Mousse au chocolat blanc et coulis fruits rouges

Les ingrédients :

    pour la mousse au chocolat blanc :

  • 200 g de chocolat blanc
  • 40 cl crème fluide très froide
  • 1 oeuf
  • 2 cl de kirsch

    pour le coulis fruits rouges :

  • 300 g de fruits rouges frais ou décongelés
  • 1 c. à soupe de sucre
  • quelques gouttes de citron
  • groseilles fraîches pour la décoration

La préparation :

    Préparez les mousses :

  1. Faites fondre le chocolat blanc au bain marie. Puis séparez le jaune du blanc d’oeuf.
  2. Battez le blanc dans un saladier. Battez la crème dans un saladier frais.
  3. Ajoutez le jaune d’oeuf au chocolat et rajoutez tous les ingrédients (y compris le kirsch) à la crème fraîche battue très délicatement.
  4. Mettez la préparation obtenue dans 6 petits ramequins et laissez prendre au réfrigérateur au moins 6 heures.
  5. Préparez le coulis :

  6. Nettoyez et séchez les fruits rouges.
  7. Mixez tous les ingrédients du coulis (excepté les groseilles) dans un blender.
  8. Filtrez à l’aide d’un chinois.
  9. Versez sur les mousses au chocolat blanc.
  10. Décorez les mousses avec les groseilles fraîches.
  11. Placez au réfrigérateur pendant 2 heures minimum.
  12. Servez bien frais.

Cake au citron à la crème fraîche

Les ingrédients :

  • 3 œufs
  • 180 g de sucre
  • 4 cuil.à soupe de crème fraîche épaisse
  • 8 cl d’huile
  • un citron bio
  • 150 g de farine
  • 1 sachet de levure
  • 70 g de poudre d’amande

La préparation :

  1. Battre les œufs avec le sucre, jusqu’à ce que le mélange double de volume et devienne bien mousseux.
    Ajouter l’huile, la crème et le zeste et le jus du citron.
    Incorporer la farine, la levure et la poudre d’amande.
  2. Beurrer un moule à cake et y verser la pâte.
  3. Mettre à cuire dans le four préchauffé à 180°C pendant 45 à 50 minutes environ. (vérifier la cuisson en insérant une lame de couteau et prolonger la cuisson si nécessaire).
  4. Laisser refroidir complètement avant de démouler.
  5. à la fin de la cuisson, arroser le cake avec un sirop à base du jus d’un citron + 2 cuil. soupe de sucre qu’on fait chauffer, ou le badigeonner avec un glaçage de sucre glace et citron.

L’oeuf parfait, dernière lubie des chefs

Du bistrot de quartier aux tables gastronomiques et adresses dans le vent, il est partout. Décryptage d’un tic, non seulement de langage, mais surtout de toque.
Mais qu’ont-ils tous avec l' »œuf parfait »? On le voit sur toutes les cartes et ardoises, il a même prié son rival, l’œuf mollet, d’aller se faire cuire. Toute la nouvelle génération de chefs s’en est emparée. On le retrouve en version carbonara aux Affranchis, bistronomique chez Neva Cuisine, marié à l’oseille dans les assiettes de l’institution Lucas Carton, et jusque sur les tables les plus branchées: chez Pierre Sang on Gambey, où il est cuisiné avec des lentilles et du kimchi, et au Grand Pigalle, l’hôtel de la bande de l’Expérimental -l’un des meilleurs bars à cocktails de la capitale-, servi avec une crème de topinambours, des noisettes au beurre et des champignons.

S’il n’a rien de révolutionnaire -déjà en 2012, le Figaroscope le plaçait en bonne position dans sa liste des snobismes parisiens-, il se distingue par son jeu sensationnel de textures et de saveurs. Cuit à basse température, autour de 65°C, l’œuf parfait est plus tendre et plus onctueux qu’un œuf dur, plus ferme qu’un œuf mollet. Son blanc est tremblant et soyeux tandis que son jaune affiche un crémeux coulant. Argument de poids pour les restaurateurs, cette recette est très bon marché et s’accommode avec de nombreux produits. Il se murmure que le prix de vente affiché sur la carte d’un restaurant serait cinq à six fois supérieur à celui de sa réalisation. De quoi marger plutôt grassement…

L’œuf parfait éclot en 1987
L’œuf parfait ne date pourtant pas d’hier. Il est même l’un des derniers survivants d’une révolution menée au début des années 1990, la gastronomie moléculaire. Un croisement de la science et de l’art culinaire initié par le physicien Nicholas Kurti et le physico-chimiste Hervé This. A ce dernier revient la paternité de l’œuf parfait, qu’il présenta pour la première fois en 1987, dans le cadre de ses travaux sur l’œuf. Le chercheur y démontre que le blanc coagule à 62°C et le jaune, à 68°C, et joue sur une fourchette thermique de quelques degrés pour créer des recettes, exécutées par son ami Pierre Gagnaire, le chef 3 étoiles du Balzac.

C’est à cette période que les formules « œuf à basse température » ou « œuf à 65°C » éclosent; des expressions de laborantins, peu glamour. Depuis, elles ont laissé place à l' »œuf parfait », une formule de compétition taillée pour le succès. « C’était une erreur de l’avoir nommé ainsi. A l’époque, j’étais en quête de l’œuf dur parfait; encore faut-il définir objectivement la notion de perfection. Finalement, la version parfaite, c’est celle que l’on préfère », explique Hervé This. « Peu importe la durée, de une heure à quatre heures, la cuisson s’effectue à 65°C. A cette température, le blanc est moelleux et onctueux, et le jaune est pris sans durcir. A 67°C, il devient ‘pommade’, à 69°C, il s’assèche et perd sa couleur orangée », conclut le physico-chimiste.

L’œuf parfait a le blanc tremblant et soyeux, le jaune crémeux coulant. L’œuf parfait a le blanc tremblant et soyeux, le jaune crémeux coulant.Jérôme Galland pour L’Express Styles
L’œuf parfait connaît un destin mondial. D’El Bulli, en Catalogne, aux plus hautes cimes, chez Marc Veyrat, il devient l’emblème de cette mutation gastroculturelle. En hommage à ce produit, le chef Olivier Nasti, à Kaysersberg, a même nommé sa table étoilée 64° Le Restaurant.

Des origines antiques
Si Hervé This a créé l’expression « œuf parfait », le concept de cuisson à basse température se conjugue à l’imparfait, puisque l’œuf à 65 ° est un descendant des onsen tamago (« oeufs [tamago] cuits dans les sources [onsen] chaudes »). Une préparation traditionnelle nipponne consistant à les laisser pendant plus de quinze minutes dans une eau thermale riche en souffre, en dessous du point d’ébullition. On les déguste sur le pouce, accompagnés de sel et de poivre. « Je n’ai certes pas inventé la technique, mais la cuisson au degré près », rétorque Hervé This. Les communautés juives de Grèce et de Turquie avaient, elles aussi, leur méthode: les œufs hamine étaient cuits dans des braises pendant six heures, avant shabbat.

Autre mode de cuisson: le lave-vaisselle. « On peut y cuire les œufs si la température est à plus de 62°C; cela permet de faire des économies d’énergie! Et même sur un radiateur, si la chaudière est bien réglée », assure le physico-chimiste.

