Une épice chère mais oh combien intéressante en cuisine
Le safran vous inspire. Dans une préparation de moules marinières, dans une confiture de rhubarbe et de pommes.
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De la Mousse Au Citron ,Des Biscuits , De la Meringue Italienne et Le Tour Est Joué
L’œuf est un aliment intéressant, très apprécié car pouvant être cuisiné de multiples façons et un ingrédient phare pour la pâtisserie, les quiches, etc. De plus, on peut l’utiliser pour du salé comme pour du sucré ! Mais saviez-vous que les coquilles d’œufs peuvent également s’avérer très utiles ?
Nous avons décidé de partager avec vous quelques précieux conseils sur les coquilles d’œufs. Ne les jetez pas, mais utilisez-les dans le jardin, le balcon ou vos tentatives de semis en cette période de quarantaine !
Vous allez découvrir que ce n’est pas un hasard si les coquilles d’œufs sont si populaires auprès des jardiniers et des producteurs !
1. Drainage
En plaçant des coquilles d’œufs dans le fond des pots ou des trous dans lesquels vous plantez, les coquilles aident à drainer et à fournir plus d’air aux plantes, a déclaré MIgardener.
2. Cure de minéraux
Selon MIgardener, les coquilles d’œufs contiennent de nombreux nutriments et minéraux, dont le calcium. Les coquilles se décomposent lentement, de sorte que vos plantes reçoivent lentement une dose parfaite de calcium.
3. Protection contre les limaces et autres insectes
Les coquilles d’œufs aident également à éloigner les petits escargots et vers à la recherche d’un repas. Placer des coquilles autour de la plante forme une barrière naturelle que les insectes n’aiment pas.
4. Tomates saines
En plaçant les coquilles sous les plants de tomates, poivrons, courgettes et potiron, la libération lente de calcium empêchera les légumes de pourrir trop vite, ce qui se produit lorsque les légumes manquent en calcium, écrit MIgardener.
5. Petits pots
Les coquilles d’œufs sont également parfaites pour servir de petits pots. Rincez-les, mettez-les dans une boîte en carton, avec de la terre et de l’eau dedans – et voilà ! N’oubliez pas de retirer les faire des trous dans l’autre extrémité de l’œuf pour que les racines puissent sortir. Un projet parfait pour ceux qui n’ont pas de coins jardin chez eux en cette période !
6. Protection contre les cerfs
Comme nous l’avons mentionné précédemment, les coquilles d’œufs peuvent éloigner les insectes indésirables dans les jardins, tels que les escargots et les vers. Mais les coquilles d’œufs peuvent éloigner même les gros animaux comme les cerfs, car les cerfs n’aiment pas l’odeur des coquilles d’œufs, rapporte Jardindegrandmere.
Le pH des sols peut affecter les couleurs des fleurs, selon que la terre est acide ou alcalin. Par exemple, si vous ajoutez des coquilles d’œufs aux fleurs dans le sol, les hortensias peuvent devenir roses selon Hemtrevligt.
8. Oiseaux
Les oiseaux sont un grand fan des coquilles d’œufs cassées, car elles contiennent tellement de calcium, écrit Gardenista. Un avantage est que lorsque les oiseaux sont attirés par votre jardin, ils aident à réduire le nombre d’insectes.
Avec ces conseils, vous pouvez non seulement éviter le gaspillage, mais vous obtiendrez également un jardin fantastique en un rien de temps !
Envisagez-vous d’utiliser ces conseils ce printemps ?
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Recette ultra facile et mix entre le crumble et la tarte aux pommes
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Les agrumes sont idéals pour apporter une légère acidité aux plats. Si c’est principalement le citron qui remporte sa place dans le bac du réfrigérateur, d’autres agrumes aux goûts inédits existent pour le remplacer et découvrir de nouvelles saveurs. Ce sont surtout les grands chefs qui en font l’usage dans leurs plats les plus savoureux et raffinés. Yuzu, citron caviar, combava ou encore cédrat, découvrez ces agrumes exotiques qui se marient autant avec le sucré que le salé.
