goût ! Une recette de cake pauvre en gras et en sucre mais qui reste gourmande avec le citron et les graines de pavot.

Les ingrédients :

  • 2 oeufs
  • 50 g de sucre de canne
  • 5 cl de jus de citron
  • 5 cl de lait d’amande
  • 5 cl d’huile de tournesol
  • 2 citrons zestés
  • 1 c. à c. de levure chimique
  • 200 g de farine semi-complète
  • 1 pincée de sel ou sel fin

La préparation :

  1. Préchauffez le four à 180°C.
  2. Mélangez la farine et la levure chimique et laissez de côté.
  3. Dans un saladier, fouettez les œufs, la pincée de sel et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
  4. Ajoutez le zeste et le jus de citron. Mélangez.
  5. Ajoutez le lait d’amandes. Mélangez.
  6. Ajoutez l’huile de tournesol et mélangez.
  7. Ajoutez le mélange farine-levure et mélangez soigneusement.
  8. Huilez et farinez un moule à cake de 18 cm et versez-y la pâte à cake.
  9. Mettez le cake à cuire pendant 40 minutes.
  10. Vérifiez la cuisson du cake en enfonçant la lame d’un couteau et si elle sort sèche, le cake est cuit.
  11. Laissez tiédir le cake avant de le démouler sur une grille.

Contraints de traverser une salle de restaurant pour rentrer à leur domicile

Guy Le Berre et Sandrine Fabre ont emménagé dans un appartement au 7 Quai Général Durand il y a bientôt 2 ans. Le cadre, à première vue, idyllique s’est transformé en cauchemar depuis bientôt 6 mois. Désormais, l’accès à leur appartement se fait en traversant une salle de restauration.

Le Quai Général Durand, est connu pour ses nombreux restaurants, brasseries et bars prisés des touristes durant la période estivale. Nombreux sont les habitants qui vivent au-dessus de ces différents commerces. Il y a deux ans, Guy Le Berre et Sandrine Fabre ont emménagé au numéro 7 du Quai Général Durand. Au croisement de la rue Paul Valéry, au cœur de la cité Sétoise, au placement idéal, c’était un décor de carte postale pour le couple. Toutefois, depuis le début de l’année 2021, la situation s’est compliquée. En effet, entre la fin d’année 2020 et le début d’année 2021, il a été décidé de faire différents travaux d’aménagements au niveau du quai. Parmi ces interventions, il y avait une demande de réinstallation pour le bar –Les deux Ramiers– et le restaurant –Chez François–.

À l’origine, les deux restaurants possédaient des terrasses, espacées à plus de deux mètres de la façade du bâtiment – il y avait ainsi un corridor par lequel circulaient les passant et les habitants du quartier. Toutefois, la réinstallation décidée en début d’année a entraîné la création de structures en dur, avec emprise au sol et accolé au bâtiment, sous la forme d’une véranda. Ainsi, la porte d’entrée des habitants du numéro 7 se retrouvait au milieu de cette véranda. Les obligeants à traverser cette salle de restauration pour accéder à leur domicile. Lunaire. Les habitants du numéro 3 et du numéro 5, ne sont pas concernés car ils possèdent un accès au niveau de la Grand rue Mario Roustan, de l’autre côté du bâtiment.

Guy Le Berre explique : « La principale problématique est que personne ne s’est aperçu qu’il n’y avait qu’une entrée unique. Bien qu’il s’agisse d’appartements traversants, nous n’avons pas d’accès côté Grand rue Mario Roustan. Tout le raisonnement de la ville est de dire que l’on a un second accès alors que ce n’est pas le cas. Nous nous sommes manifestés pour les avertir mais le projet a tout de même été maintenu. On nous a imposé cette situation. » Ainsi, c’est en totale connaissance de cause que la Ville de Sète a imposé à ces habitants de devoir traverser la salle de restaurant à chaque fois qu’ils allaient et venaient chez eux. Une situation jugée « humiliante » par Sandrine Fabre, elle explique : « Descendre avec son vélo, ses poubelles et traverser une salle de restauration pleine de gens, qui vous fixent avec incompréhension, c’est humiliant. On ne se sent même plus à l’aise de rentrer chez nous. »

Des habitants à l’écart de toute discussion 

En effet, les habitants du numéro 7 ont été prévenus par courrier de certains aménagements au niveau du quai mais à aucun moment il était question de modifier la structure de -Chez François-. Ils expliquent : « Il n’y a pas eu de déclaration préalable, de permis de construire, de réunion d’information, de réunion de quartier pour nous prévenir de l’ensemble de ces travaux. Nous avons simplement été avertis à travers une lettre de la mairie qu’ils comptaient faire des aménagements au niveau du quai mais ils n’ont jamais mentionné cette nouvelle structure. » Une remarque soulignée par le Syndic de la copropriété dans un courrier adressé à la mairie : « Il s’agit de la rénovation du trottoir mais aussi et surtout (et ceci ne figure pas dans ce courrier) leur demande de réinstallation des deux commerçants. L’unique porte d’accès à l’immeuble au numéro 7 débouche sur la terrasse de Chez François. »

Sandrine Fabre explique : « On a été informé des travaux mais à aucun moment ces interventions évoquaient la modification de structure des deux commerces. On a simplement été conviés, le 19 février, pour nous imposer le projet puisque tout était déjà décidé et à aucun moment, nous n’avons pu intervenir dans quelconque décision. Les commandes étaient déjà faites au moment de cette réunion ! » Avant d’ajouter : « À chaque fois, on nous rappelle que cela ne concerne que deux appartements et donc très peu d’habitants. Mais je ne sais pas si vous vous rendez compte, ce n’est pas grave si ça concerne seulement trois ou quatre personnes. C’est ce qu’on nous a dit mot pour mot. Mais si c’était un immeuble avec 50 personnes, ce serait différent. Sur le plan humain, on n’est absolument pas considéré », fustigent-ils

Des problématiques évidentes 

Les deux appartements qui se situent au numéro 7 possèdent ainsi un unique accès qui débouche dans la véranda du restaurateur. Cette situation est une source de problèmes évidents. « S’il y a un problème au niveau du restaurant, on n’est plus en sécurité. Il n’y a pas de seconde issue, donc s’il y a un incendie, nous sommes piégés à l’étage. Les pompiers nous ont dit que c’était impensable de savoir qu’il y a des habitants derrière cette véranda », explique Sandrine Fabre.

Outre cet aspect sécuritaire, de nombreux autres problèmes du quotidiens ressortent. Ils expliquent : « On nous avait promis, durant la réunion avec la municipalité que la véranda serait ouverte et libre d’accès à toute heure de la journée et de la nuit. Ce n’est absolument pas le cas. La porte coulissante est fermée, certes pas à clé mais elle est tout de même fermée. Il est arrivé que la porte soit fermée à clé que je ne puisse rentrer chez moi. Autre exemple, pour le courrier, si le facteur passe avant que la véranda soit ouverte, nous n’avons pas notre courrier, on doit aller le chercher à la poste. Quand nous traversons entre midi et deux ou même le soir, les gens nous regardent bizarrement, ça doit interloquer. Même pour nous, on ne se sent plus à l’aise. Toutes ces actions font que la situation s’est énormément tendue avec le restaurateur et la discussion est complètement rompue. Mais c’est avant tout la faute de la municipalité qui a très mal géré la situation et qui a pris de très mauvaises décisions », confient-ils.

« Derrière cette véranda, nous sommes complètement cachés, on nous a effacé du paysage sétois. Encore une fois, on retrouve le cadre idyllique de carte postale parfait pour tourner des séries télévisées mais qui ne prend absolument pas en compte ses habitants », nous confie Sandrine Fabre qui semble découvrir l’envers du décor et le quotidien de nombreux sétoises et sétois.

Une structure illégale à ce jour

Depuis l’installation de cette véranda fermée, le bar –Les deux Ramiers– et le restaurant –Chez François– sont classés au titre d’ERP (Établissement Recevant du Publique). Ainsi, les règles et les normes de sécurité sont différentes. « Les règles ne sont plus les mêmes, au niveau des risques d’incendie. Nous avons dû faire intervenir les pompiers afin de vérifier si c’était une structure aux normes et surtout savoir si nous étions en sécurité. Ils ont donné le rapport à la mairie mais nous n’avons pas eu de retour. Il y a une certaine forme d’incompétence de la part de la Ville de Sète. Comment ne peuvent-ils ne pas savoir que nous ne possédons qu’un seul accès ? », s’insurgeait notamment le couple.

Selon nos informations, un constat a été réalisé par la police municipale le 01 juin 2021. Des dysfonctionnements dans la mise en oeuvre de la structure (conformité, montage de la structure) ont été relevés ce jour là par la police municipale. De plus une visite technique du service départemental SDIS en date du 25 juin 2021 a fait valoir la nécessité d’améliorer les conditions d’évacuation et de désenfumage des lieux. Ces éléments confirme qu’aucune demande d’ERP n’a reçu d’avis favorable pour cette structure. La Ville de Sète a depuis que nous effectuons des recherches sur la légalité de cette véranda par divers prises de contact, demandée par courrier aux deux exploitants de se mettre en conformité et de déposer très rapidement les autorisations d’urbanisme manquantes. Notamment pour obtenir l’avis favorable de l’architecte des bâtiments de France et des commissions d’accessibilité et de sécurité incendie qui n’ont pas été déposées préalablement.

À ce jour, la véranda située au 7 Quai Général Durand, n’a pas les autorisations requises pour recevoir du public sous la véranda et pour être présente sur le domaine public. Malgré ces anomalies constatées par plusieurs services municipaux et départementaux, les deux exploitants continuent toujours de recevoir du public.

Par ailleurs, l’immeuble est classé par les bâtiments de France. Cette dénomination répertorie l’ensemble des bâtiments anciens d’une ville et obligent à certaines responsabilités. « Cette dénomination nous avait notamment empêché de mettre une boite aux lettres car ça ne respectait pas les critères. On voulait changer le sens d’ouverture de la porte, changer les couleurs mais à chaque fois, on n’avait pas le droit car il fallait respecter les critères définis. Mais, la création d’une véranda dérange moins que les petits aménagements que l’on souhaitait. On se demande donc s’il y a vraiment eu l’accord des bâtiments de France pour cette structure. Oralement, il nous a affirmé que oui mais nous n’avons aucune preuve », confiait Guy Le Berre.

Quelles solutions ? 

Le couple demande des explications et une mise en conformité : « La mairie a fait l’autruche. Toutes nos demandes et nos courriers sont restés sans réponse. On nous a juste convié à une réunion d’information avant tout pour nous endormir où tout était déjà décidé. Aujourd’hui, la situation est telle que nous ne pouvons même plus déménager. L’accès est impossible par l’escalier puisqu’il est très étroit. Quand nous avions emménagé, on avait utilisé un monte-charge. La structure est tellement large que la portée est trop importante pour atteindre le balcon. On ne peut même plus déménager de chez nous ! Avec la situation de confinement, puis cette véranda qui nous enferme et cette impossibilité de déménager, on se sent étouffé. Qu’on ne se mente pas, même vendre devient impossible. Qui voudrait acheter un appartement où vous devez traverser un restaurant avant de rentrer chez soi ? Cette nouvelle structure a rendue notre appartement invendable. »

Ironie du sort, avec la crise sanitaire, l’accès aux salles de restauration est permis seulement sur présentation du pass sanitaire. Pour rentrer chez eux, ils sont obligés de traverser la salle de restauration de « Chez François ». Ainsi, doit-on contrôler leur pass sanitaire à chaque fois avant qu’ils accèdent à leur domicile ? Ils réclament une entrée indépendante que ce soit en « démolissant cette structure et en créant une nouvelle plus adaptée » ou en « créant un nouvel accès du côté Grand rue Mario Roustan ». « On veut pouvoir sortir quand on veut, descendre nos poubelles dès qu’on le souhaite, rentrer de course à tout moment. Aujourd’hui, on n’est plus chez nous ! De l’autre côté du bâtiment, il y a un commerce vide, la municipalité pourrait l’acheter et nous faire un accès digne de ce nom. »

C’est surtout le flou dans lequel se trouvent les habitants du 7 Quai Général Durand. Ils expliquent : « On est à l’origine les victimes avec une spoliation de notre bien privé et on ne doit rien dire. On est devenu les éléments gênants. Si c’est la période estivale qui complique tout, on préfère le savoir et être au courant, savoir qu’on s’occupera de nous à la rentrée mais pour l’instant on ne sait rien. » Ce ne sont certainement pas les œillères portées par la majorité municipale qui devraient faire évoluer la situation. 