Mollet ou parfait, la bataille de l’œuf
Cette réincarnation moderne de l’œuf cuit à basse température a séduit de nombreux chefs, dont Enrico Bertazzo, du restaurant Les Affranchis, dans le IXe arrondissement de Paris: « Je me suis amusé à déstructurer la carbonara en y recréant le goût, mais sans les pâtes. Je le cuis à 62°C, il est parfait quand le jaune et le blanc ont la même texture. » Restent les opposants, fervents défenseurs de l’œuf mollet, comme Cyril Lignac, qui le propose en entrée, accompagné d’une poêlée de champignons, ricotta, noisettes dans son restaurant parisien Le Chardenoux.

Entre les deux, le cœur d’Eric Frechon (auteur d’œufs, éd. Solar) balance: « Le blanc de l’œuf parfait est trop clair, le jaune n’est pas assez crémeux à mon goût; l’ensemble manque de texture. Je préfère un œuf à mi-chemin des deux, cuit à 68°C, il est plus consistant; ensuite, on l’adapte à son goût: c’est ça, la perfection. Il y a des œufs parfaits correctement cuits mais ratés en termes de recette. » Le chef David Toutain, lui, reste modéré: « L’œuf est un produit magnifique, mais rien n’est parfait. » Si le terme fleurit sur les cartes, l’ingénieur agronome Bruno Goussault préfère l’expression « juste température ». L’œuf parfait, snobisme culinaire, radinerie de chef ou véritable exploit gastronomique? Un peu de tout cela à la fois, et c’est sans doute la raison de sa postérité.

Le conseil du chef
Plonger les œufs dans une casserole remplie d’eau à 65°C. Il s’agit de maintenir l’eau à bonne température, grâce à un thermomètre de cuisson: la casserole étant hors de la source de chaleur, soit on l’y remet très brièvement, soit on ajoute de l’eau tiède. On peut également utiliser un thermoplongeur ou un robot de cuisine de dernière génération équipé d’un thermostat précis. Hervé This, lui, place la boîte d’œufs directement dans le four, à 65°C.

Levure fraîche, levure sèche, levure chimique : quelles différences ?

La levure a une place de choix dans notre cuisine, et pour cause, elle se retrouve partout. Pains, brioches et autres pâtisseries qui doivent lever : rien n’y échappe. Sauf qu’il n’est pas toujours évident de trouver de la levure fraîche de boulanger. Alors, forcément, vous vous êtes posé LA question : est-ce que je peux remplacer la levure de boulanger d’une recette par de la levure chimique ? La réponse est non. On vous explique les différences entre toutes les levures, et donc l’intérêt d’utiliser la bonne levure dans la bonne recette.

La levure de boulanger : fraîche ou sèche ?

Révélation du jour : la levure de boulanger est vivante. Du moins, les champignons qui la composent… On sait, ça ne donne pas envie dit comme ça. Ces champignons (des saccharomyces cerevisiae pour les irréductibles latinistes) fermentent la pâte en transformant le sucre de la farine en gaz carbonique. Ce CO2 est emprisonné dans la pâte. Résultat ? Elle double, voire triple de volume. Mais pour ça, il faut être patient. Car produire tout ce gaz, ça ne se fait pas en un claquement de doigt, loin de là. Il faut laisser le temps à la pâte de lever avant de l’enfourner car, une fois exposée à une chaleur au-delà de 50°C, les champignons de la levure de boulanger meurent. Impossible donc de les ressusciter et de faire gonfler notre brioche une fois enfournée.

Bon, pour l’aspect pratique, la levure de boulanger fraîche se stocke au frigo et s’utilise dans les 2 semaines. Vous avez (enfin) réussi à mettre la main sur un cube de levure de boulanger ? Utilisez-le dans cette recette de brioche, de babka ou une baguette.

Mais on peut aussi trouver de la farine de boulanger déshydratée qui se garde plusieurs mois dans le placard, exactement comme de la levure chimique. Il suffit d’un peu d’eau tiède pour la réactiver. Quant à la levure de boulanger instantanée, pas besoin de la réactiver avec de l’eau. Pour les quantités, utilisez 3 fois moins de levure sèche de boulanger par rapport à la version fraîche.

Par contre, qu’importe celle que vous choisissez, attention à ne pas mettre votre levure en contact avec la pincée de sel de votre préparation. Il pourrait annuler la fermentation de la levure… adieu pain alvéolé, brioches moelleuses et viennoiseries légères.

La levure chimique : c’est quoi ?

Rien à voir avec la levure de boulanger. Ici, il n’y a aucun champignon pour fermenter la pâte. A la place, un mélange de bicarbonate de soude, de crème de tartre et d’amidon de maïs. Un bon mélange basique-acide qui se conservera longtemps au placard. Mais la principale différence, c’est que la levure chimique a besoin d’humidité et de chaleur pour faire gonfler la pâte. Sans liquide, pas de réaction entre les ingrédients, donc pas de gaz CO2 produit… et pas de gâteau aérien et moelleux. Tic tac, tic tac : Chaque minute perdue hors du four est un peu d’action levante qui se perd. Bref, à l’image d’une course contre la montre, on se dépêche d’enfourner le gâteau dès qu’on a incorporé la levure chimique. Vite, vite, la gourmandise n’attend pas !

Le petit conseil de Mercotte : comme on le disait, la levure chimique joue son rôle sous l’effet de la chaleur. Du coup, laissez refroidir votre beurre fondu ou tout autre ingrédient chaud avant de l’incorporer à votre pâte (max. 20°C), au risque de voir votre gâteau monter avant de l’enfourner… et qu’il ne gonfle plus une fois au four. Vous ne voulez pas d’un gâteau au yaourt tout raplapla, si ?

Connaissez-vous les ‘Dark Kitchen’, un nouveau concept de restaurant ?


Les restaurants virtuels se multiplient en toute discrétion dans la capitale. Immersion dans l’un de ces nouveaux repaires culinaires qui régalent les Bruxellois en deux clics.

Un peu comme une fashionista qui fait du lèche-vitrines en ligne en surfant sur Zalando, je m’amuse souvent à scroller sur Uber Eats et Deliveroo en quête de nouvelles adresses à tester. C’est ma technique quand je suis en panne d’inspiration pour une sortie resto ; du moins, c’était ma stratégie avant la pandémie. Avec les dizaines de photos de plats et les notes des clients, il y a peu de chance de se tromper… Si, comme moi, vous aimez décortiquer ces plateformes de livraison, vous avez dû vous apercevoir que certains établissements présents sur ces sites n’existent pas dans la vraie vie. C’est la définition même des dark ou ghost kitchens, des établissements qui n’ont pas de devanture physique et qui se consacrent entièrement aux livraisons à domicile.

Ultrapopulaire aux États-Unis, ce concept se faufile depuis deux, trois ans dans notre capitale. Pas de service à gérer, moins de paperasse administrative et, surtout, pas de loyer exorbitant à payer pour la salle : les avantages sont nombreux. Grâce au développement de plateformes de livraison comme Deliveroo ou Uber Eats, le concept est en plein essor dans les grandes villes belges, plus encore depuis la pandémie.


L’épicentre des dark kitchens
Si le phénomène est déjà bien installé à Bruxelles, c’est dans la commune d’Ixelles qu’on trouve le plus grand nombre d’établissements fantômes. Une position centrale stratégique, un public jeune et un grand nombre d’habitants au mètre carré, telles sont les raisons qui font de la commune bruxelloise l’épicentre des dark kitchens.