1) Le yuzu
Le yuzu a un goût particulier qui se situe entre la mandarine et le citron. Fruit emblématique du Japon, on le retrouve dès l’arrivée de l’automne. Plutôt rustique, il se cultive sous nos latitudes où il pourra supporter des températures négatives allant jusqu’à -10°C.
On utilise principalement l’écorce et le jus du yuzu pour préparer des desserts aux goûts subtils. En effet, sa légère acidité et sa petite amertume se marient très bien avec le sucré. Les Japonais utilisent en outre ses pépins pour préparer une liqueur amère.
2) Le citron caviar
Le nom du citron caviar vient des petites perles que l’on retrouve à l’intérieur de l’agrume et ressemblant à du caviar. Ces microbilles renferment le jus acidulé du fruit et éclatent en bouche. Le goût se situe entre le pamplemousse et le citron. Très prisé par les plus grands chefs cuisiniers, le citron caviar permet de parfumer les mets les plus délicats. D’ailleurs, ses zestes et ses feuilles sont également parfumés et aromatisent les plats. Le fruit est de forme allongée et ressemble à un cornichon. Il peut être vert ou noir en passant par le jaune, le rouge ou le brun.
Le citron caviar est assez difficile à cultiver sous nos latitudes, mais ce n’est pas impossible. Il n’est pas rustique, il faudra donc le rentrer dès l’automne. Pour une bonne croissance, le niveau d’hygrométrie doit être assez fort puisqu’il pousse naturellement dans les forêts humides d’Australie.
3) Le cédrat
Le cédrat est un fruit provenant du cédratier qui se décline sous différentes variétés, comme le cédratier « Main de Bouddha ». Le cédrat ne contient pas beaucoup de pulpe, c’est donc surtout son écorce qui est utilisée pour apporter un goût de fleurs blanches et une pointe de piquant. On utilise généralement l’écorce sous forme confite.
Il est possible de le cultiver en France, mais sa culture est difficile. Il demande pas mal de soins pour pouvoir produire des fruits. C’est un arbre délicat et non rustique.
4) Le combava
Répandu à la Réunion et en Thaïlande, le goût du combava rappelle celui de la verveine citronnelle et du citron. On utilise particulièrement les feuilles qui accompagnent le fruit puisqu’au moindre toucher, elles dégagent un délicieux parfum frais et citronné. L’écorce et le jus s’utilisent en cuisine et particulièrement avec le poisson et les fruits de mer.
Ce petit arbuste produit de jolies fleurs qui laissent place aux fruits après 4 à 6 mois. Il a besoin de beaucoup de chaleur pour croître. On ne le cultive que dans les régions dites de l’oranger.
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On vous présente donc la “Churoffle”, un churros dans le corps d’une gaufre …
Régularité, légèreté, croustillant, tout ce que l’on attend d’un vrai croissant, dommage de ne pas pouvoir goûter…
Observez, appréciez, et découvrez l’ensemble de sa production qui vous fera à coup sûr saliver !
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La base de la cuisine, c’est avant tout de la technique. Si vous avez pour habitude de vous y perdre entre julienne, brunoise, dés, cet article est fait pour vous ! On vous dit tout ce que vous devez savoir.
Julienne
La julienne, c’est le point de départ. Pas besoin de vous armer de votre décimètre, votre œil sera suffisant. Coupez des tranches de légumes fines à l’aide d’une mandoline ou d’un couteau. Taillez ensuite des bâtonnets, comme si vous vouliez faire les carottes râpées de votre enfance. Pour un résultat parfait, on vous conseille de parer légèrement vos tranches avant de les couper en julienne, c’est-à-dire de les couper bien droit pour avoir une forme homogène. Votre julienne n’en sera que plus belle.
Brunoise
On prend les mêmes et on recommence… ou presque ! Commencez par tailler une julienne de légumes, puis une fois que vous vous retrouvez avec vos légumes taillés ainsi, taillez des petits dés de 1 à 5 mm de chaque côté. Plus votre découpe est homogène, plus le résultat visuel sera satisfaisant. La cuisson sera également plus homogène, puisque tous vos petits cubes de légumes feront la même taille. Dans une salade, cette technique vous permettra d’apporter de la couleur et du croquant.