Shake Shack Cheese Sauce

La franchise américaine a partagé les secrets de sa recette.
Prisée pour ses « smash burger », même par des chefs étoilés, la franchise Shake Shack a profité du confinement pour partager certains de ses recettes sur les réseaux sociaux. On se devait donc de reproduire celle de leur « cheese sauce », servie chez eux sur leurs frites crantées.

Les ingrédients :

  • 1 petit oignon blanc
  • 1 petite poignée de grains de poivre noir
  • 1/2 piment vert
  • 1 cuillère à soupe de vinaigre blanc
  • 1 cuillère à soupe de vin blanc
  • 25 centilitres de crème liquide
  • 100 grammes de cheddar affiné râpé
  • 100 grammes de cheddar simple râpé (ou de fromage américain industriel)
  • sel / huile de tournesol

La préparation :

  1. Dans une casserole à fond épais, faire suer l’oignon et le piment émincé avec les grains de poivres dans un filet d’huile de tournesol. Une fois l’oignon bien translucide, déglacer avec le vinaigre et le vin. Ajouter la crème et laisser infuser 30 minutes hors du feu.
  2. Filtrer pour récupérer seulement la crème et la replacer à feu doux. À frémissement, ajouter les fromages râpés, et faire fondre complètement en remuant à l’aide d’un fouet. Utiliser sur des frites ou des nachos.






Le design de bouteille parfait pour préparer un cocktail Bloody Mary

Quand design et marketing ne font qu’un, ça donne un parfait mélange comme l’exemple de ce produit conceptuel que l’on va vous présenter aujourd’hui. Conçu pour le cocktail Bloody Mary, cette bouteille de vodka renferme un cœur de liqueur de tomate qui possède son propre goulot.

Pour ceux qui l’ignorent, le Bloody Mary (“Marie la sanguinaire” en Français) est un cocktail pimenté et épicé à base de vodka, jus de tomate avec du Tabasco ou encore du poivre. Un cocktail qui tire son nom de Marie Ire d’Angleterre, réputée cruelle et sanguinaire… sans aucun lien historique évidemment puisque le Bloody Marry aurait été inventé en 1921 par un barman parisien prénommé Fernand Petiot.

Conçue par Tanya Dunaeva, une étudiante russe en école de design, cette bouteille joue donc avec l’image sulfureuse du cocktail en représentant un “cœur arraché” et placé au centre de la bouteille. Le rendu visuel est extra et, même s’il ne s’agit que d’un concept, il faut avouer que l’idée packaging est très inspirante !

Rouleaux de Printemps fleuris

Comme j’ai un peu de temps avant de me mettre à table avec mes stagiaires, j’en profite pour vous partager la recette de rouleaux de Printemps fleuris avec laquelle je les ai accueillis vendredi soir.
Enfin, que dis-je? Pas des rouleaux de Printemps mais plutôt des rouleaux d’été…! ??????

Voilà la recette pour une dizaine de rouleaux :

Pour réaliser votre farce, vous allez râper environ 50 g de patate douce, de concombre et de radis noir.
Vous allez ensuite mettre votre concombre à dégorger dans une passoire avec un peu de gros sel.
Pendant ce temps, vous allez couper un morceau de poivron rouge (d’un tiers à une moitié) en petits cubes et émincer finement un bouquet de menthe.
Une fois que votre concombre aura rendu son eau, vous allez le verser dans un saladier avec le reste de vos légumes râpés, puis vous allez y ajouter vos petits cubes de poivron, votre menthe émincée et 2 belles poignées de graines germées d’alfafa.
Mélangez le tout puis ajoutez à votre mélange une ou 2 cuillères à soupe de tartare d’algues et mélangez à nouveau.
Réservez au frais.

Vous pouvez ensuite aller vous promener dans votre jardin (ou dans la nature, ou les 2) pour faire votre petite cueillette de fleurs.
Ici, côté cultivées, j’ai utilisé des fleurs de bourrache, de glycine, de coriandre et de pensées ; et côté sauvages, des fleurs de millepertuis, de silène latifolia (compagnon blanc), de trèfle et de mauve ??????.

Une fois votre récolte de fleurs faite, vous pouvez passer au roulage : pour ça, avant de garnir chaque feuille de riz, vous allez la plonger quelques secondes dans un récipient d’eau tiède puis la poser sur un torchon propre.

Vous allez d’abord déposer vos fleurs face contre la feuille de riz, sur une ligne horizontale de 3 ou 4 cm de large, au centre de la feuille, en gardant 2 ou 3 centimètres de libres de chaque côté (pour pouvoir replier les côtés au moment du roulage).
Déposez ensuite une belle quenelle de votre farce sur vos fleurs ainsi qu’une lamelle d’avocat de la même longueur.

Pour le roulage, il vous suffit ensuite de rabattre la partie inférieure de votre feuille sur votre farce, puis de rabattre les côtés avant de terminer de rouler votre petit rouleau (vous pourrez trouver des tutos sur internet si la partie roulage vous effraie).

J’ai accompagné mes rouleaux de Printemps d’une petite sauce sucrée-salée : j’ai simplement mélangé à parts égales de la sauce tamari, du vinaigre balsamique, du nectar d’agave et du jus de citron vert.

Et voilà! Une petite recette pas bien compliquée mais qui ravira à coup sûr les yeux et les papilles de vos invités! ????
Nous en tout cas on s’est régalés!! ??

Sur ce, je vous souhaite à tous une belle soirée et une excellente semaine!!

Tartare d’algues

Je mets dans mon mixeur une échalote, un morceau de fenouil (un peu plus gros que l’échalote), 2 gousses d’ail, environ 70g de wakamé fraiche (en vente sur le site de Biovie), 30g de paillettes de nori, quelques câpres issus de mes cueillettes sauvages (boutons floraux d’ail des ours et de pissenlits), le jus d’un demi-citron, des herbes de mon jardin (ici oseille et persil) et j’ajoute l’huile d’olive au fur et à mesure jusqu’à obtention de la texture souhaitée.
A déguster sur des petits crackers crus ou sur des rondelles de radis noir.

Beignets

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Les ingrédients :

  • 500g farine(type45)
  • 1/2càc sel
  • 50g sucre
  • 30g huile
  • 1oeuf
  • 8g levure boulangère
  • 1sucre vanillé
  • 7g levure chimique
  • 130g lait tiède
  • 90g eau tiède
  • 30g beurre

Smoothie glacé au café

Les ingrédients :

  • 250 g de glace au café
  • 2 tasses de café moulu
  • Brisures de Nougat
  • Crème Chantilly

La préparation :

  1. Rassembler les ingrédients nécessaires à la préparation du smoothie.
  2. Préparer 2 tasses à café expresso. Dans un blender, mettre la glace au café, les 2 tasses à café, les brisures de nougat et la crème. Mixer à vitesse maximale et servir de suite.

Tiramisu saveur mojito

Succombez à ce tiramisu grâce à sa crème onctueuse au citron et à la menthe ainsi qu’à ses biscuits imbibés au rhum. Une parfaite mise en bouche avant l’été à déguster comme cocktail en terrasse au soleil !

Les ingrédients :

  • 100 g de mascarpone
  • 2 citrons verts
  • 1 paquet de biscuits cuillères
  • 10 c.à.s de rhum
  • 1 bouquet de menthe
  • 4 c.à.s de sucre roux
  • 2 œufs

La préparation :

  1. Dans une poêle, déposez le zeste d’un citron vert et son jus. Ajoutez 1 c. à s. de sucre roux et 10 c. à s. de rhum. Faites frémir et agrémentez de feuilles de menthe.
  2. Séparez les blancs des jaunes d’œufs, puis montez les blancs en neige.
  3. Ajoutez 100 g de mascarpone aux jaunes d’œuf, 1 c. à s. de sucre roux, la moitié de votre sirop au citron vert et mélangez.
  4. Incorporez les blancs au mascarpone au citron vert à l’aide d’une spatule.
  5. Imbibez les biscuits de l’autre moitié de sirop et déposez-les dans le fond de votre verrine.
  6. Recouvrez de mascarpone et rajoutez quelques biscuits avant de couvrir à nouveau.
  7. Agrémentez votre tiramisu de zeste de citron vert et d’une feuille de menthe. Servez bien frais?!

Tiramisu au limoncello

Le tiramisu au limoncello est un dessert acidulé et vivifiant qui apportera fraîcheur et légèreté à vos papilles?! Un zeste de gourmandise pour faire le plein de vitamines et détoxifier l’organisme tout en se faisant plaisir?!

Les ingrédients :

  • 3 œufs extra frais
  • 350 g de mascarpone
  • 20 cl de crème liquide
  • 3 cuil. à soupe de lemon curd (en bocal ou maison)
  • 18 biscuits à la cuillère ou de boudoirs
  • 20 cl de limoncello
  • Sel

La préparation :

  1. Séparer les blancs des jaunes puis battre les jaunes avec le mascarpone et la crème.
  2. Dans un second récipient, monter les blancs en neige avec une pincée de sel. Les incorporer à la préparation précédente.
  3. Ajouter le lemon curd tout en laissant des traînées.
  4. Imbiber les biscuits à la cuillère de limoncello et en déposer la moitié dans le fond d’un plat allant au four.
  5. Couvrir de la moitié de la préparation au mascarpone. Recouvrir du reste de biscuits à la cuillère.
  6. Terminer en étalant le mascarpone puis réserver 12 heures au réfrigérateur.
  7. On passe à table avec ce délicieux tiramisu au limoncello !

Frites : 5 conseils pour qu’elles soient aussi bonnes qu’en Belgique

Impossible de comparer des frites de fast-food mangées en sortant de soirée et de délicieuses frites Belges. Ces deux recettes n’ont rien à voir, les unes étant molles et sans réel goût, les secondes étant renommées pour leur saveur caractéristique et leur croustillant. A l’occasion de la journée internationale de la frite Belge, on vous donne nos secrets pour faire des frites aussi bonnes qu’en Belgique.

Secret n°1 : Pas de bonnes frites sans la bonne variété de pomme de terre
Et la bonne variété, c’est la Bintje. On sait, il est de plus en plus compliqué d’en trouver dans les supermarchés, mais on est certain qu’avec un peu d’efforts et le bouche-à-oreille des amis, vous allez finir par trouver le filet de 2 kilos dont vous rêvez. En plus, elles ne sont pas forcément plus chères au kilo que les autres variétés, alors foncez ! Et si vous ne savez pas quoi faire des pommes de terre restantes, sachez que les bintje sont aussi parfaites pour faire de la purée, du hachis parmentier ou des gnocchi maison.

Pourquoi des bintje ? Parce que ce sont des pommes de terre à chair farineuses (contrairement aux pommes de terre à chair ferme), et c’est justement cette texture farineuse qui fait que nos frites seront moelleuses à cœur et croustillantes en surface après cuisson.