C’est d’ailleurs dans l’une des grandes artères du quartier européen que j’ai rendez-vous. À l’arrière d’un bel immeuble d’époque, dans une charmante petite cour, se trouve une cuisine pas comme les autres… ou plutôt quatre cuisines. Thomas Gendry démarre la visite des lieux ; il travaille pour la société Kumo Kitchens, qui déniche des espaces dans la capitale en vue de les transformer en cuisines et de les louer à des établissements en quête d’une ghost kitchen. « Auparavant, ce bâtiment accueillait un service traiteur. Nous l’avons transformé en quatre unités de cuisine qui font chacune entre 15 et 20m2. Il existe deux profils de dark kitchens.

Pour le premier, il s’agit d’établissements qui possèdent déjà une marque forte dans une autre ville belge. Ils viennent d’Anvers, Gand ou Namur et essaient d’implanter leur cuisine à Bruxelles. Pour les autres, il s’agit de chefs qui n’ont pas encore d’établissement et qui souhaitent tester leur concept sans faire de gros investissements. La moitié de ces restaurateurs a pour objectif final d’ouvrir un restaurant dans la capitale, l’autre moitié cherche plutôt à se concentrer sur les livraisons. » Chambre froide partagée, cuisine compacte mais ergonomique et unités parfaitement rangées : tout est pensé pour optimiser l’espace et permettre la cohabitation de quatre restaurants virtuels.

Du Japon au Liban
Vers 16h30, les équipes commencent à mettre en place leur plan de travail. Près de l’entrée, se trouve Mission Masala, un concept anversois salué par les critiques du Gault & Millau, qui propose des spécialités indiennes et des burgers colorés inspirés des saveurs de Bombay. Leur objectif était de tester leur cuisine sur le public bruxellois et la mission semble déjà être un franc succès puisqu’ils cherchent une adresse physique où installer leur nouveau restaurant. Juste derrière, le chef de Sushi Me prépare ses légumes. Ce concept de sushis, donburis et poké, ne possède pas de restaurant fixe. Installé depuis l’automne, il souhaite étoffer son réseau de livraison. Un peu plus loin, deux enseignes se partagent une unité de cuisine, il s’agit de SumSum et Sumac, deux concepts imaginés par Raphaël Helsmoortel. Inspiré par ses nombreux voyages, cet ancien trader a lancé six établissements à Anvers. SumSum s’est spécialisé en dim sum et bao, tandis que Sumac met à l’honneur la streetfood libanaise. Appréciant autant les saveurs méditerranéennes qu’asiatiques, il développe des recettes qu’il délègue ensuite à ses chefs. Son objectif est clairement d’ouvrir un restaurant à Bruxelles, mais sans pour autant fermer sa dark kitchen. « Il y a un grand marché pour le take-away et le delivery car on ne va pas tous les jours au resto. Tous mes concepts de restaurant ont été également pensés pour la livraison car je savais que ce secteur allait prendre de l’ampleur. Le delivery et la nourriture fast casual en général connaissent une grande croissance, une tendance qui s’est accélérée avec la pandémie.».

Premières commandes
Il est 17h30, l’heure des premières commandes. Même si le mercredi est censé être une journée calme, on sent que les équipes se préparent au coup de feu. 80% des commandes s’effectuent entre 18h et 20h30. « Il faut être au top tous les jours. La livraison doit être rapide et les plats d’une qualité constante, c’est une pression quotidienne. Au restaurant, c’est une tout autre expérience, le service est là pour faire patienter le client. Un bon contact avec le serveur peut améliorer notre ressenti et faire oublier un plat moyen. Ce n’est pas le cas en delivery. Le client veut être servi le plus rapidement possible et n’hésitera pas à noter sa commande », explique Raphaël. Ces notes sont importantes car la satisfaction du client fait partie des facteurs qui définissent le référencement de ces établissements sur des sites comme Uber Eats. Un oubli, une livraison trop lente ou des mauvaises notes : il en faut peu pour que l’établissement soit sanctionné avec un moins bon référencement. Ce dernier est un point crucial pour les enseignes car plus vous apparaissez dans le haut des recherches, plus vous avez de chance que vos plats atterrissent dans le panier virtuel des consommateurs…

De la composition de la recette au contenant, les plats sont étudiés pour proposer une expérience de livraison optimale. Malgré la taille réduite des cuisines, les employés travaillent en parfaite synergie et ne semblent jamais être dans les « pattes » les uns des autres. Du côté de Sumac, Ishaq observe attentivement le four. « Il est à 400°C, nous y mettons le pain afin qu’il soit légèrement grillé », raconte le jeune Afghan qui vit en Belgique depuis douze ans. Polyvalent et grand amateur de food, le jeune homme a travaillé dans plusieurs établissements de l’Horeca avant d’arriver dans les cuisines de Sumac. À l’instar de ses trois collègues, il papillonne d’un post à l’autre pour préparer des spécialités libanaises. Présent depuis plusieurs mois, il ne jette même plus un regard sur les recettes détaillées accrochées au frigo.

Il est 18h30, les commandes s’accélèrent, les équipes sont concentrées. Même si la journée est calme, la pièce se réchauffe et les odeurs de cuisson des quatre coins du monde viennent titiller mes narines. D’alléchantes odeurs de curry, d’épices et de burgers en train de grésiller sur la plaque de cuisson proviennent de Mission Masala. Du côté de Sumac, le parfum du zaatar, poulet et kefta grillés se font sentir. Seul le poste de Sushi Me ne dégage pas d’odeurs particulières, mais vu qu’il s’agit de sushis et de poisson frais, c’est plutôt bon signe !


Coup de feu et dégustation
Si la pandémie a accéléré le phénomène, les ghost kitchens ne craignent pas pour autant la réouverture des restaurants. « Bien sûr nous connaîtrons sans doute une petite baisse, mais les restaurants et les dark kitchens peuvent cohabiter. La preuve : je développe ces deux types d’établissement, ils sont complémentaires. Les personnes qui commandent des plats à faire livrer sortent aussi au restaurant. Il s’agit du même public » explique Raphaël en dégustant la dernière création de Mission Masala. Bien qu’ils soient présents sur les mêmes plateformes, les chefs se soutiennent et ne cessent de tarir d’éloges sur les autres enseignes.

Igor Goudesone, le chef de Mission Masala en profite d’ailleurs pour nous parler des délicieux pancakes de Pop’s, l’établissement spécialisé en brunch et petit-déjeuner tenu par Thomas Gendry de Kumo Kitchens. « Ses pancakes sont à tomber, c’est le remède idéal contre les cuites », dit-il en riant. Pop’s a récemment quitté les cuisines Kumo Kitchen afin d’ouvrir un établissement physique, raison pour laquelle une des quatre unités de cuisine est inoccupée ce soir. « Nous avons trouvé un établissement à deux rues d’ici. Généralement Kumo Kitchen propose des contrats de six à douze mois, c’est le timing parfait pour tester sa cuisine et le quartier ». Ils n’auront pas de mal à trouver un remplaçant : les chefs désireux d’acquérir une cuisine fantôme à Ixelles sont sur liste d’attente. Vers 21h, c’est le temps des dernières commandes, de la vaisselle et du rangement. Couvre-feu oblige, les cuisines ferment aux alentours de 21h30.

