Gâteau aux pommes, façon grand-mère

Les ingrédients :

  • 300 g de farine type 00
  • 200 g de sucre blanc
  • 4 oeufs
  • un sachet de levure en poudre pour les desserts
  • 4 pommes golden, une écorce râpée de citron
  • 30 ml de jus de citron et deux cuillères de sucre
  • zeste de citron (en fonction de vos goût)
  • huile de tournesol (Pour une version plus aromatique remplacez-la par de l’huile d’olives).

Vous pouvez choisir aussi d’autres variétés de pommes(par exemple, les reinettes).
La levure n’est pas obligatoire, vous pouvez monter les blancs d’œuf en neige et alléger les tranches à la surface.

La préparation :

  1. Dans un robot de cuisine montez les œufs avec le sucre au moins pendant dix minutes pour que tout soit volumineux.
  2. Pelez et râpez une pomme et coupez en tranches fines les autres pommes puis baignez-les avec le jus de citron (et les deux cuillères de sucre) pour qu’elles ne noircissent pas.
  3. Dans les œufs bien montés ajoutez une cuillère à café d’huile, la pomme râpée, ensuite rajoutez la farine, vous pouvez faire moitié maïzena, moitié farine pour un gateau plus moelleux. Pour finir, tamisée avec la levure et du zeste de citron, la pâte est prête.
  4. Versez-la dans une moule à tarte (préférablement une moule de 24 cm) et saupoudrez-la avec des tranches de pomme et ajoutez, par dessus un peu de zeste de citron et le sucre de canne, ce dernier sert à faire dorer les pommes à la surface, mettez donc une pincée par-ci par-là. Mettez au four pendant 40-45 minutes (le four préchauffé à 180 degrés).

Gâteau aux 3 chocolats

Les ingrédients :

  • 3 œufs
  • 90 g de sucre fin
  • 90 g de farine
  • 45 cl de crème entière
  • 125 g de chocolat pralinoise
  • 125 g de chocolat blanc à pâtisser
  • 125 g de chocolat au lait à pâtisser
  • 1 brique de crème pâtissière

La préparation :

  1. Réaliser une génoise: battre au fouet les œufs et le sucre; le mélange doit quadrupler, ensuite Incorporer délicatement la farine tamisée petit à petit. Fariner un moule à génoise puis déposer le mélange
  2. Mettre au four chaud (180) pendant 35 minutes.
  3. Monter 450 ml de crème liquide entière au fouet électrique afin d’obtenir une chantilly.
  4. Faire fondre 150 g de chocolat au lait au micro-ondes.
  5. Prélever 1/3 de la chantilly et mélanger délicatement au chocolat fondu.
  6. Procéder de même avec le chocolat pralinoise et le chocolat blanc.
  7. Poser la génoise sur un plat et l’entourer d’ un cercle à pâtisserie.
  8. Humidifier légèrement à l’aide de café.
  9. Déposer la mousse au chocolat au lait et mettre une heure au frigo pour faire prendre.
  10. Procéder de même avec le chocolat pralinoise et le chocolat blanc, Mettre au frigo et déguster de préférence le lendemain

Décorer à votre convenance de chocolats de couleurs différentes ou de copeaux de chocolat…
Servir chaque part sur un lit de crème pâtissière.

Les délicieuses galettes de chou-fleur au fromage et leur mayonnaise maison

Vous ne savez pas quoi faire pour l’entrée ou l’apéritif ? Alors testez donc ces délicieuses galettes de chou-fleur au fromage accompagnées d’une succulente mayonnaise maison aromatisée au paprika. À la fois originale et gourmande, cette recette proposée par Demotivateur Food comblera les amateurs de chou-fleur et saura même convaincre les plus réfractaires !