Secret n°2 : La découpe est primordiale pour une cuisson homogène
Pour ne pas se retrouver avec des pommes de terre gorgées d’huile, certaines bien trop brunes et d’autres toutes pâlottes, il n’y a pas de secret : il suffit de découper toutes les frites de la même épaisseur (environ 1cm) afin qu’elles cuisent de façon homogène.

Secret n°3 : Pensez à éponger vos frites avant et après cuisson
Non, non et non : on ne rince pas les tronçons de pommes de terre après les avoir coupées. Notre petite astuce, c’est de leur passer rapidement un coup de torchon dessus pour enlever l’excédent d’humidité sans en retirer l’amidon. S’il n’y avait qu’une chose à retenir, c’est que l’amidon forme une couche protectrice qui empêche les frites de se gorger d’huile et de devenir molles. Sans amidon : des frites molles et grasses. Avec amidon : des frites croustillantes et pas (trop) imbibées de gras. Nous, on a choisi notre team.

Secret n°4 : les frites Belges sont cuites au blanc de boeuf
Exit l’huile végétale, les vraies frites Belges sont cuites dans de la graisse de bœuf. Le secret des frites belges réussies, c’est une recette loin d’être vegan mais très riche en saveurs.

Nous vous conseillons de les faire cuire par petites quantités pour ne pas faire chuter la température de la graisse de bœuf. Si elle n’est pas assez chaude, la graisse ne saisira pas les frites mais les imbibera, ce qui donne un résultat très différent… et des frites très grasses. Alors on est patient et on cuit le saladier en plusieurs fois s’il le faut.

Secret n°5 : La double cuisson, c’est ce qu’il y a de mieux
Pour des frites à la fois croustillantes et dorées, il n’y a qu’une solution : la double cuisson. Faites cuire une première fois vos frites à environ 140°C pendant 6 minutes, puis laissez-les refroidir. Ensuite, replongez-les dans la graisse de bœuf cette fois chauffée à 175°C quelques minutes juste pour saisir les frites et les rendre bien dorées. D’abord, la cuisson à cœur. Ensuite, l’apparence et la texture.

9 aliments qu’il ne faut surtout pas congeler

Contre le gaspillage alimentaire, la méthode de congélation des aliments est une bonne option. Toutefois, il est important de savoir comment faire. En effet, cette technique est à proscrire pour certains aliments. Lesquels ? On vous fait la liste tout de suite.

La congélation consiste à refroidir puis à entreposer des aliments à de basses températures, généralement -18°C. Ainsi, les aliments peuvent être conservés plus longtemps. Leur durée de vie s’allonge et varie de 4 à 24 mois selon le produit.

Attention, il est important de ne pas confondre : surgélation et congélation.

Surgélation : est un procédé industriel qui soumet les aliments à de très basses températures, soit environ entre -30 à -50°C. Le refroidissement est beaucoup plus rapide qu’une congélation et se fait jusqu’au cœur du produit.

Congélation : est un procédé domestique beaucoup plus lent qui permet de conserver les aliments plus longtemps et de les maintenir à une température beaucoup moins froide que la surgélation, c’est à dire environ -12°C.

La congélation : quelques règles à savoir

Il y a quelques règles à prendre en compte concernant la congélation. L’un des conseils majeurs à connaître si ce n’est déjà pas le cas : il ne faut jamais recongeler un produit qui a été décongelé. Pourquoi ? A cause des bactéries. En effet, lorsqu’un aliment revient à température ambiante, les bactéries qui étaient alors “paralysées” par le froid se remettent à proliférer. Pire encore, si vous remettez ce même aliment au congélateur, ces mêmes bactéries se multiplieront.

De plus, si un aliment est au congélateur ce n’est pas pour autant qu’il est possible de le garder pendant des années, il y a tout de même des dates de péremption à respecter :

  • Les tartes et pizzas : 2 mois environ
  • Les plats cuisinés : 3 mois
  • Le poisson : 3 mois
  • La viande : 6 à 8 mois
  • Les fruits et légumes 10 mois

Enfin, dernière astuce pour congeler ses aliments en toute sécurité : misez sur des emballages individuels qui évitent les mélanges de goût et d’odeur ainsi que le dépôt de givre.

Si quelques tips peuvent être appliqués certains aliments ne doivent absolument pas être congelés, cette idée est à bannir pour les produits suivants.

Les œufs

Les œufs ne se mettent pas au frais et se congèlent encore moins. Leur coquille ne supporte pas une aussi basse température et risque d’éclater à tout moment. Concernant les œufs cuits, même combat, ils n’ont pas leur place dans le congélateur puisque cela pourrait altérer leur aspect qui deviendrait ainsi caoutchouteux et désagréable.

Les aliments frits

Il n’y a rien de pire que des frites ou des beignets mous et sans aucune tenue. C’est pourtant ce qui risque de vous arriver si vous tentez de mettre des aliments frits dans votre congélateur. Pas la peine de tester, on vous l’assure, cela ne sera pas une grande réussite.

Les légumes riches en eau

Trop d’eau : pas de congélation, c’est simple ! En effet, les légumes remplis d’eau ne sont pas faits pour être congelés. La salade, le radis, ou le concombre supporteraient très mal les basses températures. Ils perdraient ainsi leur texture, leur goût et leur croquant… bref ce n’est pas une bonne idée.

Les sauces

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Si à première vue conserver une sauce dans un sachet et la mettre au congélateur vous semble une bonne idée et bien cela ne l’est pas. En effet, les sauces résistent mal à la décongélation. Elles risquent de perdre de leur saveur et de leur onctuosité, cela serait dommage.

Les fruits gorgés d’eau

Tout comme les légumes, les fruits gorgés d’eau, comme la pastèque ou le melon, ne sont pas à mettre au congélateur puisque eux aussi supportent mal les basses températures. Leur texture et leur saveur seront à coup sûr impactées, à éviter donc.

Les fromages frais

Les fromages frais tout comme les fromages à pâte molle tels que le brie, la ricotta ou encore le camembert ne sont pas faits pour être congelés. La raison ? Leur forte teneur en eau qui fait que ces fromages là ne résiste pas à la congélation. Ils risquent alors de devenir farineux et friables. Misez sur des plats à base de fromage comme des quiches à base de ces fromages. A savoir, les fromages à pâte dure comme le comté, se conservent eux au congélateur.

Les crèmes dessert

Même discours que pour les sauces, les crèmes dessert ne se congèlent pas. Leur texture aura tendance à se modifier et elle pourrait même se séparer en deux parties distinctes, bref, pas très appétissant tout ça.

Les pommes de terre

Il est recommandé de conserver ses pommes de terre dans un endroit au frais, oui mais pas au congélateur pour autant. En effet, cela serait trop froid pour ce légume. Riche en amidon, les pommes de terre vieillissent plus vite une fois au congélateur, ce n’est donc pas l’idéal. Il est préférable de les placer dans un endroit sombre, froid et sec comme la cave. En revanche, une fois cuite, la tendance s’inverse et vous pouvez les congeler sous forme de gratin ou de purée par exemple.

Les yaourts

Yaourt et congélateur ne font pas bon ménage. Laissez quelques yaourts congelés et ils ressortiront avec une texture grumeleuse et très liquide une fois décongelés.

« On n’avait pas du tout besoin de ça » : l’extension du pass sanitaire accable les restaurateurs

Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé lundi 12 juillet, l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public. Bar et restaurant sont concernés. Ils sont inquiets pour la suite de la saison estivale.

Le président Emmanuel Macron a annoncé, lundi 12 juillet, lors d’une allocution, l’extension et l’obligation du pass sanitaire dans plusieurs lieux recevant du public. Seules les personnes vaccinées et munies de leur attestation pourront accéder aux salles des bars et restaurants.

« Un coup sur la tête » pour Hubert Jan, président de la section restauration de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH). Les professionnels s’inquiètent des répercussions de la mesure sur leur activité. Entretien.

L’extension du pass sanitaire au 1er août, va-t-elle mettre en difficulté les restaurants ?
On s’y attendait un peu, mais on prend tout de même un coup sur la tête. On n’avait pas du tout besoin de ça. Ça va réduire notre chiffre d’affaires. Car les gens ne sont pas suffisamment vaccinés. Sur une tablée normale de six personnes, vous n’aurez donc que trois vaccinés. La clientèle sera ainsi presque divisée par deux. Les établissements vont devoir réduire la voilure, alors que la restauration avait bien rebondi, après presque neuf mois de fermeture.

Les restaurateurs arriveront-ils à vérifier les pass ?
Organiser les contrôles, ça va être extrêmement compliqué. On est déjà en situation de difficulté concernant le recrutement du personnel. Donc mettre un ou plusieurs employés à l’entrée, pour qu’ils contrôlent les pass va être très ardu à instaurer pour de nombreux professionnels du secteur. Surtout qu’il va falloir y mettre quelqu’un qui était jusque-là opérationnel en cuisine ou en service. Et puis, il y aura d’autres problèmes.

C’est-à-dire ?
Le pass sanitaire sera, inévitablement, source de conflits avec des personnes non-vaccinées, qui voudront rentrer en salle. Or, on n’est pas des gendarmes. On est sur le terrain du plaisir, pas de la répression. Donc ça va être extrêmement compliqué à gérer. Ça va encore être un boulot considérable.

Qu’attendez-vous du gouvernement maintenant ?
Qu’il clarifie vraiment les mesures qui nous concerneront. Mais il faudra surtout qu’il y ait des aides économiques qui se débloquent au mois d’août. On ne les maîtrise pas, mais on va les demander : ça c’est certain.

Le petit “digestif” à la fin d’un repas copieux est-il bénéfique pour la digestion ?

Certaines personnes boivent de l’alcool pendant le repas, mais d’autres préfèrent déboucher une bouteille après avoir copieusement mangé. Il s’agit du petit digestif de fin de repas que de nombreuses personnes affectionnent. L’alcool est évidemment à consommer avec modération, mais une question s’impose : le digestif porte-t-il bien son nom ?

Une idée reçue
Après un repas, les choses qu’il faudrait clairement éviter sont : manger un fruit, boire du thé, aller se baigner, faire du sport, fumer une cigarette et faire un somme. Faudrait-il ajouter à cette liste la prise d’un petit digestif ? Consommés après un repas copieux, les cognac, whisky, armagnac, rhum vieux ou encore calvados sont qualifiés de digestifs. Pour beaucoup de personnes, la fin d’un repas copieux s’accompagne souvent de ces alcools afin de mieux faire passer les excès.

En réalité, il s’agit tout simplement d’une idée reçue, comme l’expliquent plusieurs études, dont celle publiée en 2010 par l’Hôpital Universitaire de Zurich (Suisse). Selon Henriette Heinrich, principale chercheuse de l’étude, les convives testés après un repas accompagné d’alcool voyaient leur digestion gastrique ralentie de moitié. La durée de digestion des buveurs d’eau était de six heures contre neuf pour les autres. Toutefois, il faut savoir que l’étude en question concernait une consommation d’alcool pendant le repas (une fondue savoyarde).

L’effet faussement bénéfique du digestif
Néanmoins, les chercheurs sont formels : la communauté scientifique a pendant longtemps vanté à tort les mérites du digestif. L’idée était que l’alcool facilite la digestion en augmentant la sécrétion de gastrite, une enzyme digestive rendant alors l’estomac plus mobile. Or, si l’alcool peut effectivement distendre l’estomac (phénomène de vasodilatation) et apporter un sentiment de bien-être, il alourdit malheureusement la digestion.

Il faut savoir que l’alcool ne subit aucune modification biochimique lors de son passage dans notre système digestif. Il passe en partie dans notre sang par les parois de l’estomac ainsi que de l’intestin. Ainsi, l’alcool peut être à l’origine de diarrhées. Ainsi, outre la vasodilatation qui en réalité est un effet faussement bénéfique et très éphémère, il n’y aurait aucun effet positif dans le fait de consommer de l’alcool pendant ou après un repas. Par ailleurs, la réputation de certains alcools en tant que digestifs a une origine assez ancienne, d’une époque où ces mêmes alcools devaient leur goût à des aromates et certaines épices qui facilitaient effectivement la digestion.