Si l’atelier regorge de vie, l’ambiance se veut très calme dans la petite cour. À l’exception du ballet de livreurs qui attendent en silence les yeux rivés sur leur téléphone pour visualiser le trajet à suivre, on ne saurait deviner la présence de quatre restaurants virtuels. « On ne peut pas vraiment connaître l’ampleur du phénomène. Il y a certainement des dizaines et des dizaines d’établissements comme celui-ci », conclut Thomas Gendry.

Gratin Lunellois

Les ingrédients :

  • Des petites pommes de terre que vous couperez en rondelles.
  • 20 cl de crème fraîche liquide ou semi épaisse.
  • 25 cl de lait.
  • 15 cl de Muscat de Lunel.
  • Sel et poivre.

La préparation :

  1. Préchauffez votre four à 180 degrés.
  2. Disposez les rondelles de pommes de terre dans le plat à gratin.
  3. Mélangez la crème fraîche, le lait, le muscat, le sel et le poivre.
  4. Recouvrir les pommes de terre de ce mélange.
  5. Mettre au four pendant 1 h / 1 h 30 afin que les pommes de terres soient bien cuites .

Tiramisu de Pâques

Voici une recette de tiramisu incroyable en forme d’œuf de Pâques pour surprendre vos enfants et vos convives.

Les ingrédients :

  • 10 biscuits à la cuillère
  • 200 g de chocolat noir Pâtissier
  • 250 g de mascarpone
  • 2 oeufs
  • 2 c. à s. de sucre
  • 10 cl de café expresso
  • 4 c. à s. de cacao en poudre

La préparation :

  1. Faites fondre le chocolat noir et à l’aide d’un pinceau badigeonnez généreusement le moule à œufs avec le chocolat fondu.
    Mettez le moule au réfrigérateur 20 minutes ou 10 minutes au congélateur.
  2. Séparez les blancs d’œufs des jaunes.
    Fouettez les jaunes d’œufs et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
    Ajoutez le mascarpone et mélangez.
  3. Montez les blancs d’œufs en neige très ferme et incorporez-les au mascarpone.
  4. Sortez le moule à œufs du réfrigérateur et répartissez la préparation dans chaque alvéole.
  5. Saupoudrez de cacao amer.
  6. Coupez chaque biscuit à la cuillère en deux puis trempez-les dans le café et déposez-les sur la préparation.
    Réservez au réfrigérateur environ 4 à 6 heures.
  7. Retournez le moule sur une planche et démoulez délicatement les tiramisus.
    Servez aussitôt et saupoudrez de cacao amer.

Kerisac dévoile un cidre au goût galette-saucisse pour les (vrais) Bretons

Voici une idée qui va faire sourire tous les amoureux de la Bretagne et de sa gastronomie. La cidrerie Kerisac vient tout juste de dévoiler sa dernière création : un cidre aromatisé à… la galette-saucisse.

Pour ceux qui l’ignorent, la galette-saucisse est une spécialité très connue et appréciée en Bretagne. Cette saucisse chaude assaisonnée au sel de Guérande enroulée dans une traditionnelle galette de sarrasin est généralement associée aux fêtes et aux événements sportifs : les fans du Stade Rennais lui ont même dédié une chanson (et un clip) baptisée “Galette-saucisse je t’aime”.
Une spécialité devenue emblème de la gastronomie populaire de Bretagne qui est généralement accompagnée avec du cidre. De quoi donner des idées à la marque Kerisac, implantée depuis 1920 dans la vallée de l’Isac à Guenroüet et qui produit chaque année des milliers de cidres pur jus pour les crêperies bretonnes.

La cidrerie centenaire a créé le premier cidre au goût de galette-saucisse pour rassembler deux traditions culinaires en une seule. Évidemment, comme on est le 1er avril, il nous est permis de douter du sérieux de ce nouveau produit décalé qu’on devine plus comme un coup de communication humoristique de la marque.

Quoique, quand on parle de la galette-saucisse tout est possible. Et ce n’est pas la SGSB, l’association de Sauvegarde de la Galette-Saucisse Bretonne qui défend les intérêts de cette tradition depuis 1994 qui dira le contraire !

La Vegan Society demande la fin des biscuits en forme d’animaux

La Vegan Society, organisation britannique qui défend le végétalisme, ne veut plus voir de biscuits et autres bonbons en forme d’animaux dans les rayons de nos supermarchés, relate Radio Contact. La raison? Selon elle, ces confiseries renforcent l’idée d’une suprématie de l’homme sur l’animal.

Des biscuits en forme de dinosaures ou des oursons en guimauve? Nos enfants les adorent. Mais l’organisation Vegan Society, elle, est totalement contre. Cette dernière demande la fin de la mise en vente de ces bonbons en forme d’animaux. Selon elle, encourager nos bambins à manger ce genre de biscuits renforce l’idée que les humains sont supérieurs et qu’ils ont le contrôle sur les animaux.

“La consommation de biscuits animaux réitère aux enfants leur accès privilégié au monde naturel et aux subordonnés qui y vivent. En étant capable de ‘collecter’ des animaux, de les ramasser, de les manipuler et finalement de les manger, les notions de suprématie humaine sont soulignées“, a déclaré Corey Lee Wrenn, maître de conférence en sociologie à l’Université de Monmouth.

Un emballage modifié
En 2018, l’association PETA, qui défend les droits des animaux, a réussi à convaincre Nabisco de modifier l’emballage de ses emblématiques biscuits en forme d’animaux de la savane. Ces derniers étaient représentés en captivité dans des cages sur la face avant de l’emballage. Le dessin a été retravaillé pour présenter les animaux en liberté.

“La nouvelle boîte des biscuits reflète parfaitement le fait que notre société ne tolère plus la mise en cage et l’enchaînement des animaux sauvages pour les spectacles de cirque”, déclarait à l’époque Tracy Reiman, vice-présidente de PETA.

Manger du piment permettrait de vivre plus longtemps

Une étude scientifique prête de nouvelles vertus au piment.
Riche en vitamines C, B6 et K, source de fer, de cuivre ou encore de manganèse. Le piment améliorerait la digestion, protégerait la muqueuse de l’estomac… Et une nouvelle étude démontre maintenant qu’il réduirait les risques de cancer, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Ainsi, les premiers résultats de l’American Heart Association indiqueraient que les consommateurs réguliers de piment pourraient vivre plus longtemps que les autres.

L’étude a comparé les résultats entre les personnes ne consommant pas ou peu de piment et ceux qui le mettent régulièrement dans leur assiette. L’étude a démontré que les fanatiques de piquant présentaient une réduction de 26 % du taux de mortalité face aux maladies cardiovasculaires, une réduction de 23 % du taux de mortalité face aux cancers ainsi qu’une baisse de 25 % de mortalité en général.

Si, aujourd’hui, l’étude sur l’espérance de vie n’est pas encore terminée et les chiffres encore difficiles à affirmer, une chose est sûre, manger épicé est bénéfique pour la santé. Et surtout, c’est tout bonnement délicieux.

Riz au lait et raisins

Les ingrédients :

  • 500 g de riz
  • 1 l de lait
  • 200 g de sucre
  • 1 pincée de sel
  • 1 gousse de vanille
  • 1/2 sachet de raisins secs trempés et ramollis dans l’eau

La préparation :

  1. Lavez le riz. Mettez-le dans la marmite. Arrosez-le d’1/2 l d’eau. Portez à ébullition, à petit feu, salez.
  2. Dès que l’eau est absorbée, ajoutez le lait et poursuivez la cuisson pendant 15 min.
  3. Ajoutez le sucre, la vanille coupée en 2 dans le sens de la longueur et les raisins égouttés. Mélangez.
  4. Laissez cuire en tournant souvent jusqu’à l’absorption complète du lait.