Les ingrédients :

Pour les galettes :

  • 1 chou-fleur
  • 3 œufs battus
  • 100 g. de parmesan râpé
  • Du fromage râpé
  • 1 filet d’huile d’olive
  • Du sel et du poivre

Pour la mayonnaise :

  • 2 jaunes d’œufs
  • 2 cuillères à café de moutarde
  • 1 pincée de paprika
  • De l’huile de tournesol
  • Du vinaigre
  • Du sel et du poivre

La préparation :

  1. Découpez le chou-fleur en morceaux puis déposez-les dans le récipient d’un robot avant de les mixer. Transvasez ensuite dans un saladier



  2. Dans ce même saladier, ajoutez les 3 œufs battus, le parmesan râpé, le sel et le poivre puis mélangez le tout avec une maryse jusqu’à obtenir une pâte bien homogène



  3. Faites chauffer une casserole à feu doux avec un peu d’huile d’olive. Déposez ensuite deux portions de pâte dans la casserole puis tassez-les avec une spatule de manière à leur donner une forme rectangulaire. Laissez cuire à feu doux durant 5 minutes de chaque côté



  4. Déposez un peu de parmesan râpé sur l’une des portions et recouvrez avec la seconde. Laissez cuire encore quelques instants afin que le fromage fonde


  5. Répétez les étapes 3 et 4 jusqu’à épuisement de la pâte
  6. Dans un petit bol, versez les deux jaunes d’oeufs, la moutarde, le sel et le poivre puis commencez à battre

  7. Tout en continuant à battre, incorporez tour à tour l’huile de tournesol et le vinaigre

  8. Ajoutez le paprika et mélangez


  9. C’est prêt ! Il ne vous reste plus qu’à déguster vos galettes de chou-fleur en les trempant dans la mayonnaise maison. Bon appétit !


6 plantes pour s’endormir naturellement et facilement

L’insomnie est un trouble du sommeil commun : 70% des Français seraient touchés. Elle se définit par des difficultés à s’endormir et un sommeil qui n’est pas spécialement réparateur. Les personnes insomniaques luttent pour s’épanouir pleinement dans leur quotidien à cause d’une fatigue physique et mentale immense. En effet, le sommeil fait partie des activités vitales de l’organisme, il permet la récupération psychique et physique de la personne. C’est pour cela que les personnes atteintes d’insomnie sont plus irritables, plus fatiguées, somnolentes et qu’elles ont plus de mal à se concentrer. Il existe des plantes dont les vertus ne sont plus à prouver pour s’endormir plus facilement. Ces astuces 100 % naturelles ne vous feront que du bien !

1) Le basilic
En plus d’être une délicieuse plante aromatique, le basilic est connu pour ses vertus tranquillisantes. Il favorise donc le sommeil par la relaxation et il est redoutablement efficace conte les maux de tête, le stress, mais aussi contre les douleurs intestinales ! Pour cela il suffit d’infuser 4 feuilles de basilic dans une tasse d’eau chaude. Laisser infuser pendant 5 minutes et boire l’infusion après chaque repas.

2) La valériane
Très utilisée en huile essentielle, la valériane est la plante spécialiste du sommeil. Ses bienfaits calmants et relaxants soulagent le système nerveux. La tisane avant le coucher est une solution efficace. Porter 200 ml d’eau à ébullition puis verser 3 g de racines fraîches. Laisser infuser 5 minutes, filtrer le tout puis savourer la tisane.

3) Le houblon
Sous forme d’infusion, les fleurs du houblon combattent les troubles du sommeil. Leurs effets sont tellement puissants qu’il faut l’utiliser à bon escient. Il ne doit pas être pris par les femmes enceintes ou les personnes atteintes de cancer ou déjà sous calmants ou somnifères. Porter à ébullition 1L d’eau et verser 10 à 15 g de strobiles (les fleurs séchées). Laisser infuser pendant 10 minutes. Prendre 2 à 3 tasses par jour.

4) Le pavot californien
C’est grâce à ses vertus sédatives que le pavot californien permet un meilleur sommeil. En plus de permettre de dormir rapidement, la qualité du sommeil est meilleure et donc plus réparatrice. Pour cela, infuser 1 cuillère à soupe de pavot californien dans une tasse d’eau chaude pendant 10 minutes. Boire avant d’aller se coucher.