Il existe d’autres moyens pour mieux digérer comme boire de l’eau, afin d’aider à la dégradation de la nourriture. Le fait de prendre son temps et bien mâcher est également vivement conseillé. Après le repas, surtout si celui-ci est très copieux, faire une petite balade peut en outre être bénéfique. En effet, marcher un peu permet de secouer légèrement l’organisme, et donc le système digestif.

Crème au citron

Les ingrédients :

  • 3 œufs
  • 1 citron
  • 60g de beurre
  • 100g de sucre glace
  • 1 c. à café de rhum vieux

La préparation :

  1. Lavez le citron soigneusement, et râpez le zeste jusqu’à en avoir une bonne cuillère à café.
    Pressez le citron et filtrez le jus. Réservez. Dans une jatte, fouettez les œufs à l’aide d’une fourchette. Dans une casserole, faites fondre le beurre. Puis ajoutez le sucre, le jus de citron et le rhum.
  2. Portez à ébullition et versez ce mélange sur les œufs, en battant au fouet afin d’obtenir une crème bien lisse. Ajoutez les zestes à la préparation. Reversez la crème dans la casserole et portez de nouveau à ébullition tout en remuant jusqu’à ce que la crème épaississe. Puis retirez du feu. Versez la crème dans des jolis ramequins, et laissez refroidir en les conservant 2 heures au frais.

Astuces

Si votre crème ne s’épaissit pas assez à votre goût, n’hésitez pas à ajouter une cuillère à soupe de maïzena, c’est magique ! Et sachez que cette crème est tout aussi excellente avec une orange, des clémentines, un citron bergamote… Elle peut aussi servir de base en pâtisserie pour réaliser par exemple une tarte au citron.

Hélénettes

Les ingrédients :

  • 2 jaunes d’œufs
  • 100 gr de sucre en poudre
  • 100 gr de farine
  • 80 gr de beurre
  • 100 gr de poudre d’amandes ou noisettes

La préparation :

  1. Préchauffer le four à 200°
  2. Faire fondre le beurre et laisser refroidir
  3. Travailler les jaunes d’œufs avec le sucre, ajouter le beurre fondu, incorporer la farine et les amandes (ou noisettes)
  4. Façonner des boules et les disposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé en les espaçant
  5. Enfourner 8 à 10 minutes

Batbout pain marocain express

De délicieux Batbout pain marocain express (10 minutes) cuits à la poêle, hyper moelleux avec une mie légère et alvéolée, une recette facile, rapide et inratable. S’inspirant de la pâte magique, cette pâte à batbout a besoin de temps de pause de 10 minutes en trois fois. Pas besoin de laisser lever la pâte pendant des heures, en à peine une heure (pousse, temps de cuisson et façonnage) vos batbouts seront prêts à être dégustés. Traditionnellement réalisé à base de semoule et de farine, ce pain, à la mie fondante et aérienne, est idéal pour accompagner une bonne soupe en ce mois de Ramadan ou un tajine. À l’heure du Shour ou au petit déjeuner j’adore le déguster tartiné de beurre et de miel ou de Amlou la pâte à tartiner berbère, de fromage ou de confiture.

Le fameux Batbout pain marocain express (10 minutes), connu également sous d’autres noms tels que mkhamer, toghrift et matlou ou matlouh en Algérie. En vue de vous faciliter la tache, je vous propose une version de préparation expresse facile à réaliser qui vous donnera, en un rien de temps, ces succulents pains moelleux à déguster au gré des envies.

Ce batbout est parfait pour en faire des sandwich de toutes sortes, vous pouvez en réaliser en format mini pour le garnir de thon maïs et fromage, de dés de poulet au curry ou de viande hachée et un peu de salade verte. Ou tout simplement de quelques crudités. Il est idéal pour accompagner des viandes grillées telles que le kefta ou le boulfaf.

Les ingrédients :

  • 150 g de semoule extra fine (1 verre)
  • 420 g de farine blanche (3 verres)
  • 170 ml d’eau tiède (1 verre)
  • 170 ml de lait tiède (1 verre)
  • 20 g de levure boulangère fraîche ou 1 cuillère à soupe de levure déshydratée
  • 1 cuillère à soupe d’huile
  • 1 cuillère à soupe de sucre
  • 1 cuillère à soupe de lait en poudre (facultatif)
  • 1 et 1/2 cuillère à café de sel de Guérande (10 g)
  • De la farine ou de la semoule pour le façonnage

La préparation :

  1. Dans le bol du robot pétrin ou dans un grand saladier, mettre la levure boulangère, le sucre, le lait en poudre, l’eau tiède, le lait tiède et mélanger le tout à l’aide d’un fouet. Ajouter la semoule extra fine et continuer de mélanger au fouet. Incorporer 1 verre de farine (140 g) et fouetter le tout jusqu’à obtention d’un mélange homogène et lisse.
  2. Couvrir le mélange d’un film alimentaire ou d’un torchon propre et laisser reposer 10 minutes dans un endroit chaud loin des courants d’air.
  3. Une fois les 10 minutes ont passé, des bulles vont apparaitre sur la surface et le mélange devient mousseux. Ajouter les 2 verres de farine blanche restants (280 g), le sel et l’huile puis pétrir pendant 5 à 10 minutes à la main ou à l’aide du crochet au robot pétrin jusqu’à obtenir une pâte souple légèrement collante. Couvrir la pâte d’un film alimentaire puis la laisser reposer 10 minutes .
  4. Sur un plan de travail fariné, façonner 10 boules avec la pâte de taille égale. Disposer les boules sur une surface légèrement farinée.
  5. Sur le plan de travail, parsemer un peu de semoule fine puis étaler chaque boule sur une épaisseur de 0,5 cm environ à l’aide d’un rouleau à pâtisserie.
  6. Placer les disques de pâte sur un torchon propre puis les couvrir d’un autre torchon et laisser lever pendant 10 minutes.
  7. Chauffer une grande poêle anti-adhésive à feu moyen, faire cuire le Batbout sur feu moyen en le déposant délicatement sur la poêle .
  8. Cuire la première face jusqu’à ce que des petites bulles apparaissent sur la surface puis retourner la à l’aide d’une spatule pour faire cuire la deuxième face, puis retourner le régulièrement vous allez voir que la galette va gonfler et se remplir d’air c’est bon signe ça veut dire que vous avez réussi votre mission. Poursuivre la cuisson des autres galette de la même façon .

Bonne réalisation et bonne dégustation !

Astuces et conseils:

Pour conserver les pains batbout il suffit de les mettre dans des sacs de congélation puis les mettre au congélateur. Pour les déguster il suffit de les sortir 1 heure à l’avance et laisser les décongeler à température ambiante puis les faire chauffer dans une poêle 1 à 2 minutes de chaque coté.

Doughnuts de Marianne

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Aujourd’hui, je vous dévoile une recette fétiche de la Baker’s Family tout droit venue du Missouri : le Doughnut. Et c’est Marianne, la fille ainée de Joséphine Baker, qui me l’a soufflée lors de notre émission des « Carnets de Julie à la table de Joséphine Baker ». Let’s go !

Les ingrédients :

  • 7 g de levure de boulanger
  • 25 cl de lait tiède
  • 1 CC de sel fin
  • 525 g de farine T 55
  • 60 g de beurre
  • 160 g de sucre
  • 2 œufs
  • 1 CC de noix de muscade râpée
  • Sucre glace

La préparation :

  1. Diluez la levure dans le lait. Ajoutez 300 g de farine et travaillez la pâte vigoureusement pour qu’elle soit homogène. Couvrez d’un linge et laissez lever 30 minutes.
  2. Mélangez ensuite le beurre fondu, le sucre, le sel, les œufs, la muscade et ajoutez le tout à la pâte. Incorporez peu à peu le reste de farine. Travaillez la pâte 2 à 3 minutes à la main (si elle est trop collante, ajoutez un peu de farine). Couvrez d’un linge puis laissez “pousser” 3 h à l’abri des courants d’air.
  3. Étalez la pâte sur une surface farinée sur environ 1,5 cm d’épaisseur. Taillez des cercles de pâtes avec un emporte-pièce de 7 cm (possible jusqu’à 9 cm). Retirez le centre avec un emporte-pièce de 2 à 3 cm.
  4. Plongez les doughnuts 3 par 3 dans de l’huile de tournesol chauffé à 180°. Laissez cuire 2 à 3 minutes sur chaque face. Égouttez sur du papier absorbant. Saupoudrez de sucre glace une fois tiède.

Palmiers à la cannelle par Cyril Lignac

Les ingrédients :

  • 1 rouleau de pâte feuilletée
  • 50 g de sucre
  • Cannelle en poudre

La préparation :

  1. Déposez la pâte feuilletée bien froide sur le plan de travail saupoudré de sucre, retournez la pâte, saupoudrez de sucre à nouveau, puis de cannelle en poudre.
  2. Pliez en deux, dépliez, puis pliez des deux côtés, pour marquer la pâte. Repliez ensuite chaque moitié pour obtenir 3 plis de chaque côté. Quand vous avez
  3. fait cette opération, pliez les bords, un premier pli de chaque côté, puis un deuxième pli, puis un troisième et rejoindre ainsi le centre. Il faut qu’il y ait assez de sucre sur tout l’ensemble de la pâte.
  4. Préchauffez le four à 180 °C. Coupez en deux le boudin de pâte obtenu, puis taillez des deux côtés des tranches de 2 cm d’épaisseur, déposez-les en quinconce sur une plaque à pâtisserie antiadhésive (sans matière grasse ni papier sulfurisé). S’il vous reste des palmiers crus, mettez-les au frais en attendant de les cuire.
  5. Enfournez-les pour 20 minutes. À la sortie du four, déposez délicatement les palmiers sur une grille pour qu’ils refroidissent.

Gâteau breton de Joseph

Dans le petit village de Bretagne d’où je suis originaire, le gâteau breton de Joseph est une vraie légende. Avec sa recette, c’est une de ces coutumes qui ont du bon (goût) que je souhaite partager avec vous.

Les ingrédients :

  • 20 cl de rhum
  • 2 sachets de sucre vanillé
  • Vanille
  • 7 jaunes d’oeuf
  • 1 jaune d’oeuf
  • 5 g de levure
  • 300 g de sucre
  • 350 g de beurre demi-sel
  • 500 g de farine

La préparation :

  1. Préchauffez le four à 180°C. Dans un récipient, mélangez la farine, la levure, le sucre et le sucre vanillé. Ajoutez ensuite le beurre ramolli, les jaunes d’œufs et le rhum. Commencez par remuer avec une cuillère en bois puis pétrissez avec les mains jusqu’à obtenir une boule de pâte lisse, brillante, mais ferme.
  2. Étalez cette boule dans un moule à manqué et aplatissez-la avec la paume de la main. Lorsque la surface est lisse, étalez le dernier jaune d’œuf sur le dessus à l’aide d’un pinceau. Terminez en dessinant des traits de long en large sur la surface à l’aide d’une fourchette. Enfournez pour 1 heure à 180°C.
  3. Sortez du four et attendez le complet refroidissement avant de démouler.

Conseils

L’idéal est d’attendre un peu avant de le déguster (si on peut) il n’en sera que plus ferme et donc moins friable. La découpe du gâteau est également importante. On le coupe en y faisant des portions plutôt petites en forme de carré ou de losange (en suivant les dessins réalisés à la fourchette).