Mirepoix
Assez proche de la brunoise, la mirepoix est plus simple à réaliser, car les dés de légumes font 1 cm de chaque côté. Pour le taillage, c’est exactement la même chose, à savoir une julienne au départ mais avec des tranches de légumes plus larges puis un taillage précis. Cette technique de découpe est idéale pour une ratatouille, une chakchouka ou un petit risotto de légumes.
Lamelles
Pour les lamelles, laissez vous guider par votre instinct, vous n’avez nullement besoin de faire quelque chose de très précis. Coupez les légumes à l’aide de la mandoline en fines tranches ou avec un couteau. Vous obtenez des lamelles, qui pourront ensuite vous servir à garnir une salade, un carpaccio, etc. ou, si vous le souhaitez, à faire des dés, des brunoises ou des juliennes.
Mollet, dur, bénédicte, cocotte… Dans la famille « cuisson des œufs », on a l’embarras du choix. Mais si on a déjà plus ou moins entendu parler de toutes ces préparations, on ne sait pas forcément les réaliser. A commencer par la recette de l’œuf cocotte.
Rassurez-vous, la cuisson de l’œuf cocotte au four n’est vraiment pas compliquée. En voilà une bonne nouvelle ! Il suffit simplement de beurrer un ramequin, d’y mettre un fond de crème fraîche (1 c.à.s), d’y casser un œuf et d’assaisonner le tout. Ensuite, c’est le four qui travaille à notre place. Pour ne pas vous retrouver avec un blanc pas assez pris ou des jaunes trop cuits, sachez que le temps de cuisson des œufs cocotte est de 15 minutes au bain-marie à 180°C.
Et nous voilà une recette d’œuf cocotte ultra simple que l’on peut décliner à l’infini. Certains opteront pour un œuf cocotte au chèvre, aux épinards, au maroilles, aux asperges ou encore au Chabichou… mais avez-vous déjà pensé à la cuisson de l’œuf cocotte dans un pain garni ? Avec autant de variantes possibles, c’est certain, chacun trouvera SA recette de l’œuf cocotte.
La cuisson de l’œuf cocotte au micro-ondes
Pas de four et pourtant, l’envie de savourer un œuf cocotte se fait sentir ? On a la solution : la cuisson de l’œuf cocotte au micro-ondes. Oui oui, c’est possible. On vous explique toutes les étapes en détails.
Après avoir beurré un ramequin qui passe au micro-ondes, badigeonnez une cuillère à soupe de crème fraîche dans le fond. C’est maintenant ou jamais le moment de laisser parler votre créativité (et votre gourmandise) en y ajoutant fromage, dés de jambon ou saumon fumé. Ensuite, cassez délicatement un œuf au-dessus de tout ça. Un peu de poivre, un peu de sel, quelques herbes aromatiques pour le plaisir, et c’est parti pour la cuisson de notre œuf cocotte au micro-ondes : 1 minute à 750 watts pour être précise.
Vérifiez la cuisson et, si besoin, rajoutez quelques secondes : le blanc doit avoir pris et le jaune être coulant, comme un œuf à la coque. D’ailleurs, pourquoi ne pas profiter de cette recette d’œuf cocotte pour préparer des mouillettes à tremper dedans ?
Ce sel gemme est blanchi, affiné, puis additionné d’antiagglomérants, d’iode et de fluor. Une fois raffiné de la sorte, il a pratiquement perdu tous ses nutriments d’origine et se compose à plus de 95% de chlorure de sodium. Ce qui ne l’empêche pas d’être le sel le plus utilisé… « Les cuisiniers donnent souvent l’impression de mettre beaucoup de sel, mais si on mettait le même pourcentage de sel dans un coulis de tomates maison qu’il y en a dans une sauce tomate du commerce, on serait incapable de le manger! » s’exclame Jonathan Garnier, chef et fondateur de la boutique-école La Guilde Culinaire, à Montréal. « Dans les produits préparés, le sel est masqué pour tromper notre corps. Mais si c’est fait maison et bon au goût, il n’y a aucun problème à saler. »
Identique au sel de table… sauf qu’il n’est pas raffiné. Comme il n’a donc rien perdu de ses oligoéléments et minéraux (magnésium et fer), ce sel « complet » aide notre corps à digérer, l’incitant à produire les enzymes nécessaires à la récupération des nutriments dans les aliments. « Pour que sa qualité ne s’altère pas, on le garde simplement dans un contenant à l’abri de l’humidité », conseille Jonathan Garnier.