5) L’aubépine
Les pétales et les feuilles d’aubépine agissent sur l’anxiété, les angoisses et le stress. Pour s’endormir calmement c’est la meilleure infusion qu’il soit. Dans une tasse d’eau bouillante, infuser 1 cuillère à café de fleurs d’aubépine et laisser infuser pendant 15 minutes. Filtrer le tout. Consommer 1 à 3 tasses par jour pendant 3 semaines.

6) La passiflore
La passiflore est connue pour réguler le système nerveux. La consommer sous forme d’infusion permet de combattre l’anxiété et les angoisses. Dans une casserole, faire chauffer 500 ml d’eau puis verser 5 cuillères à soupe de fleurs séchées de passiflore. Laisser infuser 5 minutes. Consommer une 1 tasse avant et 1 tasse après le dîner.

Attention ces plantes ne sont pas destinées aux enfants, aux femmes enceintes, aux personnes atteintes de maladies chroniques ou déjà sous somnifères et autres calmants. Consultez votre médecin avant toute prise de médicaments.

Qu’allons-nous adopter comme alimentation en 2050 ?

Quelle révolution se prépare dans nos assiettes ? Les gélules vont-elles remplacer le traditionnel steak-frite-salade ? Loin des clichés, l’Inserm dresse les tendances de ces 50 prochaines années pour faire face à une « crise alimentaire » sans précédent…

Selon le rapport annuel de l’Inserm dans son numéro de mars 2020, l’alimentation représente un enjeu crucial pour notre siècle. En effet, d’une part, selon Mathilde Touvier – épidémiologiste et directrice de l’Eren – nos systèmes alimentaires ne sont guère efficaces à l’heure actuelle. Trop sucré, trop salé, trop riche en graisses saturées,… Ces mauvaises habitudes alimentaires sont à la base d’une pandémie d’obésité et de malnutrition. L’ONU parle même de près de 50% de la population qui serait mal nourrie. D’autre part, face au changement climatique, l’impact environnemental de l’alimentation pèse lourd dans la balance. Les raisons sont variées : surconsommation des ressources naturelles, gaspillage de l’eau, déforestation et pollution en tout genre complètent un tableau déjà bien noir.

Nous sommes à l’aube d’une 5e transition alimentaire qui a débuté au début des années 2000 avec un souci de la population de mieux s’alimenter et de préserver l’environnement. Toujours selon notre experte, il faut : «Pour préserver la santé des populations et éviter de renoncer à protéger notre planète ou à nourrir tout le monde, nous n’aurons pas le choix : il nous faudra impérativement changer nos modes de production et nos habitudes alimentaires ». Selon le FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, la tendance sera donc d’aller vers une alimentation durable. Certes des changements dans l’assiette se dessinent. Toutefois, ce ne sont pas forcément ceux que l’on attend !

Halte aux clichés : les superaliments ne sont pas l’avenir

Bonne nouvelle ! Les superaliments et gélules ne seront pas le futur de la cuisine. Pourquoi donc ? Car manger est avant tout une affaire de culture, de goûts et de pratiques sociales et doit rester un plaisir. Comme le corps médical le conseille actuellement, il est nécessaire de diversifier son alimentation tout en la gardant équilibrée pour non seulement subvenir à ses besoins, mais aussi diminuer la concentration intégrée de polluants. La pillule « alimentaire » a de quoi nous laisser sur notre faim…aussi bien visuelle que gustative et donc, ce n’est pas demain la veille qu’elle trônera au milieu de notre assiette.

La part belle aux végétaux

Ce n’est pas nouveau, nous ne consommons pas assez de végétaux. A l’avenir, il est toujours recommandé de manger 5 fruits et légumes par jours. Toutefois, on suggère aussi d’incorporer les légumineuses, les céréales et fruits à coque non salés à notre alimentation. Ceux-ci, riches en fibres, favorisent le transit et contrôlent le taux de cholestérol pour prévenir du diabète et des maladies cardiaques. Outre ces bénéfices, certaines études avancent qu’ils seraient aussi bons pour lutter contre l’anxiété et la dépression.