Saucisses cocktail

Les ingrédients :

  • 40 saucisses cocktail
  • 2 pâtes feuilletées rondes
  • 1 œuf
  • 20 graines de sésame

La préparation :

  1. Préchauffez le four à 200°C.
  2. Placez la première pâte feuilletée sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.
  3. Déposez au milieu 8 saucisses cocktail.
  4. Couvrez avec la 2e pâte feuilletée en pressant bien sur les côtés.
  5. À l’aide de la pointe d’un couteau, coupez 16 bandes de pâte tout autour.
  6. Placez une saucisse cocktail sur la 1ere bande de pâte feuilletée (celle du haut) et enroulez-la.
  7. Faites pareil avec les autres bandes de pâte et essayez de rouler les saucisses d’une façon harmonieuse.
  8. Refaites l’opération sur les bandes de pâte feuilletée du bas jusqu’à obtenir un façonnage soleil.
  9. Badigeonnez soigneusement le soleil feuilleté d’œuf battu.
  10. Saupoudrez le soleil feuilleté de graines de sésame.
  11. Mettez à cuire pendant 40 minutes selon votre four.
  12. Dégustez chaud ou tiède avec les sauces de votre choix.

Citron caviar : plantation, culture, entretien et récolte

Le citron caviar est très prisé par les plus grands chefs cuisiniers pour parfumer des mets délicats. L’intérieur du citron-caviar est fait de petites perles qui renferment le jus et éclatent en bouche. Le fruit, allongé, ressemble à un cornichon, il peut être vert ou noir en passant par le jaune, le rouge ou le brun. Très parfumé, il accompagne très bien les poissons, les huîtres et autres fruits de mer. Son goût en bouche vacille entre le citron et le pamplemousse. Cet agrume est très onéreux, alors apprendre à le cultiver peut être très intéressant. Découvrez comment vous occuper du petit arbuste du citron caviar !

 

1. Où et quand planter le citron caviar ? 

Le citron caviar se plante de préférence au printemps, mais dans les régions les plus chaudes, l’automne est également une bonne période. Le citron caviar se plante en pleine terre seulement dans les régions chaudes du contour méditerranéen, dans les zones dites de “l’oranger”. Pour les autres régions, vous planterez en bac ou en pot avec un substrat de qualité.

En effet, comme tous les agrumes, le citron caviar ne pousse que dans un environnement chaud et ensoleillé. Il n’est pas du tout rustique. Il apprécie les sols non calcaires, légers, bien drainés et riches. Pour un meilleur développement, choisissez un engrais « spécial agrumes » et apportez-lui-en tout au long de sa croissance.

2. Comment planter le citron caviar ?

Plantation en pleine terre :

  • Creusez un trou qui fait 2 fois la hauteur et la largeur de la motte.
  • Au fond du trou, posez un lit de drainage (graviers ou billes d’argile).
  • Ajoutez du compost bien décomposé.
  • Vérifiez que la motte est légèrement humide. Sinon, trempez la souche dans un seau d’eau quelques secondes.
  • Plantez le citron caviar au centre du trou. Le point de greffe doit correspondre avec le niveau du sol.
  • Comblez le trou avec de la terre du jardin.
  • Arrosez généreusement.

Plantation en pot ou en bac :

  • Choisissez un très grand pot si possible en terre d’environ 80 cm de diamètre et de profondeur.
  • Posez un lit de drainage (graviers ou billes d’argile) d’une épaisseur de 5 à 10 cm.
  • Préparez un mélange de terre de jardin (2/3) et de terreau de plantation (1/3) en y incorporant un engrais spécial agrumes. Remplissez le pot de moitié.
  • Placez le citronnier au centre et finissez de remplir autour de la motte. Tassez bien la terre.
  • Arrosez généreusement.
  • Placez l’arbuste dans une serre ou une véranda lorsqu’il fait froid ou qu’il gèle.
  • Le rempotage des plants se fait seulement lorsqu’ils se sentent à l’étroit.

3. Entretien et récolte du citron caviar

Le citron caviar ne supporte pas les températures allant en dessous de 7°C. En hiver, placez un voile d’hivernage s’il se trouve en pleine terre. En pot, la température ne doit pas descendre en dessous des 10°C. L’arrosage se fait seulement lorsque la terre est entièrement sèche et il ne faut pas toucher à son feuillage. Les arrosages doivent donc être réalisés avec parcimonie.

Au printemps, apportez un engrais spécial agrumes pour l’aider dans sa croissance. Pour la récolte, cueillez les citrons dès qu’ils se détachent facilement de la branche. Le citron caviar ressemble un peu à un citron vert mais sa forme est plus allongée et sous son écorce on trouve de la pulpe de citron en forme de petites billes translucides à l’intérieur. Son goût est légèrement acidulé avec un parfum léger de pamplemousse. Comme beaucoup d’arbres fruitiers, sa fructification peut être longue, il faudra être patient. Sa floraison a lieu entre mars et avril.

Les plus grands chefs cuisiniers s’arrachent le citron caviars qu’ils cuisinent avec des saint-jacques, du saumon, avec de simples salades vertes et en alliant son goût unique avec d’autres agrumes tels que les oranges, la mandarine ou le kumquat.

3 conseils pour réussir votre ratatouille

S’il y a bien un plat que l’on attend avec impatience de pouvoir déguster depuis des mois, c’est bien la ratatouille… Sauf quand elle est ratée. Amère, aubergines pas assez cuites, légumes qui rendent de l’eau et autres problèmes de préparation sont très frustrants. Pour ne pas que ça arrive, voici les 3 conseils de Chef Christophe pour préparer la meilleure ratatouille possible.

Comment faire pour que ma ratatouille ne soit pas amère ?

Pour que votre ratatouille ne soit pas amère, il faut bien faire cuire vos aubergines. Comptez au moins 1h30 de cuisson. C’est le genre de légumes qui ne rigole pas avec la cuisson… Si elles ne sont pas assez cuites, elles ont un goût amer qui peut gâcher tout le plat. Ce serait dommage après tous les efforts que vous avez faits pour cuisiner cette ratatouille maison. L’astuce, c’est de commencer par la cuisson des aubergines puis d’y ajouter le reste des ingrédients un à un.

Comment faire pour que ma ratatouille soit compotée ?

Pour préparer la ratatouille, il y a 2 écoles. Ceux qui cuisent chacun des légumes séparément pour ne pas mélanger les saveurs et ceux qui laissent tout mijoter ensemble, en ajoutant les ingrédients petit à petit.

Pour avoir une ratatouille compotée, avec des légumes qui fondent en bouche sans pour autant perdre toute leur texture, Chef Christophe conseille de cuire tous les légumes ensemble. Mais le petit plus du chef, c’est d’éplucher une bande sur deux de l’aubergine pour avoir une texture plus onctueuse.

Comment faire pour que ma ratatouille ait du goût ?

Pour que la ratatouille soit pleine de saveurs, il n’y a pas de miracle, il suffit de choisir des légumes cueillis à maturité mais encore fermes, preuve de leur fraîcheur. L’idéal est de vous fournir auprès d’un producteur local qui, d’une part, vous aidera à choisir de bons produits et, d’autre part, vous garantie que vos légumes ne voyagent pas depuis des jours. Mais ce n’est pas tout.

Le choix de l’huile d’olive est également un critère très important puisqu’elle parfume divinement ce plat de légumes. Nous vous conseillons de la choisir vierge extra et extraite à froid. Les huiles d’olive vierge extra seront nécessairement obtenues par un procédé mécanique, sans traitement chimique ni chauffage. Cela leur procure la meilleure qualité gustative possible, tandis qu’une huile vierge aura été légèrement chauffée pour sa fabrication et sera un peu plus acide.

Enfin, jouez avec les herbes aromatiques. Comme leur nom l’indique, elles apporteront beaucoup de saveurs au plat.

Open Cola

Open Cola est un cola unique dans le fait que sa recette est disponible librement.

Au contraire de marques de cola qui gardent les secrets de fabrication des boissons gazeuses étroitement cachés, plusieurs organisations ont libérés leurs propres recettes.
N’importe qui donc est libre de reconstituer cette boisson ou modifier sa recette, à la condition que celle-ci soit sous Licence publique générale GNU.

Bien qu’originellement créée dans le but d’expliquer le concept de logiciel open source, la boisson s’est vendue à plus de 150 000 canettes.
Laird Brown, responsable de la stratégie de la société canadienne d’informatique éponyme, attribue ce succès à la méfiance répandue envers les grandes entreprises multinationales et à la nature propriétaire de presque tout (« proprietary nature of almost everything »).
La stratégie de marketing de la société a depuis changé et la boisson n’est plus promue sur son site Internet.

La recette se passe en 3 phases : préparation d’un concentré aromatique qui entre dans la composition d’un sirop, qui sera dilué dans de l’eau gazeuse.

Concentré aromatique Open Cola

Les ingrédients :

  • 10 g de gomme arabique
  • 3,5 ml d’huile essentielle d’orange
  • 3 ml d’eau
  • 2,75 ml d’huile essentielle de citron vert
  • 1,25 ml d’huile essentielle de cannelle-casse ou cannelle de Chine
  • 1 ml d’huile essentielle de citron
  • 1 ml d’huile essentielle de muscade
  • 0,25 ml d’huile essentielle de coriandre
  • 0,25 ml d’huile essentielle de néroli
  • 0,25 ml d’huile essentielle de lavande

Instructions

Concentré aromatique

  1. Mélangez toutes les huiles essentielles ensemble.
  2. Ajoutez la gomme arabique et mélangez à la cuillère.
  3. Ajoutez l’eau et mélangez bien. Pour cette étape, utilisez un mélangeur ou un batteur à main pour bien obtenir un mélange parfaitement homogène.

Notes

Le concentré aromatique peut être fait à l’avance et stocké pour un usage ultérieur. Réservez-le alors dans un bocal en verre fermé dans le réfrigérateur ou à température ambiante. Lors d’un stockage prolongé, les essences et l’eau peuvent se séparer. Mélangez de nouveau juste avant l’emploi. La gomme arabique limite ce phénomène une fois la boisson diluée.

Avertissement

Plusieurs essences utilisées dans la préparation du concentré aromatique peuvent brûler la peau. Faites bien attention durant la préparation : portez par exemple des gants en latex et protégez vos yeux des projections.

Sirop d’Open Cola

Les ingrédients :

  • 2,36 kg de sucre blanc
  • 2,28 l d’eau
  • 30 ml de colorant couleur caramel (E150d) (facultatif, c’est un colorant artificiel !)
  • 1,75 ml d’acide phosphorique à 75 % ou d’acide citrique
  • 10 ml de concentré aromatique Open Cola
  • 2,50 ml de caféine (facultatif) (manipuler avec précautions)

Instructions

Préparer le sirop

  1. Mélangez le concentré aromatique avec de l’acide phosphorique à 75 % ou citrique dans un grand récipient (5 L)
  2. Ajoutez l’eau et le sucre, et si désiré, la caféine tout en mélangeant.
  3. Assurez-vous que la caféine est complètement dissoute avant de passer à la prochaine étape.
  4. Ajoutez le colorant caramel et mélangez complètement. ( non obligatoire mais la boisson sera transparente )

Notes

Le colorant couleur caramel E150d n’apporte rien de plus que de la couleur , c’est un colorant chimique et ne pas l’utiliser semble être une bonne idée, mais je livre la recette telle qu’elle existe sous sa forme originale.
Il peut être difficile de trouver tous les ingrédients. Ils ne sont pas toujours disponibles dans les supermarchés. Essayez de les chercher dans les boutiques spécialisées dans leur section cuisine ou en pharmacie.
Ne confondez pas cette recette faite maison avec le cola en canettes qui est distribué dans les supermarchés et autres boutiques, distributeurs…
Tandis que la recette est identique, le processus de mise en boite du soda est au-delà de la portée de cette recette.