Riz au lait et mangue

Les ingrédients :

  • 1 mangue
  • 25 cl de lait entier
  • 20 cl de crème liquide
  • 150 g de riz rond
  • 120 g de sucre
  • 1 gousse de vanille

La préparation :

  1. Dans une casserole, mettez le lait à chauffer avec la crème liquide et la moitié du sucre, à feu moyen.
  2. Rincez rapidement le riz à l’eau froide et égouttez-le. Ajoutez le riz à la préparation lait-crème.
  3. Fendez la gousse de vanille en deux dans le sens de la longueur. Grattez les grains au dessus de la casserole.
  4. Laissez cuire à feu doux, pendant 30 min. Puis, laissez refroidir. Coupez des petits dés de mangue
  5. Dans les verrines, mettez un fond de dés de mangue, puis le riz au lait.
  6. Recouvrez avec 2/3 de petits dés de mangue.

Dans ton boul Ronald


McDonalds perd une bataille juridique avec le chef Jamie Olivier, qui a prouvé que la nourriture qu’ils vendent n’est pas apte à être ingérée parce qu’elle est hautement toxique.

Le chef Jamie Oliver a gagné une bataille contre la plus grande chaîne de malbouffe qui existe dans le monde. Une fois qu’Oliver a montré comment les hamburgers sont faits, McDonalds, la franchiseuse a annoncé qu’elle allait changer la recette.
D’après Oliver, les parties grasses de la viande sont « lavées » avec de l’hydroxyde d’ammoniac puis utilisées dans la confection du « gâteau » de viande pour remplir le burger. Avant ce processus, selon le présentateur, cette viande était déjà impropre à la consommation humaine.

Oliver, chef militant radical, qui a assumé une guerre contre l’industrie alimentaire, dit : nous parlons de viandes qui auraient été vendues comme nourriture pour chiens et après ce processus, des êtres humains sont servis. En dehors de la qualité de la viande, l’hydroxyde d’ammonium est nuisible à la santé. Oliver dit à ceci : « Le processus de la merde rose ».
Quel être humain en bonne santé mettrait un morceau de viande trempée dans de l’hydroxyde d’ammonium dans la bouche d’un enfant ?

Dans une autre de ses initiatives Oliver a montré comment les nuggets de poulet sont faits : Après avoir sélectionné les « meilleures parties », les autres : graisse, pellets, cartilages, viscères, os, tête, pattes, sont soumises à un liquéfié séparation mécanique. C ‘ est l’euphémisme qu’utilisent les ingénieurs dans la nourriture, puis cette pâte rose par le sang, est déodorée, décolorée, réodorisée et repeinte, capée dans des mélcocha farinacea et frit, c’est réhabilitée dans des huiles généralement partiellement hydrogénées, c’est-à-dire toxiques.

Aux États-Unis, Burger King et Taco Bell ont déjà abandonné l’utilisation d’ammonium dans leurs produits. L’industrie alimentaire utilise l’hydroxyde d’ammonium comme agent anti-microbien, ce qui a permis à McDonalds d’utiliser dans ses hamburgers de la viande d’entrée impropre à la consommation humaine.

Panna cotta au kiwi

Aujourd’hui, on partage avec vous des panna cotta ultra gourmands avec des biscuits à la cuillère, des kiwis et un bon coulis d’ananas pour plus de gourmandise.

Les ingrédients :

  • 10 biscuits à la cuillère
  • 50 cl de crème liquide
  • 60 g de sucre
  • 3 feuilles de gélatine
  • 1 gousse de vanille
  • 3 kiwis
  • 0,5 ananas

La préparation :

  1. Epluchez les kiwis et coupez-les en dés.
    Coupez l’ananas en morceaux et mixez-le jusqu’à obtenir un coulis.
  2. Faites tremper les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide pendant 10 minutes environ pour les faire ramollir.
  3. Versez la crème liquide dans une casserole.
    Fendez la gousse de vanille en deux dans le sens de la longueur et grattez les graines à l’aide d’un petit couteau au-dessus de la casserole.
  4. Ajoutez le sucre, mélangez et portez à ébullition.
    Retirez la casserole du feu, couvrez et laissez infuser 2 minutes.
    Egouttez la gélatine et ajoutez-la dans la casserole en mélangeant pour la faire fondre. Laissez un peu tiédir.
  5. Coupez chaque biscuit à la cuillère en deux et placez-les au fond de 4 verres de présentation.
  6. Disposez par-dessus les biscuits les dés de kiwi en les tassant légèrement.
  7. Versez la crème sur les dés de kiwi et mettez au frais pendant 4 heures.
  8. Après les 4 heures de pause, versez le coulis d’ananas sur la panna cotta.
  9. Servez aussitôt.

Camembert rôti et sa couronne de pâte feuilletée

Le fromage n’a pas de saison et même en été on en profite ! Avec Bon Ap’, découvrez une recette de camembert rôti accompagné d’une pâte feuilletée farcie à la purée de pommes de terre. Un délice à partager à l’heure de l’apéro ou à déguster en entrée avec une bonne salade !

Les ingrédients :

  • 1 camembert
  • 1 kg de pommes de terre
  • 3 c.à.s de crème fraîche
  • 1/2 bouquet de ciboulette
  • 1 échalote
  • 4 tranches de jambon cru
  • 2 pâtes feuilletées rondes
  • Sel et poivre

La préparation :

  1. Dans un saladier, placez les pommes de terres bouillies et écrasez-les à l’aide d’une fourchette. Ajoutez les ingrédients suivants : crème fraîche, le sel, le poivre, la ciboulette, l’échalote et le jambon. Mélangez.
  2. Recouvrez une plaque de cuisson de papier sulfurisé et déposez-y une des pâtes feuilletées. Étalez votre purée jusqu’à environ 1,5cm des extrémités de la pâte afin de former un anneau.
  3. Posez par-dessus la deuxième pâte. Scellez les deux pâtes à l’aide de vos doigts, puis faites de petits trous sur les bords grâce aux dents d’une fourchette. Pressez ensuite au centre de votre pâte afin de former une cuvette.Camembert rôti et sa couronne de pâte feuilletée.
  4. Faites des coupures séparées entre elles d’environ 2,5 cm. Mettez ensuite tous les morceaux coupés vers le haut de façon à ce que la contenance soit visible. Badigeonnez toute la surface de la préparation avec du jaune d’œuf.
  5. Découpez un cercle et faites une croix dans le camembert.
  6. Faites cuire l’ensemble durant 40 minutes à 200°C. C’est prêt !

Rouleaux de printemps au saumon fumé

Le goi cuon, beaucoup plus connu sous le nom de rouleaux de printemps Vietnamien, est un des plats les plus appréciés dans le monde. Frais et sain aux multiples saveurs, le rouleau de printemps constitue un plat idéal pour les beaux jours et ici on vous le présente avec des crudités et du saumon fumé pour changer du rouleau de printemps classique.