Le boum du « bio » et du « local »

Pour contrer le réchauffement climatique, il serait nécessaire de favoriser une production locale et de saison. Ainsi, cela éviterait notamment les cultures hors saisons en serre et la pollution engendrée par les transports.
En outre, privilégier le bio serait gage de « non-pesticides » et contribuerait indirectement à prendre soin de la planète et de notre corps. Mais est-ce que le 100% bio est vraiment faisable ? Selon une étude de l’Eren, cette hypothèse est possible si deux conditions sont remplies : la première est de limiter le gaspillage alimentaire, 30% de l’alimentation produite; la seconde est de limiter l’usage de produits animaliers afin de diminuer la concurrence entre la production humaine et animale.

La fin des aliments gras et ultra-transformés

Depuis 2016, le gouvernement français a mis en place le nutri-score, un système d’étiquetage nutritionnel à 5 niveaux allant de A à D : la lettre A désignant l’alimentation la plus saine comprenant ,notamment les légumes et yaourt nature, et la lettre D la moins équilibrée, reprenant la « junk food » et les produits transformés majoritairement. Ce système a été repris par d’autres gouvernements dont la Belgique. Dans le futur, les produits notés « D » et « E » seront donc à proscrire car ils auraient des effets négatifs sur notre santé à long terme, notamment en favorisant le risque de cancers, les maladies cardiovasculaires, l’obésité et la mortalité. Les aliments de type « D » et « E », étant les moins bons, seront donc à éviter dans le futur.

Adieu à la viande ? Pas de si tôt…

Surconsommée (plus de 500g par semaine), la viande rouge, telle que le bœuf ou le cheval, favoriserait le diabète et les maladies cardiovasculaires car elle comprend beaucoup de « mauvaises graisses », appelées acide-gras saturés. Celles-ci peuvent engendrer des maladies d’ordre cardiovasculaire. Toutefois, loin de la bannir de notre assiette, on conseille d’adopter un régime flexitarien : essentiellement des protéines végétales avec une consommation de viande une fois par semaine environ. Un monde 100% vegan est donc bien loin.

Les probiotiques revisités

De nouveaux probiotiques pourraient faire leur apparition sur le marché tel que l’Amibiote. Incorporés à des yaourts ou céréales, ils se révèlent excellents pour la santé. Les marques ont notamment joué sur cet effet de mode telle que la marque de yaourt Activia renfermant le Bifidus actif regularis, une sorte de probiotiques.

Cependant, selon Matteo Serino – chercheur à lnserm à l’IRSD de Toulouse – la tendance des produits à base de probiotiques et prébiotiques ne va pas se généraliser. En effet, cela restera réservé aux personnes dont la microbiote a été altérée : chaque individu ayant un microbiote propre.

Les novel foods , une percée contrastée

Les novel foods, ou « nouveaux aliments » dans sa version française, tels que les micro-algues ou insectes, souvent vantés par les médias, semblent être une des tendances fortes à venir.

Riches en protéines, ces derniers ont une valeur proche de celle de la viande. En outre, leur élevage est moins polluant que le traditionnel élevage bovin : selon le FAO – l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture – 1kg d’insectes émet 100X moins de gaz à effet de serre qu’1kg de porc. Les algues telles que la spiruline, quant à elles, sont aussi riches en protéines.

Néanmoins, il semble peu probable que cette tendance s’installe dans nos mentalités. Plusieurs raisons peuvent expliquer. Interdits actuellement à la consommation, ils doivent être évalués par l’Efsa – l’Autorité européenne de sécurité des aliments . Nos pratiques culinaires sont loin d’être compatibles avec les asticots et autres verts…même transformés pour le moment.

Quant à la viande in vitro ? Il est encore plus improbable que celle-ci perce dans nos assiettes. En effet, depuis 2013 avec le premier steak créé en laboratoire, la population se méfie des innovations de ce genre. Ils craignent des risques pour leur santé. Elle serait donc même plus rejetée que les insectes, jugés naturels eux !

Décidément, l’assiette de 2050 change peu de celle de 2020. Elle se veut un rien plus verte et équilibrée : plus de végétaux et produits sains pour la santé tout en évitant le gaspillage et la consommation intempestive de viandes et produits transformés. Elle donne presque envie. A voir si dans 30 ans, notre palais , lui aussi, sera de cet avis !