Avertissements

La caféine est toxique à hautes doses. Faites attention à ne pas en ajouter trop à votre mélange, diluez toujours convenablement et n’en ingérez pas de grandes quantités.

Open Cola – le soda (boisson finale)

Les ingrédients :

  • 200ml de sirop d’Open Cola
  • 1L d’eau gazeuse

Instructions

  1. Diluez le sirop d’OpenCola à raison d’un volume pour cinq volumes d’eau. En d’autres mots, utilisez cinq fois plus d’eau que de sirop
  2. Créez la boisson gazeuse. Il y a plusieurs manières de faire la boisson:
    *Gazéifiez la boisson vous-même.
    *Mélangez de l’eau gazéifiée directement avec le sirop, comme décrit dans l’étape précédente.
    *Utilisez une fontaine à soda qui combinera le sirop avec de l’eau gazéifiée au robinet.

7 conseils pour arriver à prononcer le mot « Spritz » au bout de son troisième verre

Véritable phénomène de l’été, le Spritz se distingue par son goût inimitable, mais également par l’embouteillage de consonnes qu’il provoque en bouche en cas d’absorption en trop grande quantité. Voici 7 conseils pour arriver à retrouver une diction correcte au moment de prononcer l’imprononçable.

Apprendre le langage des signes
Pour les meilleurs d’entre vous, des stages étalés sur trois semaines permettent d’acquérir les bases du langage des signes et ainsi vous permettre de revenir sans avoir à utiliser votre voix pour commander votre Spritz. À noter que si l’alcool provoque chez vous un problème de coordination des membres inférieurs, cette technique est à oublier (et il serait peut être temps d’avouer que vous avez un problème avec l’alcool).

Menacer le serveur sans parler
Le simple fait d’agiter une bâte de baseball au dessus de votre tête en fixant le serveur avec un air flippant devrait lui faire comprendre qu’il est temps d’envoyer la petite sœur.

Se faire des amis orthophonistes pour sortir en soirée
Prêts à intervenir en cas de crise aiguë, ils permettent de travailler sur les fondamentaux dès le début de la soirée. Les orthophonistes font de très bon compagnons de soirée. De plus, ils aiment chanter des chants paillards quand il sont ivres et n’hésiteront pas non plus à reprendre vos fautes de grammaire.

Utiliser le capitaine de soirée comme traducteur
L’occasion rêvée d’aller vers cette étrange personne que vous n’auriez sûrement pas invitée si elle n’avait pas le permis de conduire.

Tenter de prononcer le mot « pique »
Si l’absorption d’alcool s’est déroulée dans de bonnes conditions, les consonnes, dites « consonnes fantômes » S, R, T et Z peuvent faire leur apparition au bout de quelques dizaines de minutes. Dans certains cas, des passages entiers de romans du XIXe siècle peuvent être constatés

Simuler une crise de manque
Lucidité, ennui, et quelques mots sur la météo sont les premiers symptômes d’une crise de manque. Des signes qu’un bon serveur saura remarquer pour venir vous resservir sans que vous n’ayez à lui adresser la parole.

Parler la bouche pleine
S’exprimer la bouche pleine a pour effet d’éliminer plus de 70 % des consonnes que l’on ne souhaite pas prononcer lorsqu’on a trop bu mais aussi de réduire de 700% vos chances de séduire quelqu’un dans la soirée. Des cacahuètes, le fond de votre dernier verre ou votre propre main feront très bien l’affaire.

(Source : Le Gorafi)

Fougasse sucrée à la fleur d’oranger

Les ingrédients :

Pour un cercle de 32 cm

  • 400 g de farine
  • 200 g de lait
  • 35 g de fleur d’oranger
  • 40 g de sucre
  • 60 g de beurre tempéré
  • 3 jaunes d’oeuf
  • 1,5 cc de levure boulangère
  • 1 cc de sel
  • Finitions Sucre Beurre

La préparation :

  1. Dans le bol du robot muni du crochet, verser la farine, le sel et la levure en évitant qu’ils se touchent puis les jaunes d’œuf.
  2. Actionner l’appareil et verser lentement le lait tiédi, la fleur d’oranger, puis le beurre ramolli, morceau par morceau et le sucre en dernier.
  3. Au bout de 10 min, la pâte forme une boule qui se décolle des parois. Elle est souple, lisse, élastique et non collante. Couvrir d’un torchon et laisser lever 1 heure.
  4. Rabattre la pâte et l’étaler dans un cercle beurré posé sur une plaque recouverte de papier cuisson. Couvrir d’un torchon et laisser de nouveau pousser : la pâte doit doubler de volume.
  5. Appuyer avec le doigt pour former des alvéoles, poudrer généreusement de sucre puis de noisettes de beurre.
  6. Enfourner à peine 15 min à four préchauffé à 220°. Saisie, la pâte cuit très vite et n’a pas le temps de dessécher.
  7. Moelleuse à souhait !

Smoothies au fruit du dragon

Pour faire suite à l’article sur le fruit du dragon ou Pitaya, voici deux recettes de smoothies inspirées par Anthony William (Médical Médium). Ces smoothies vont donner un coup de jeûne à votre foie.

Les ingrédients :

    1er Smoothie :

  • 2 bananes ou ½ papaye
  • 1 tasse de fruit du dragon
  • 2 tasses de bleuets sauvages (ou mûres, cerises)
  • 1 tasse d’ eau ( si nécessaire)
  • 2ème Smoothie :

  • 1 banane ou ¼ de papaye
  • 1 mangue
  • 1 tasse de fruit du dragon
  • 1 branche de céleri
  • ½ tasse de pousses
  • ½ citron vert (ou jaune)
  • 1 tasse d’ eau ( si nécessaire )

Mélanger tous les ingrédients dans le mixeur. Mélanger jusqu’à consistance lisse. Si désiré, verser jusqu’à ½ tasse d’eau pour atteindre la consistance désirée.
Donne 1-2 portions
Régalez-vous bien et surtout faites-vous du bien !

Plus salées, plus sucrées et plus chères : les mayonnaises allégées sont « une arnaque » selon Foodwatch

L’association Foodwatch a étudié la composition des mayonnaises allégées de plusieurs grandes marques et le constat est sans appel : elles sont beaucoup moins qualitatives que les sauces classiques. Plus salées et plus sucrées, les mayonnaises « light » sont également plus chères… Foodwach a lancé une pétition auprès des consommateurs.

Une « fumisterie » : le constat de Foodwatch est sans appel. Comme le rapporte Le Parisien jeudi 17 juin, l’association qui milite pour une meilleure alimentation a testé la qualité des mayonnaises allégées. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il vaut mieux opter pour une mayonnaise classique pour ses repas.

Les produits présentés comme « light » sont certes plus pauvres en graisse mais présentent un taux de sucre très important. À Auchan par exemple, la mayonnaise allégée est trois fois plus sucrée que la classique. Même constat à Carrefour, Cora, Monoprix ou U. Elles sont également beaucoup plus salées, notamment sous la marque Bénédicta. Et pour rendre la sauce plus légère, les fabricants n’hésitent pas à remplacer l’huile par de l’eau.

Des produits beaucoup plus chers
« En fait, comme on diminue le gras et que cela enlève du goût, les marques ont fait le choix de rajouter du sucre et du sel pour relever ces sauces », expliquent à nos confrères Camille Dorioz, directeur de campagne de Foodwatch. Toutes ces manipulations ont des effets sur le Nutriscore des produits, qui sont classés D chez Amora et Bénédicta mais E chez tous les autres.

Foodwatch a lancé une pétition à destination des consommateurs, pour alerter les grandes marques. Car l’association évoque en parallèle une « arnaque sur l’étiquette » : les prix des mayonnaises allégées sont en effet beaucoup plus chers que ceux des classiques. Celle de Bénédicta coûte par exemple 51 % de plus. Chez Amora, on explique : « Nous ne fixons pas les prix en tant que fournisseur et les distributeurs sont libres de fixer le prix souhaité de nos produits qu’ils revendent ».

Les bienfaits du gingembre

 
🌞 Pour la petite histoire, le terme « gingembre » est dérivé du sanskrit shringavera, qui signifie « en forme du bois du cerf ». De là sont apparus le grec ziggiberis et le latin zingiber, puis gingibre en français, et finalement gingembre, qui apparaît pour la première fois en 1256 dans un ouvrage écrit.
On le surnomme « maha aushadh » en médecine ayurvédique, qui peut se traduire par « excellent médicament ».
Utilisé depuis des millénaires en Chine et en Inde, il est également l’un des ingrédients favoris du régime d’Okinawa, cette île du Japon où l’on trouve le plus grand nombre de centenaires au monde.
Intéressant non ? Je crois que nous sommes maintenant prêt à en découvrir d’avantage sur l’histoire et les bénéfices du gingembre sur notre santé physique et mentale.
 
 
🍀Un peu d’histoire…
Le gingembre est utilisé depuis près de 5.000 ans dans la médecine traditionnelle chinoise ainsi que dans la médecine ayurvédique. Cet aliment, appelé « Shen Fiang » en chinois, était destiné à protéger le corps contre les maladies liées à une augmentation du Yin (associées au froid et à l’humidité).
Sous l’empire romain, le gingembre était populaire pour ses usages médicinaux, en particulier pour soigner les problèmes gastriques et intestinaux, les troubles digestifs, la grippe et les douleurs musculaires. Avec la chute de l’Empire romain, le gingembre est cependant tombé quelque peu dans l’oubli.
On retrouve des traces du gingembre un peu partout dans le monde et dans de nombreuses civilisations : Perse, Égypte, Grèce, Rome, France et même Angleterre où un bol de gingembre trouvait aisément sa place sur la table d’Henry VIII.
 
🍀 Vitamines et nutriments
🌈Des vitamines B, C, et E
Le gingembre apporte de nombreuses vitamines, notamment des vitamines du groupe B (B1, B2, B3, B5, B6, B9), de la vitamine C ainsi que de la vitamine E. Cette dernière contribue à la protection de nos cellules contre les radicaux libres responsables du vieillissement.
🌈Riche en manganèse
Il renferme aussi plusieurs minéraux et oligo-éléments. On y trouve notamment de l’iode, du magnésium, du manganèse, du phosphore, du potassium et du zinc. Cette épice est particulièrement riche en manganèse : 100 g de gingembre couvrent plus de 30 % des VNR (valeurs nutritionnelles de référence). Le manganèse contribue au maintien d’une ossature normale et à un métabolisme énergétique normal. Il protège également les cellules du stress oxydatif.
🌈Source de potassium
La teneur en potassium du gingembre est également intéressante. C’est une bonne nouvelle pour les sportifs lorsque l’on sait que le potassium est très impliqué dans la fonction musculaire et qu’il contribue au métabolisme des glucides. Le potassium est un minéral indispensable pour la pratique sportive !
🌈Riche en fibre
Autre bonne nouvelle : le gingembre est un aliment riche en fibres. En effet, il apporte environ 2,7 g de fibres pour 100 g, ce qui est supérieur à la teneur moyenne en fibres des légumes. Les fibres sont bénéfiques pour le transit intestinal et ont un effet rassasiant.
 