Les ingrédients :

  • 8 galettes de riz
  • 8 tranches de saumon fumé
  • 80 g de vermicelles de riz ou nouilles de riz
  • 100 g de carottes râpées
  • 50 g de pousse de soja
  • 8 feuilles de salades vertes
  • Sauce soja

La préparation :

  1. Coupez les feuilles de salade en gros morceaux.
  2. Plongez la vermicelle de riz dans de l’eau chaude pendant 2 minutes puis égouttez-la.
  3. Coupez les tranches de saumon en deux.
  4. Préparez un saladier d’eau tiède et un torchon humidifié qui va servir de plan de travail.
    Trempez les galettes de riz dans l’eau tiède (l’une après l’autre) et égouttez-les sur votre torchon.
  5. Disposez un morceau de salade et une tranche de saumon pliée en deux.
  6. Ajoutez un peu de vermicelles de riz, des carottes râpées et des pousses de soja sur le début de la galette.
  7. Repliez les bords de votre galette pour couvrir la garniture.
  8. Roulez l’ensemble délicatement afin d’obtenir un rouleau de printemps.
  9. Dégustez vos rouleaux de printemps de suite avec la sauce soja ou une sauce de votre choix.

Fromage frais maison


Si vous avez 1 litre de lait, du yaourt et un demi citron, vous pouvez préparer le meilleur fromage fait maison

Sur vos tartines, en salade, ou dans vos pâtes, le fromage frais accompagne tous vos repas avec brio en y ajoutant une délicieuse touche crémeuse.

Si l’on retrouve plusieurs sortes de fromages frais sur le marché, rien ne bat le fromage frais fait maison avec amour.

En sus d’être succulent, ce dernier est très facile à préparer et peut être réalisé en utilisant seulement du lait, un yaourt et du jus de citron.

Dans cet article, nous partageons avec vous une superbe recette pour préparer votre fromage frais à la maison très facilement et rendre tous vos amis jaloux.

Vous raffolez de fromage mais n’avez jamais eu le courage de tenter d’en préparer chez vous de peur de le rater ? Pas d’inquiétude, il n’y a rien de plus facile que de concocter votre fromage frais à la maison.

Voici une recette très facile qui fera de vous la star de l’apéro en utilisant seulement 3 ingrédients.

Pourquoi le fromage frais est bon pour vous

* Une vraie mine de protéines
Vous avez sous doute remarqué que les mordus de la musculation avaient tendance à consommer beaucoup de fromage frais, et ce n’est pas pour rien ! Les fromages frais contiennent jusqu’à 36% de protéines essentielles à l’organisme, à la reconstitution de nos cellules et à la production d’anticorps qui nous protègent contre les maladies.

* Une précieuse source de calcium
Si le lait est connu pour être riche en ce précieux minéral, le fromage frais excelle également de par sa teneur en calcium. En mangeant du fromage frais, vous protégez et renforcez non seulement vos os mais également vos dents.

* Un allié minceur
Les fromages frais sont très souvent recommandés par les diététiciens et nutritionnistes aux personnes souhaitant perdre quelques kilos car ils apportent de précieux nutriment à votre corps et vous procurent une sensation de satiété sans vous faire prendre de poids. De plus, son délicieux goût assouvit les fringales et vous évite tout écart.

* Un accompagnement versatile
Du petit déjeuner au dîner, en passant par le goûter et l’apéro, le fromage frais accompagne brillamment tous vos repas et peut être utilisé pour préparer une grande variété de plats exquis et riches en nutriments.

* Il est facile à concocter à la maison
Un grand avantage du fromage frais est que vous pouvez très facilement le concocter chez vous et obtenir à la fois la garantie d’un encas 100% naturel et la satisfaction d’avoir préparé votre propre fromage.

Les ingrédients :

  • Un litre de lait de brebis
  • Un yaourt nature bio sans sucre
  • 1 demi citron d’origine biologique.

Il existe également la version vegan de cette recette. Il vous suffit de remplacer le lait par un mélange de lait de coco et de lait d’amande et le yaourt par des capsules de probiotiques.

La préparation :

  1. Commencez par faire chauffer votre lait dans une casserole pendant 15 minutes sur feux doux sans pour autant le porter à ébullition
  2. Pendant que votre lait chauffe, pressez le jus d’un demi-citron à l’aide d’un presse agrume si vous en avez ou bien en utilisant une fourchette
  3. Retirez votre lait du feu lorsque les 15 minutes se seront écoulées et intégrez-y progressivement le yaourt nature et le jus de citron
  4. Mélangez pendant quelques secondes, puis laisser reposer votre mélange pendant au moins 3 heures
  5. Une fois les 3 heures écoulées, prenez votre gaze de coton hydrophile et pliez la plusieurs fois sur elle-même avant de la placer dans une casserole ou dans un récipient
  6. Filtrez votre mélange à l’aide de votre gaze de manière à ce que le petit-lait passe dans la casserole et qu’il n’y reste que la partie caillée. N’hésitez pas à bien presser pour que tout le lactosérum passe dans la casserole
  7. Placez votre gaze de coton contenant la partie caillée dans un autre récipient et mettez-le au frigo pendant au moins 30 minutes avec un poids dessus
  8. Sortez ensuite votre gaze de coton et ouvrez-la pour assaisonner votre fromage à l’aide de sel si vous le souhaitez, puis placez-le dans le moule de votre choix
  9. Remettez votre fromage au réfrigérateur dans son moule pendant encore 8 heures et le tour est joué !

Terrine de saumon fumé aux herbes

Les ingrédients :

  • 10 tranches Fines de saumon fumé
  • 200g Ricotta
  • 150g Fromage blanc
  • 200g Mascarpone
  • 1Bouquet d’aneth
  • 80g Câpres
  • 4cuil. à soupe Huile d’olive
  • Sel & Poivre

La préparation :

  1. Rincez les brins d’aneth, puis égouttez-les et épongez-les avec un papier absorbant. Équeutez et ciselez-en les 3/4. Hachez les 3/4 des câpres très finement.
  2. Mélangez la ricotta avec le fromage blanc et le mascarpone. Incorporez l’aneth ciselé et les câpres hachés. Ajoutez l’huile, salez, poivrez et mélangez.
  3. Superposez le saumon et la préparation à l’aneth et aux câpres par couches, dans une petite terrine tapissée de film étirable, en le retaillant aux dimensions de celle-ci.
  4. Couvrez de film et placez 12 h au frais.
  5. Démoulez la terrine, retirez le film puis décorez avec l’aneth et les câpres réservés. Servez en tranches.

Gratin de courgettes de mamie

Les ingrédients :

  • 1 cuillère à soupe de crème fraiche
  • 1 oeuf
  • 1 courgette
  • du fromage rapé

La préparation :

  1. Mélanger la crème fraiche à l’oeuf battu et l’ajouter aux dés de courgette préalablement cuite à l’eau.
  2. Assaisonner.
  3. Ajouter le fromage rapé et faire gratiner

Le fromage pourrait rendre aussi accro que la cigarette, l’alcool ou la drogue

Aimez-vous le fromage ? En France, le fromage fait partie intégrante des repas. Un morceau de chèvre, de comté, de camembert ou de bleu avec du bon pain et un verre de vin c’est tellement traditionnel ! Pourtant, selon une étude, le fromage rendrait accro !

Des études avaient prouvé que le fromage était bon pour la mémoire et même recommandé au petit-déjeuner… Mais est-ce que l’amour des Français pour les fromages serait en fait une addiction ? Selon une édude de l’Université du Michigan publiée dans la National Library of Medicine , le fromage, tout comme l’alcool, le tabac et les drogues dures, rendrait accro.