Crumble tomates au piment d’Espelette


Fondant et croustillant, craquez pour le crumble tomates au piment d’Espelette?! Une recette originale et légère qui est parfaite pour une entrée ou un accompagnement. Elle est à personnaliser selon vos goûts : courgettes, chèvre, oignons, parmesan, olives… à vous de jouer?!

Les ingrédients :

  • 6 tomates de couleurs
  • 140 g de farine
  • 4 c. à soupe d’huile d’olive
  • 75 g de comté râpé
  • 90 g de beurre mou
  • 1 c. à soupe de piment d’Espelette
  • 1 c. à café de sel
  • Quelques feuilles de basilic

La préparation :

  1. Dans un saladier, mélanger la farine, le piment d’Espelette et le fromage. Ajouter le beurre et mélanger du bout des doigts jusqu’à obtenir une pâte sableuse.
  2. Préchauffer le four à 180 °C.
  3. Laver les tomates et les couper en morceaux : rondelles, quartiers, dés, cela dépendra de chacun.
  4. Déposer les morceaux de tomates dans un plat à gratin huilé et parsemer le crumble par-dessus.
  5. Enfourner pour 25 à 30 minutes en mode chaleur tournante. Le crumble doit être croustillant et doré. Les tomates doivent être fondantes.

Citronnade par Alain Ducasse


Quoi de plus rafraîchissant qu’une citronnade ? Pour se désaltérer au plus fort de l’été, optez pour cette boisson où le citron est mis à l’honneur. Peu d’ingrédients sont nécessaires pour la préparation d’un litre de cette citronnade.

Les ingrédients :

  • 10 citrons non traités
  • 4 c. à s. de miel
  • 20 cl d’eau

La préparation :

  1. Préparation des citrons
    Avec un couteau économe, prélever le zeste de quatre citrons en prenant bien soin de ne pas enlever en même temps de la peau blanche (ziste) et les hâcher. Peler ensuite les citrons à vif pour éliminer ce ziste. Puis couper les citrons en rondelles en éliminant les pépins. Les déposer au fur et à mesure dans une casserole.
  2. Préparation de la citronnade
    Dans la casserole contenant les citrons et les zestes hachés, ajouter le miel et l’eau. Remuer et porter à ébullition. Cuire doucement pendant 30 à 40 minutes jusqu’à ce que les citrons soient bien compotés et qu’il ne reste plus d’eau. Mixer à l’aide d’un mixeur plongeant jusqu’à ce que la préparation soit bien lisse. Lui ajouter alors le reste de l’eau et mixer de nouveau pendant 5 à 10 secondes.
  3. Finitions et dressage
    Poser une passoire fine sur un grand saladier et y passer la citronnade en appuyant avec le dos d’une cuillère pour bien extraire toutes les saveurs.
    Verser la citronnade dans un grand pichet contenant un litre ou deux litres d’eau (selon le degré d’acidité que vous souhaitez). Réserver au frais au moins pendant 2 heures avant de la servir bien fraîche.

Conseils

N’hésitez pas, en fin de cuisson, à laisser infuser un ou deux brins de romarin dans la compotée, ou de les glisser dans le pichet une fois la citronnade prête. Vous pouvez essayer avec des feuilles de verveine ou de menthe poivrée par exemple.
Autres suggestions : réalisez des glaçons aromatisés avec du romarin, de la menthe, du basilic nain, ou du thym. Pensez à les agrémenter de quelques grains de poivre de Timut pour parfumer davantage la citronnade.
Enfin, pour les moins aventureux, quelques gouttes de fleur d’oranger donneront une tout autre dimension à cette boisson rafraîchissante !
Ajouter des dés ou des tranches de fruits dans la citronnade est une option à envisager. Tout comme remplacer l’eau minérale par de l’eau de coco.
Vous pouvez également congeler la compotée dans des bacs à glaçons pour les utiliser en guise de glaçons dans un cocktail avec ou sans alcool.