Ces gros cristaux se forment au fond des marais salants, lors de l’évaporation de l’eau. Plus le processus est lent, plus leur taille sera importante. Le gros sel n’est composé que d’environ 85% de chlorure de sodium, soit bien moins que le sel raffiné. Sa salinité plus faible laisse davantage de place au goût des aliments, en plus de le rendre meilleur pour la santé. Un atout non négligeable, qui incite à l’utiliser tant dans l’eau de cuisson que sur une pièce de viande grillée ou des légumes auxquels il donnera du croquant. Également indispensable à toute recette en croûte de sel réussie!
Contrairement au gros sel, la fleur de sel se forme à la surface des marais salants de la côte atlantique européenne, et seulement dans des conditions de vent particulières. Cette fine « croûte » de sel se récolte délicatement… d’où son prix! Elle fera merveille en touche de finition sur une viande tranchée, une salade à la vinaigrette, des pétoncles ou du poisson. « La fleur de sel permet de créer des montagnes russes de contrastes entre des bouchées douces et d’autres où son craquant intense réveille les papilles », commente le chef de La Guilde Culinaire.
Plus grosses que celles de la fleur de sel, les paillettes iodées du sel en flocons fondent aussi moins rapidement. Le fameux sel de Maldon est obtenu à partir d’eau de mer de l’estuaire de la rivière Blackwater, en Angleterre, que l’on filtre et fait bouillir jusqu’à évaporation. « Ces pétales de sel apportent une différence par leur forme cristalline, qui ajoute de la texture en bouche, explique Jonathan Garnier. Je les utilise en finition, dans le même esprit que la fleur de sel, pour stimuler les papilles et casser la monotonie. »
Sel de mine et non de mer, le sel rose provient de la zone géologique de l’Himalaya, au nord-est du Pakistan, dernière trace d’un océan disparu depuis des millions d’années. Comme ces gisements sont à plus de 600 m de profondeur, le sel qu’ils contiennent a été protégé de toute pollution, ce qui lui permet de contenir pas moins de 80 nutriments, dont du fer qui, en s’oxydant, lui donne sa couleur. « On prête des propriétés intéressantes au sel de l’Himalaya, note notre chef. Par contre, qu’on mette ce dernier ou du sel fin sur une tomate ne changera pas grand-chose à la saveur. »
Récolté dans l’océan Pacifique, notamment à Hawaï, le sel noir doit sa couleur étonnante aux pierres de lave volcanique présentes au fond de ses bassins salants. Le charbon actif qu’il contient stimule notre système digestif et on le dit même détoxifiant. « Plus que par son goût, le sel volcanique noir sera intéressant pour obtenir un esthétique contraste de couleurs, sur un pétoncle par exemple, commente Jonathan Garnier. Attention à la qualité, par contre: certains sels sont simplement teintés par des bouts de pierre volcanique jetés dans leur eau! »
Le sel d’Alaea, appelé également Sel rouge d’Hawaï est enrichit après séchage d’argile volcanique purifiée : l’Alaea. Le sel marin est séché au soleil puis une fois bien sec, on le mélange avec cette fameuse glaise rouge brique purifiée qui lui donne sa saveur et sa couleur si exceptionnelle. Lors de la saison des pluies, l’argile volcanique était transportée par les flots dévalant les pentes des volcans argileux pour venir la jeter dans l’océan Pacifique. Les salines des côtés hawaïennes étaient alors remplies d’eau salée et d’eau douce riche en argile volcanique qui, en s’évaporant, faisait apparaitre les cristaux de sel rouge. Aujourd’hui les artisans du sel ont développé un savoir-faire unique au monde pour obtenir ce sel de terre et de mer.