Leur étude a porté sur les habitudes alimentaires de 500 étudiants. Le plat n°1 consommé par ces derniers est la pizza, recouverte évidemment de fromage. La dépendance que créé le fromage vient en fait du processus de transformation de l’aliment.

Cela vaut pour tous. Plus un aliment va être gras et transformé, plus les chercheurs ont noté qu’il allait généré des comportements alimentaires addictifs. L’addiction alimentaire serait également selon l’étude un résultat de comportements inscrits dans nos gènes qui nous ferait aimer particulièrement les graisses d’origine animale.

Concernant le fromage, les scientifiques ont indiqué qu’il contient en plus de la caséine. Cette protéine libère au moment de la digestion des opiacés appelés casomorphines. Cameron Wells, un diététicien américain qui a participé à cette étude, a expliqué au Los Angeles Times :

« Les casomorphines jouent vraiment avec les récepteurs de la dopamine et déclenchent cet élément de dépendance. »

Tout ça c’est très intéressant, mais est-ce que cette addiction au fromage est dangereuse ? Non si la consommation se fait avec modération, notamment pour son impact sur le taux de cholestérol. À choisir, préférez également des fromages locaux, plutôt que ultra transformés.

Gâteau au yaourt par Julie Andrieu

Les ingrédients :

  • 1 pot de yaourt nature
  • 2 gros œufs
  • 1 pot de beurre (130 g)
  • 2 pots de sucre roux ou vergeoise blonde (160 g)
  • 3 pots de farine T 45 ou 55 (230 g)
  • 1/2 sachet de levure chimique (6 g)
  • 2 pincées de fleur de sel
  • 1 CC de vanille liquide

La préparation :

  1. Préchauffez le four à 180°C chaleur statique.
  2. Placez le beurre dans un moule à charlotte de 14 cm de diamètre (moule anti adhésif à bords hauts) et mettez-le au four jusqu’à ce qu’il soit fondu mais pas noisette.
  3. Videz le contenu du pot de yaourt. Dans un plat creux, cassez les œufs, ajoutez 2 pots de sucre (remplissez les comme les yaourts, pas à ras bord) et fouettez énergiquement pendant 1 minute jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Incorporez le yaourt. Fouettez rapidement.
  4. Videz le beurre dans un bol et beurrez le moule à l’aide d’un pinceau avec le reste de beurre qui a adhéré aux parois. Placez le moule au frais.
  5. Lavez et sécher le pot de yaourt. Mesurez l’équivalent en farine de 3 pots de yaourts, versez-la dans un grand bol. Mélangez-la avec la levure et incorporez-en la moitié à la préparation à travers un tamis. Mélangez à la spatule. Ajoutez le beurre, la vanille, mélangez puis ajoutez le reste de la farine et enfin la fleur de sel.
  6. Sucrez l’intérieur du moule et retournez-le pour retirer l’excédent. Versez la pâte dans le moule. Déposez sur une plaque au centre du four et laissez cuire 1 h.
  7. Laissez reposer le gâteau 5 minutes, démoulez-le et laissez refroidir sur une grille.

Conseils :

Attention à bien utiliser un yaourt et non une préparation laitière qui ne contient pas les précieux ferments.

Ultra fondant au chocolat

Les ingrédients :

  • 200g Chocolat noir à 65 % de cacao
  • 90g Beurre salé
  • 2 Oeufs
  • 2 Jaunes
  • 100g Sucre en poudre
  • 1 cuil. à soupe Farine
  • 10cl Crème liquide

La préparation :

  1. Cassez le chocolat noir en morceaux, ajoutez le beurre en parcelles et faites fondre au bain-marie ou au four à micro-ondes. Mélangez pour lisser.
  2. Dans une jatte, fouettez les œufs avec les jaunes et le sucre en poudre, jusqu’à blanchiment. Incorporez le mélange beurre-chocolat, puis la crème liquide.
  3. Préchauffez le four à 160 °C (th. 5/6). Versez la pâte dans un moule à tarte de 20 cm de diamètre beurré et fariné, enfournez pour 35 min, puis laissez refroidir dans le four éteint.

Cheesecake au citron

Frais et savoureusement parfumé, le cheesecake au citron sans cuisson est un classique faisant appel à la gourmandise ! On le déguste autour d’un thé pour en apprécier toutes les saveurs et les textures.

Les ingrédients :

  • 170 g de spéculoos
  • 85 g de beurre
  • 450 g de fromage frais
  • 250 g de crème liquide entière
  • 90 g de sucre
  • 1 feuille de gélatine
  • 2 citrons (non traités)

Pour la gelée au citron

  • 2 citrons
  • 2 feuilles de gélatine
  • 120 g d’ eau
  • 20 g de sucre
  • Colorant jaune

La préparation :

    Le biscuit

  1. Concasser les spéculoos jusqu’à obtenir une mixture plus ou moins fine, selon les préférences.
  2. Dans un saladier, mélanger la poudre de biscuits avec le beurre fondu. La préparation doit être humide. Déposer le mélange dans le fond d’un moule à charnières préalablement chemisé d’un papier sulfurisé.
  3. Tasser la mixture à l’aide de la base d’un verre ou du dos d’une cuillère à soupepour créer le biscuit du cheesecake. Réserver 30 minutes au congélateur ou environ 1h30 au réfrigérateur.
  4. L’appareil au fromage frais

  5. Entre-temps, réaliser l’appareil. Hydrater la feuille de gélatine dans un peu d’eau froide.
  6. Dans un saladier, fouetter le fromage frais avec le sucre et le zeste de deux citrons.
  7. Faire ensuite chauffer le jus d’un demi-citron. Essorer la feuille de gélatine ramollie avant de l’incorporer dans le jus de citron chaud. Laisser refroidir puis verser le mélange dans le saladier.
  8. À l’aide d’un batteur électrique, fouetter la crème liquide entière jusqu’à obtenir une chantilly puis l’incorporer délicatement au fromage frais citronné.
  9. Recouvrir la base du cheesecake de crème au citron et réserver 20 minutes au congélateur.
  10. La gelée au citron

  11. Hydrater les feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide.
  12. Entre-temps, récolter les zestes et le jus des deux citrons puis faire chauffer le tout avec le sucre et l’eau.
  13. Lorsque le sucre c’est totalement dissous, incorporer hors du feu la gélatine préalablement essorée. Laisser refroidir avant de filtrer la préparation puis y ajouter quelques gouttes de colorant.
  14. Enfin, verser la gelée de citron refroidie sur le cheesecake au citron et réserver 2 heures au réfrigérateur jusqu’à ce que la gelée ait pris.

Pain de mie

Voici une recette de pain de mie maison moelleux à base de levure sèche. Ce pain rectangulaire est particulièrement apprécié toasté ou en croque-monsieur. Il se conserve dans un endroit frais et sec.

Les ingrédients :

  • 500 g de farine
  • 1 sachet de levure sèche de boulanger
  • 50 g de beurre
  • 10 cl d’eau
  • 3 g de sel
  • 40 g de sucre
  • 20 cl de lait tiède

La préparation :

  1. Commencez par délayer la levure sèche dans 10 cl d’eau tiède. Réservez 5 minutes.
  2. Dans la cuve d’un robot, versez la farine, le sel, le sucre et le beurre préalablement coupé en morceaux.
  3. Pétrissez la pâte puis incorporez la levure délayée ainsi que le lait tiédi. Lorsque la pâte est homogène et élastique, vous pouvez passer à l’étape suivante.
  4. Laissez pousser la pâte pendant 2 heures, jusqu’à ce que le volume ait doublé.
  5. Dégazez la pâte sur un plan de travail fariné puis façonnez-la en boudin de la taille de votre moule avant de la déposer dans le fond de celui-ci.
  6. Laissez pousser 1 h 30 supplémentaire puis enfournez pour 30 minutes de cuisson dans un four préchauffé à 180 °C.
  7. Une fois le pain de mie cuit, laissez-le refroidir sur une grille.