Des principes actifs vertueux
Mais le principal atout nutritionnel de cette plante réside dans sa très forte concentration en principes actifs. Parmi eux se trouve le gingérol, à l’origine des pouvoirs antioxydants et anti-inflammatoires du gingembre. Le gingérol est un constituant majeur du gingembre.
🍀Les principaux composés actifs responsables du goût piquant du gingembre frais sont le (6)-gingérol et le (10)-gingérol.
Durant la déshydratation du gingembre, les gingérols sont convertis en composés nommés shogaols. Ce groupe de composés se retrouve donc en plus grande quantité dans le gingembre séché ou en poudre que dans le gingembre frais. Une étude démontre que les shogaols pourraient protéger les cellules d’un composé impliqué dans le développement de la maladie d’Alzheimer.
🍀Les gingérols et les shogaols contenus dans le gingembre joueraient un rôle dans l’effet antiémétique (la capacité de prévenir ou d’arrêter les nausées et les vomissements), en agissant entre autres sur la réduction des mouvements de l’estomac.
Il est important de préciser qu’à ce jour, la majorité des études ont été réalisées avec du gingembre en poudre (capsules) et en le comparant à un placebo. Ainsi, il est difficile de déterminer si la consommation de gingembre frais, cristallisé ou en tisane, par exemple, pourrait procurer les mêmes effets.
🍀Le gingembre soulage les problèmes digestifs. Les composés phénolites dans le gingembre ont été démontré pour soulager l’irritation dans le tractus gastro intestinal. Ils aident à stimuler la production de salive et de bile, tout en permettant aux aliments et aux liquides de se déplacer à travers le tractus gastro intestinal plus facilement.
Dans une étude 24 personnes en bonne santé, ont pris 1,2g de poudre de gingembre avant un repas, ce qui a accéléré la vidange de l’estomac, réduisant à 50% les indigestions.
🍀Les propriétés anti-inflammatoires de certains constituants du gingembre sont reconnues depuis fort longtemps et sont bien documentées. Parmi les composés connus, nous pouvons mentionner les gingérols, mais aussi les shogaols et les paradols qui exerceraient leurs effets par différents mécanismes d’action. Chez l’humain, la consommation de gingembre a démontré des résultats prometteurs quant à la diminution des douleurs reliées à l’arthrite (quelques études seulement, réalisées à partir de gingembre frais). Par contre, les résultats de ces études sont difficiles à comparer, étant donné les différentes préparations et quantités de gingembre utilisées (de 0,5 g à 50 g de gingembre par jour). Davantage d’études sont donc nécessaires avant de conclure à un effet réel de la consommation de gingembre frais sur la prévention et le traitement des douleurs reliées à des troubles inflammatoires chroniques.
🍀Une récente étude scientifique rigoureuse a démontré un effet bénéfique de la consommation de 3 g de poudre de gingembre pendant 8 semaines chez des individus atteints de diabète de type 2. En effet, l’extrait de gingembre diminuerait les valeurs de glycémie à jeun et d’hémoglobline glycquée en plus d’améliorer la résistance à l’insuline.
 
🌈Un super anti-oxydant
Le gingembre frais possède aussi une forte activité antioxydante comparativement à d’autres légumes et épices consommés en Asie. À la suite d’une trentaine d’analyses effectuées, le gingembre, ainsi que le curcuma, la menthe, la coriandre, le brocoli et les choux de Bruxelles, se sont classés parmi les quatorze végétaux frais les plus fortement antioxydants.
 
🌈 Précautions
Différentes propriétés attribuées au gingembre (telles que des effets anticoagulant et hypoglycémiant) laissent supposer que sa consommation pourrait interférer avec certains médicaments, plantes ou suppléments, en augmentant leurs effets. À ce sujet, plusieurs auteurs recommandent aux personnes prenant des médicaments pour le sang (tels l’héparine, le coumadin ou l’aspirine) ou avant une chirurgie, d’éviter de consommer de grandes quantités de gingembre afin de diminuer les risques de saignements excessifs.
De plus, de grandes doses de gingembre pourraient interférer avec les médicaments pour le coeur (effet cardiotonique) et les médicaments pour le diabète (action hypoglycémiante). Ces risques d’interaction sont cependant théoriques et n’ont pas nécessairement été observés chez des patients.
 
🦋Il est donc recommandé de consommer le gingembre de manière raisonnée et éclairée !

Adoré ou détesté, le craquelin veut retrouver son lustre passé

Un livre retrace la riche histoire de ce biscuit ancestral qui est toujours consommé en Bretagne

Il est bien moins connu que le kouign-amann ou le far. Bien moins riche en beurre aussi. Le craquelin, sorte de biscotte bretonne, fait pourtant partie du patrimoine culinaire de la région. S’il reste toujours consommé en Bretagne, le craquelin a toutefois perdu de son croquant au fil des années. « C’est comme quand une langue meurt, la tradition s’est perdue », souligne Christophe Penot.

Auteur d’une soixantaine d’ouvrages, l’écrivain malouin a souhaité rendre ses lettres de noblesse à ce biscuit échaudé, d’abord cuit à l’eau puis au four, dont il est devenu accro. « J’en mange une dizaine par jour, au petit-déjeuner avec du beurre ou pendant les repas à la place du pain », indique-t-il. Dans La fabuleuse histoire des craquelins, qui vient de sortir aux éditions Cristel, Christophe Penot retrace la riche histoire de ce vieux biscuit dont on trouve trace dès le Moyen Age.

Il ne reste plus que cinq fabricants dans la vallée de la Rance
Considéré à l’époque comme une gourmandise, le craquelin n’avait alors rien de breton puisqu’on en consommait dans toute l’Europe, « de Brest jusqu’à Moscou ». Mais c’est en Bretagne que le craquelin, qui a la forme d’un disque à bords relevés, s’est ancré. Au début du XXe siècle, on comptait ainsi encore des centaines de craqueliniers dans le Grand Ouest. Ils ne sont désormais plus que cinq, tous implantés dans la vallée de la Rance entre Dinan et Saint-Malo.

Comment expliquer ce désamour ? « L’alimentation et les goûts ont changé », résume simplement Christophe Penot. Car même en Bretagne, le craquelin ne fait pas consensus, bon nombre de personnes le trouvant fade. « Ce n’est pas un produit qui flatte le palais mais plutôt l’imaginaire », souligne l’auteur.

« Une madeleine de Proust pour plusieurs générations de Bretons »
A l’heure de la mondialisation dans nos assiettes, le biscuit, fait à base de farine de blé, d’œufs, d’eau et de malt d’orge, souffre en effet une image un peu vieillotte. « Dans l’esprit de beaucoup de gens, le craquelin est un produit d’hier qu’on mangeait à l’époque de nos grands-parents ou de nos parents », indique Régis Boiron, président des Craquelins de Saint-Malo. « Mais non, c’est un produit d’aujourd’hui, qui est en plus du terroir et qui est très riche d’un point de vue nutritionnel », poursuit dirigeant de la PME, leader sur le marché du craquelin avec 17 millions d’unités vendues chaque année.

Avec ses concurrents et néanmoins amis, Régis Boiron mise beaucoup sur la dimension affective du produit qui fleure bon le goût de l’enfance. « C’est un peu comme une madeleine de Proust pour plusieurs générations de Bretons et de Bretonnes, ça évoque tout de suite un heureux souvenir en famille », souligne-t-il.

Pour toucher de nouveaux consommateurs, Régis Boiron a également élargi sa gamme de produits en lançant des craquelins en format réduit pour l’apéritif ou des craquelins gourmands au caramel ou au chocolat. « On n’a pas le choix de s’adapter au marché pour faire perdurer le craquelin », assure-t-il.

Bûche de Noël façon tarte citron meringuée

Vous l’attendiez avec impatience depuis la publication de ma photo sur instagram… Voici la recette de ma bûche de Noël façon tarte au citron meringuée ! La meringue n’est pas trop sucrée car je n’aime pas les meringues trop sucrées. Le citron est bien acidulé. Mais l’ensemble est très équilibré. Un délice !

Les ingrédients :

    Pour le biscuit roulé :

  • 4 œufs
  • 100 g de sucre
  • 100 g de farine
  • 1 pincée de sel
  • Pour la crème citron :

  • 3 jus de citron (15cl)
  • 100 g de sucre
  • 15 g de fécule de maïs
  • 25 g de beurre
  • 3 œufs
  • Pour la meringue :

  • 2 blancs d’œufs (80g)
  • 80 g de sucre

La préparation :

    Préparez le biscuit roulé :

  1. Battez les jaunes d’œufs avec 50 g de sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et ajoutez-y la farine.
  2. Montez les blancs en neige avec les 50 g de sucre restant et incorporez-les délicatement à la préparation précédente.
  3. Versez la pâte sur un moule à génoise de 23 x 33 cm.
  4. Enfournez pour 10 minutes à 180 °C.
  5. Démoulez le biscuit sur un torchon et roulez-le immédiatement. Laissez-le refroidir.
  6. Préparez la crème citron :

  7. Mélangez la fécule de maïs et le sucre. Délayez avec quelques cuillerées de jus de citron.
  8. Incorporez les œufs battus et ajoutez le reste du jus de citron.
  9. Portez ce mélange sur le feu et montez à ébullition en fouettant constamment.
  10. Incorporez le beurre hors du feu, couvrez crème au contact et réservez-la.
  11. Déroulez le biscuit, étalez la crème et roulez délicatement et réservez-le 15 minutes au réfrigérateur.
  12. Dressez avec la meringue :

  13. Fouettez les blancs en neige, lorsqu’ils deviennent fermes, rajoutez le sucre et fouettez encore quelques secondes.
  14. Garnissez le dessus de la bûche avec une poche à douille et dorez la meringue à l’aide d’un chalumeau.

Dans les coulisses de la cuisine des chefs Bras à la Bourse du Commerce

Le père et le fils Bras offriront une cuisine céréalière en hommage à ce lieu, anciennement poumon des produits de la capitale.
Des pousses, des légumineuses et des grains pour donner du « niac » aux plats proposés : c’est le nouveau restaurant des Bras père et fils à Paris, clin d’œil au lieu qui les accueille, l’ancienne Halle aux blés dans la Bourse de Commerce-Collection Pinault. « Ce lieu est profondément ancré dans l’histoire des céréales, c’était le poumon de ces produits de la capitale. Il y a une belle histoire à raconter autour de cet univers », déclare Sébastien Bras, en présentant le restaurant « La Halle aux grains », abrité dans l’ancienne Bourse du commerce transformée en musée d’art contemporain et qui ouvrira le 10 juin.

Dans son ouvrage sur la gastronomie française avant la Révolution, l’agronome et auteur britannique Arthur Young décrivait en 1789 ce lieu bouillonnant : « Dans l’arène, que de pois, de fèves, de lentilles. […] Il y a de la farine sur les bancs. […] On passe par des escaliers doubles dans des appartements spacieux pour mettre du seigle, de l’orge, de l’avoine. »

Les céréales et légumineuses, que les Français affectionnent moyennement mais dont la consommation est encouragée par les nutritionnistes et les écologistes, seront le fil conducteur des assiettes des Bras à Paris. « Ce n’est pas une cuisine végane, ni végétarienne », souligne Michel Bras, père de Sébastien et pionnier il y a 40 ans du menu axé sur le végétal dans son restaurant étoilé Le Suquet, sur l’Aubrac, pays de l’élevage.

Pousses, légumineuses et oléagineuses
La « brasserie premium » parisienne sera ouverte toute la journée pour les visiteurs de la collection Pinault et des convives extérieurs, à des prix plus accessibles que ceux du célèbre Suquet. Dans la plupart des plats, pousses, légumineuses ou oléagineuses sont utilisées en « niac ». Un terme essentiel dans le vocabulaire gastronomique des Bras : il désigne ce qui « dynamise, tonifie et interroge par des provocations » et entraîne à de nouvelles saveurs.

« On va travailler autour des céréales fermentées, de graines germées déshydratées. C’est un peu la moutarde du pot-au-feu, un point d’accroche sur chacun de nos plats, salés ou sucrés », détaille Sébastien Bras. Des céréales sont travaillées sous forme de pickles. Une kacha soufflée légèrement assaisonnée de fleur de sel vient égayer un poisson étuvé. De la lentille lactofermentée disposée sur le fond de l’assiette pour relever une pièce de bœuf d’Aubrac rôtie.