Tout comme le sel rose de l’Himalaya, le sel bleu de Perse est un sel de terre, aussi appelé sel gemme, dont l’origine remonte à plus de 100 millions d’années. Il est extrait d’une des plus anciennes mines du monde, dans les montages de la province de Semman, au coeur de l’ancien empire Perse, en Iran. Sa couleur si caractéristique est liée à la présence de chlorure de potassium, aussi appelée sylvinite. Si les sels roses sont relativement courants, le bleu est une couleur extrêmement rare, le minerai de fer étant beaucoup plus répandu que le minerai de potassium. Il est apprécié pour la qualité de ses cristaux, évoquant des pierres précieuses. Tous les cristaux ne sont cependant pas de la même couleur bleue uniforme, la teinte pouvant largement varier d’un crystal à l’autre. C’est un des sels les plus rares et les plus purs au monde.
Ce sel est issu du lac Assal à Djibouti, lac qui se situe à moins 475 m au dessous du niveau de la mer. Ces perles merveilleuses se forment naturellement avec le ressac, comme les galets sur la plage. Utiliser une ou plusieurs perles de sel selon le calibre pour un litre d’eau (cuisson des pâtes, du riz ou un court-bouillon).
Ici, on ajoute à du sel non raffiné gris, rose ou noir des herbes et des épices séchées pour créer des mariages de saveurs qui parfumeront les plats. Tout est possible: piment d’Espelette, algues, cèpes, fleurs, coriandre, érable, alouette! « Du sel au thym viendra réveiller une viande de boeuf, tout comme un sel au romarin pour l’agneau », suggère M. Garnier. Si on veut concocter son propre mélange, rien de plus simple: on moud au mortier 2 c. à soupe de sel pour 1 c. à thé de l’ingrédient de son choix et on laisse reposer une semaine dans un contenant fermé.
Dans le cas du sel de sésame ou gomasio, les proportions sont inversées: on parle d’une demi-tasse de graines de sésame mélangées à 2 c. à thé de sel de mer. On fait dorer à la poêle ou au four, on laisse refroidir et on écrase au pilon. On peut aussi acheter ce sel tel quel. Au Japon, on le saupoudre sur les plats (riz, tofu, légumes) depuis toujours. L’équilibre entre la teneur en calcium du sésame et celle en magnésium du sel permet entre autres à notre système digestif de mieux assimiler les nutriments du sel. D’ailleurs, ce dernier est si peu présent dans le gomasio que cela en fait une très bonne façon de se désaccoutumer du trop salé. Alors, on l’essaie?
Le sel casher ou le sel de cuisine est un gros sel comestible sans additifs courants tels que l’iode. Utilisé en cuisine et non à table, il se compose principalement de chlorure de sodium et peut contenir des anti-agglomérants
Le sel celtique est un type de sel marin qui est devenu populaire en France. Il a une couleur grisâtre et contient également un peu d’eau, ce qui le rend assez humide. Le sel celtique contient des traces de minéraux et contient un peu moins de sodium que le sel de table ordinaire.
La levure fraîche ou la levure biologique, tout comme la levure sèche de boulanger permettent à votre pâte à pain ou à brioche de lever durant la période de pousse ou de fermentation. Ce phénomène est possible grâce au gaz carbonique qui va se dégager. C’est quasiment de la chimie. On peut utiliser la levure fraîche ou la levure sèche de boulanger mais pas dans les mêmes proportions. On vous explique tout.
La levure biologique c’est quoi ?
La levure biologique est composée de champignons microscopiques qui ont besoin de sucre pour vivre. Ces champignons se multiplient, provoquent une fermentation et dégagent du gaz carbonique. Le processus est long et demande un temps de pousse minimum et c’est pourquoi on laisse les pâtes à pain ou à brioche lever après les avoir pétries.
Elle est fabriquée dans une levurerie. Si vous êtes déjà passé devant de ce type d’entreprise, vous ne pouvez pas la rater car ça sent vraiment la levure.
Elle est vendue sous forme de levure fraîche ou de levure sèche.
La levure fraîche versus la levure sèche
En France, la levure est vendue sous forme de cubes appelés levure de boulanger fraîche ou sous forme de très petites granules vendues en sachets sous l’appellation levure sèche de boulanger.
Dans les deux cas, il s’agit d’un produit vivant qui peut « mourir » si on le laisse trop longtemps à côté du sel par exemple ou si on mélange la levure de boulanger à un liquide trop chaud (à partir de 50°C).
La levure fraîche est la plus fragile et ne se conserve qu’une dizaine de jours dans de bonnes conditions (au frais, entre 4 à 6°C). La version sèche se conserve plus longtemps (environ 6 mois).
Ces deux types de levures de boulanger permettent aux pâtes à pains ou aux pâtes à brioches de gonfler.
Le gaz carbonique qui se dégage va étirer le gluten présent dans la farine, ce qui va rendre la mie alvéolée. La levure donne aussi du goût au pain car elle permet à la pâte de fermenter légèrement. La levure permet aussi à la croûte du pain de bien colorer.
La levure fraîche versus la levure sèche : les équivalences
Dans les recettes, on vous donne souvent le poids à utiliser de levure fraîche ou de sèche mais rarement l’équivalence entre les deux, sachant que pour le même poids de farine, on ne va pas utiliser les mêmes proportions.
On compte en général 20 g de levure fraîche de boulanger ou 7 g de levure sèche pour 500 g de farine, soit un ratio de ? de levure sèche pour 1 poids de levure fraîche.
Vous allez donc pouvoir facilement faire les conversions la prochaine fois que vous voulez préparer un pain maison ou une brioche. Il faut donc multiplier par 3 la quantité de levure sèche pour avoir le poids de levure fraîche ou diviser la quantité de levure fraîche par 3 pour obtenir l’équivalent en levure sèche. Facile non ?
Bon à savoir : plus vous faites lever longtemps vos pâtes, moins vous aurez besoin de levure.
Dans les deux cas, on délaye la levure dans un peu du liquide de la recette. Pour la levure sèche de boulanger, certaines recettes conseillent de laisser le mélange levure sèche et liquide fermenter pendant une quinzaine de minutes avant l’incorporation à la pâte mais ce n’est pas une obligation.
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J’ai trouvé la recette parfaite pour refaire exactement les mêmes chez moi ! Et je dirais même qu’elles sont meilleures (car elles ont plus le goût de chocolat) et bien plus saines (car zéro conservateur ou autre cochonnerie dedans !). La texture est exactement la même, alors si vous raffolez des Danettes, arrêtez d’en acheter et préparez-les vous-mêmes, en un rien de temps !
Beignets dans le Languedoc à l’époque du carnaval, les oreillettes sont en forme de rectangles allongés. Celles de Montpellier, parfumées au rhum, à l’orange ou au citron, sont très réputées.
Ce beurre, traditionnellement utilisée pour accompagner des poissons froids, a pour base, outre le beurre, des herbes et des verdures ainsi que des anchois, des câpres et des cornichons. Sa préparation est un peu plus longue que pour les autres beurres maniés mais le résultat est délicieux.
Les ramen sont des mets japonais constitués de pâtes dans un bouillon à base de poisson ou de viande et souvent assaisonnés au miso ou à la sauce soja, importés de Chine au début du XX? siècle et aujourd’hui considérés comme faisant partie de la cuisine japonaise.
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Des mousses au chocolat en trompe l’oeil qui pourraient surprendre vos invités, testez-les, vous allez vous régaler !
Un parfait pour le petit déjeuner aux nombreuses vertus nutritionnelles, grâce au skyr siggi’s, au granola fait maison et au pomelo.
La mousse d’asperges blanches au saumon fumé est une entrée originale et très délicieuse. Elle se prépare en un rien de temps. Il suffit de mélanger les ingrédients au mixeur et de décorer les verrines avec du saumon sur le dessus. N’hésitez pas à les embellir avec quelques brins d’aneth! Au final, vos verrines seront invitantes et tellement bonnes.
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N’utilisez surtout pas de blender, sinon vous obtiendrez une pâte, mais en aucun cas de la poudre.
Vous disposez vos amandes dans le robot lame S, et procédez par moutures successives d’une vingtaine de secondes chacune, en faisant une pause d’une vingtaine de secondes entre chaque, pour ne pas faire surchauffer le produit.
Maintenant, il ne vous reste plus qu’à saupoudrer votre Parmesan vg sur toutes vos préparations favorites