« On a simplifié »
Dans le restaurant gastronomique Le Suquet à Laguiole, ces techniques étaient déjà utilisées, « mais pas de façon aussi poussée » qu’à Paris où elles sont « au cœur du projet », souligne Sébastien Bras. Le dessert qui tient « le plus à cœur » à Michel Bras ? Une crème à base de chicorée, accompagnée de meringues réalisées avec l’eau de cuisson de pois chiche. Et par-dessus un voile de kacha et des pousses de pois, qui amènent la sucrosité pour équilibrer la chicorée. Le tout servi avec un lait d’amarante.

Dans le même esprit, une gamme de vins avec pour thématique un « grain de raison ». De nombreuses bouteilles sont des mono-cépages, « des vins à prix abordables et d’interprétation facile », déclare Sergio Calderon, sommelier du restaurant gastronomique des Bras. « Les buveurs d’étiquettes sont déboussolés. Ici, ce sont les nôtres et des producteurs connus se cachent derrière », souligne-t-il.

« On a simplifié. On n’a pas la même approche lorsqu’on sort d’une expo que quand on fait 700 kilomètres pour se délecter », conclut-il, en référence au Suquet, sur le plateau volcanique de l’Aubrac, à deux heures de la moindre ville de 40 000 habitants.

Jaunes d’œuf confits

Le goût profond de l’œuf enfermé dans un petit diamant jaune brillant.
Encore une façon de cuire un œuf ? Oui. Est-ce bien utile ? Tout à fait. Confit au sel puis séché au four, ce jaune durci se transforme en petits copeaux sur un simple plat de pâtes, remplaçant sans pâlir le parmesan avec ses notes salées et son goût d’œuf riche et profond. Pour réussir à créer ces petits bonbons brillants, rien de bien sorcier, il vous faudra seulement du sel, des œufs et du temps.

Ingrédients :

  • 6 œufs bio très frais
  • 300 grammes de sel de mer
  • Quelques tiges de romarin (facultatif)

#1 Préparer le lit de sel


Dans un Tupperware, verser les trois quarts du sel et former de petites alvéoles pour y déposer les jaunes d’œuf. Pour infuser le sel, le mixer au préalable avec le romarin. Déposer délicatement les jaunes d’œuf sans les casser. Recouvrir du reste de sel, couvrir d’un film plastique, le trouer avec la pointe d’un couteau et le placer au frigo au moins 48 heures.

#2. Sécher les jaunes d’œuf


Retirer délicatement les jaunes du sel et les passer doucement sous l’eau froide pour retirer l’excédent de sel. Leur texture doit être caoutchouteuse et leur couleur orange profond, proche de celle d’un abricot. Placer les jaunes sur la grille du four et les laisser sécher 3 heures à 65 °C.

#3. Utiliser les jaunes confits


Après les avoir laissés refroidir, les jaunes d’œuf ont pris la texture d’une gomme, en gardant leur brillant. Vous pouvez les râper sur des pâtes, les gratter sur une tartine, ou pour les plus aventureux, les découper en lamelle sur des œufs de poisson.

J’ai ouvert une dark kitchen en plein confinement, et ça marche…

Sortir du chemin tout tracé, Antoine en fait sa maxime. Après avoir suivi celui qui lui était quasiment prédéfini au sortir de l’école de commerce, il a retourné la table pour se lancer dans la restauration, trois mois avant le confinement.

« Issu de la classe moyenne j’ai grandi en banlieue lyonnaise. Bac mention bien en poche, j’ai le choix entre partir faire de l’athlétisme à haut niveau aux Etats-Unis ou bien intégrer une classe prépa aux grandes écoles de commerce. En bon cartésien, je choisis la prépa en me disant que le sport n’est pas chose éternelle. Fin des concours, j’intègre l’EDHEC. Au bout de 5 ans, diplômé et plein d’ambitions, j’opte pour le conseil en stratégie, ma vie professionnelle débute à Paris.

Dans ma tête je me dis que « oui, j’y suis arrivé », j’ai un bon job, ma mère est fière de moi, les sacrifices financiers pour mon école ou de rêves sportifs outre-Atlantique en valaient la peine. Mais très vite, ça me rattrape, cette envie de faire quelque chose qui m’anime véritablement avec cette ritournelle qui tourne dans ma tête : tu seras excellent dans ton travail que si celui-ci te passionne vraiment.

Ma passion, c’est l’Afrique, en tant que franco-camerounais, je suis très attaché au continent. J’ai travaillé au Cameroun dans la logistique, au Nigeria dans l’e-commerce et j’ai longtemps songé à vivre là-bas. Mais ma vie est ici, en France, alors si je ne suis pas en Afrique, autant faire venir l’Afrique à Paris.

Des débuts prometteurs
La restauration a été une évidence car elle conjuguait le fait que j’adore la bouffe et le constat sans appel que les cuisines africaines ne sont que très peu représentées dans le pays de la gastronomie. Début 2019, je quitte alors mon travail, fais mes valises – ou plutôt mon sac à dos – et part pour 6 mois de voyage à travers le Cameroun, le Nigeria, le Ghana et le Sénégal avec un fil rouge : de la terre à l’assiette. Aller à la rencontre des producteurs, arpenter les étals des marchés de Lagos à Dakar, cuisiner de longues heures avec des mamas et noter leurs secrets de cuisine… un fantastique voyage qui marque véritablement le début de l’aventure Kuti.

De retour à Pairs, je cherche un.e chef.fe afin de créer la carte que j’ai en tête. Je fais la rencontre de la talentueuse cheffe Clarence Kopogo qui m’accompagnera dans ce long développement culinaire. Début 2020, j’ai la chance de pouvoir ouvrir un pop-up au 360 Paris Music Factory. Les choses se concrétisent : un vrai restaurant, une vraie cuisine, de vrais clients. Les débuts sont plutôt prometteurs, on a rapidement des clients réguliers ce qui n’était pas évident avec un brunch africain lancée en plein mois de janvier.

Tout remettre en question
14 mars 2020, il est 20h30, Edouard Philippe, le couperet tombe : fermeture des restaurants jusqu’à nouvel ordre, la transmission du virus est devenue incontrôlable… c’est la fin du pop-up. Pour moi, ce premier confinement est l’occasion d’une pause, de faire le point sur le chemin parcouru et surtout, le moment de me concentrer sur l’ouverture de mon premier vrai restaurant, un lieu hyper expérientiel et sans livraison !

Mai 2020, alors que je viens d’intégrer la Frégate, un incubateur de restaurants, je lis cet article du BCG qui scénarise un horizon de sortie de crise sanitaire. Pour eux, sans vaccin, pas d’issue possible et compte tenu de la recherche vaccinale, des délais de production et de distribution, aucun retour à la normale avant 12 voire 24 mois. Pour moi, c’est la prise de conscience, cette situation va perdurer beaucoup plus longtemps qu’imaginé, dans quelques mois mon chômage prendra fin, la mort du projet se fait poindre à moins que je réfléchisse à un modèle « COVID proof » qui pourra vivre même si on venait à être reconfiné.

C’est alors que je creuse le sujet des « dark kitchen », un modèle que je connaissais de nom mais qui était diamétralement opposé à ce que je voulais faire. Je pose quand même l’équation : lancer un modèle de restauration rapide sans salle et 100% livraison avec un investissement limité et une demande qui serait dopée en cas de confinement mais qui perdurait après la crise, la livraison étant de plus en plus adoptée. Il était évident que c’était le modèle à lancer dans les 2-3 prochains mois.

Mon challenge ? Pénétrer un marché dominé par le triptyque « PBS » (Pizza-Burger-Sushi) avec une cuisine complètement inconnue du grand public et une marque qui n’existe pas. J’étais certains que les recettes développées avaient un bon potentiel pour la livraison mais l’approche marketing devait être repensée et surtout hyper efficace car sans lieu physique les opportunités de convaincre un client sont très réduites.

Un restaurant, c’est 1.500 aléas à la journée
Lancer un restaurant, même sans salle, est un véritable défi à la fois physique et psychologique. On est sur un métier de flux physique, loin des claviers des prestations intellectuelles. On peut recevoir 100 kilo de viande d’un coup, on range, on porte, on déballe, c’est intense. Au début, il manque toujours un truc, vous courrez à droite à gauche sans arrêt, mon scooter s’est transformé en utilitaire par nécessité. Un restaurant, c’est 1.500 aléas à la journée qu’il faut gérer en un temps record pour assurer un service midi et soir 7 jours sur 7.

Et puis il faut apprendre à gérer du personnel – ici 4 salariés – l’encadrer, le former, l’accompagner. On prend conscience que son activité fait maintenant vivre des personnes qui ont eux aussi leur vie à gérer, des loyers à payer, des prêts à rembourser, le versement des salaires est toujours un moment stressant où il ne faut pas faire d’erreur. Bref, on lance une boite et en même temps on apprend à la faire tourner, ce n’est pas toujours évident, parfois très dur, mais on sait pourquoi on s’est engagé là-dedans, on y croit et on finit toujours par trouver une solution.

Prochaine étape : un restaurant physique
Après 5 mois d’ouverture, des moments de doutes, de remise en question, les résultats sont là : Hello Afro – la marque créée pour la livraison – génère entre 80 et 100 commandes par jour pour un ticket moyen de 24 euros, on rivalise certaines semaines avec la cuisine voisine qui appartient au plus « Big » des groupes de restaurants italiens et qui a récemment lancé son « Gang » en dark kitchen. J’avoue être moi-même un peu surpris par nos chiffres, je reste prudent en me disant que la période un peu particulière que nous vivons favorise nécessairement la livraison et qu’un ralentissement est à prévoir. Mais je suis déjà très fier d’avoir réussi à promouvoir les cuisines africaines, leur terroir sur un marché a priori incompatible et je rêve de poursuivre l’aventure notamment avec l’ouverture de restaurants physiques qui pousseront encore plus loin cette découverte des cuisines et cultures africaines. »

La pomme noire du Tibet, la reine des pommes !

Blanche-Neige  en aurait été toute retournée…  Selon certains chroniqueurs autorisés, elle aurait entrainé  la séparation des Beatles,  et de leur célèbre label. Quant à la jalousie de  Steve Jobs,  n’en parlons pas ! Il existe, bel et bien, une pomme complètement noire. Oui, vous avez bien lu. Noire comme du cirage. C’est la reine des pommes. Toutes les autres en sont jalouses et rougissent de colère. Certaines en verdissent de rage.

Mais d’où lui vient sa couleur ?
Originaire de la région autonome du Tibet, près de Linzhi, sa “couleur” vient du fait qu’elle pousse  en altitude, à 3000 m environ,  et   à  un ensoleillement exceptionnel. L’indice UV est particulièrement élevé et la différence de température notable entre le jour et la nuit (les nuits sont fraîches à 3000 m…) font qu’elle grille littéralement sur l’arbre ! Paradoxalement, son cycle de croissance est plus long que celui d’une pomme ordinaire, ce qui renforce d’autant l’aspect “charbon”.

À cette altitude, touristes et  insectes ravageurs sont moins nombreux, notre diamant noir a donc toutes les chances de grossir et mûrir en toute quiétude jusqu’à donner des fruits à la chair  très ferme  et au goût  très sucré, “comme du miel”, selon certains producteurs locaux. Elle est très croquante, presque croustillante pour les gourmets qui ont eu la chance de la savourer. Il faut dire qu’à 10 € la pomme, on la déguste !

La pomme noire du Tibet contient  un taux très élevé d’oligo-proanthocyanidines  (OPC) aux propriétés antioxydantes reconnues. Vous en trouverez certainement chez tout bon  apothicaire, sous forme de gélules, d’huiles essentielles ou autres…

On la trouve exclusivement au Tibet et en Chine, où elle est évidemment  un produit de luxe  qu’on offre aux personnes qui nous sont chères.