Rochers à la noix de coco

Faciles et ultra rapides à réaliser, ces rochers à la noix de coco sont des petites gourmandises à déguster à toute heure de la journée et vous n’en ferez qu’une bouchée !

Les ingrédients :

  • 200 g de noix de coco râpée
  • 200 g de sucre
  • 2 œufs

La préparation :

  1. Préchauffer le four à 180°C.
  2. Faire blanchir légèrement le sucre et les œufs à l’aide d’un fouet.
  3. Incorporer la noix de coco puis réaliser des petites boules.
  4. Les disposer sur une plaque de cuisson chemisée d’un papier sulfurisé en les espaçant.
  5. Enfourner pour environ 12 minutes de cuisson en mode chaleur tournante.
  6. Une fois dorés, sortir les rochers à la noix de coco du four et les laisser refroidir sur une grille.

Œufs mimosa à la betterave

Les ingrédients :

  • 6 œufs durs
  • 60 g de betteraves cuites
  • 50 g de fromage à la crème ou cream cheese Philadelphia ou 50g de fromage frais à tartiner
  • Sel ou sel fin
  • Poivre du moulin

La préparation :

  1. Écalez les œufs durs puis coupez-les en deux
  2. Mettez les jaunes dans un petit mixeur.
  3. Ajoutez la betterave cuite coupée en gros dés.
  4. Ajoutez le fromage frais, du sel et du poivre du moulin.
  5. Mixez en purée.
  6. Réservez au frais puis garnissez les œufs avec le mélange à la betterave.
  7. Servez avec un peu de ciboulette ciselée.

Zézettes de Sète

Les ingrédients :

  • 550 g de farine tamisée
  • 150 g de sucre en poudre
  • 15 cl (ou 150 g) de muscat (de Frontignan de préférence pour garder l’authenticité de la recette)
  • 15 cl (ou 150 g) d’huile d’olive
  • 2 cuillères à soupe de fleur d’oranger
  • 1 cuillère à café d’extrait ou poudre de vanille
  • 1 sachet de levure chimique
  • Préchauffer le four à 180° en chaleur tournante.

La préparation :

  1. Dans un saladier, mélanger le sucre en poudre avec le muscat, la fleur d’oranger, l’huile et la vanille.
  2. Dans un autre saladier, mélanger la farine tamisée avec la levure.
  3. Verser petit à petit le premier mélange liquide dans le second jusqu’à obtenir une boule de pâte.
  4. Découper un petit morceau de pâte puis former un boudin aux extrémités pointues.
  5. Rouler le boudin dans du sucre en poudre puis disposer sur une plaque recouverte de papier cuisson.
  6. Renouveler les opérations jusqu’à remplir la plaque.
  7. Enfourner pour 25 minutes de cuisson jusqu’à ce que les Zézettes soient bien dorées : c’est prêt !

Gâteau tiramisu

Le célèbre tiramisu transformé en gâteau pour un dessert gourmand, un anniversaire ou un moment festif. Les biscuits à la cuillère Bonne Maman sont parfaits pour ce gâteau. Une très bonne tenue et un goût raffiné.

Les ingrédients :

  • 20 biscuits à la cuillère
  • 600 g de mascarpone
  • 4 oeufs
  • 60 g de sucre glace
  • 20 cl de café expresso
  • 80 g de cacao en poudre
  • 20 g de copeaux de chocolat

La préparation :

  1. Séparez les blancs d’œufs des jaunes.
    Fouettez les jaunes d’œufs et le sucre glace jusqu’à ce que le mélange blanchisse.
    Ajoutez le mascarpone et mélangez.
  2. Montez les blancs d’œufs en neige très ferme et incorporez-les au mascarpone.
    Prélevez 150 g de cette crème et mettez-la dans une poche à douille et stockez-la au frais.
  3. Dans le fond d’un cercle à pâtisserie ou un moule à génoise de 24 cm de diamètre, disposez les biscuits à la cuillère imbibés de café de manière à avoir une couche de biscuits.
  4. Versez la moitié de la crème mascarpone sur les biscuits. Lissez et saupoudrez de cacao en poudre.
  5. Disposez encore une fois une couche de biscuits à la cuillère imbibés de café.
  6. Versez le reste de la crème sur les biscuits. Lissez et saupoudrez de cacao en poudre.
    Mettez le gâteau au frais pour une pause de 4 à 6 heures.
  7. Au moment de servir, démoulez le gâteau tiramisu en enlevant le cercle à pâtisserie.
  8. Décorez le haut du gâteau avec la crème à l’aide de la poche à douille en formant des mini-dômes.
  9. Décorez avec le cacao en poudre et les copeaux de chocolat.
    Dégustez.

Pâte à pizza maison

  1. Déposez 300 g de farine sur le plan de travail ajoutez le sel et mélangez. Disposez le tout en fontaine.
    Délayez 1 sachet de levure de boulanger avec 2 cuillères à soupe d’eau tiède.
    Versez la levure au centre de la fontaine puis ajoutez 1 cuillère à soupe d’huile d’olive.
  2. Mélangez avec les doigts en ramenant peu à peu la farine vers le centre et en versant un peu d’eau tiède au fur et à mesure.
    La quantité d’eau dépend de la qualité d’absorption.
  3. Farinez légèrement le plan de travail et pétrissez la pâte à la main pour incorporer un maximum d’air.
    Vous pouvez aussi utiliser un robot avec un crochet à pâte.
  4. Façonnez la pâte en boule. Posez-la dans un saladier et couvrez de film alimentaire.
    La pâte doit doubler de volume, on dit qu’elle « pousse ».
    Laissez la reposer 1 h à 1 h 30 à température ambiante (23°C étant l’idéal).

Ensuite, étalez-la et laissez-la monter à température ambiante encore 15 minutes.
Puis garnissez-la comme vous aimez

Six recettes de pancakes pour bien commencer la journée

Le petit-déjeuner est indispensable pour prendre des forces après une bonne nuit. S’il est assez consistant, il est facile de tenir sans grignoter jusqu’au déjeuner. Les pancakes sont donc un bon moyen pour se faire plaisir le matin et pour être suffisamment calé. Découvrez six recettes pour toujours plus de gourmandise.

Aux flocons d’avoine
Pour des pancakes sains, rien de mieux que les flocons d’avoine. Pour commencer, battez deux œufs en omelette et ajoutez 300 ml de lait. Ensuite, incorporez 150g de flocons d’avoine, un sachet de levure chimique, 120g de farine et un sachet de sucre vanillé. Mélangez le tout. La pâte doit être assez épaisse. Dans une poêle chaude, versez une petite louche. Lorsque des bulles commencent à se former sur le dessus, retournez le pancakes. Une fois prêts, dégustez avec un filet de sirop d’érable.

Au yaourt
Le yaourt permet d’aérer le pancake et le rend encore plus moelleux. Pour cette recette, mélangez deux yaourts bulgares, deux œufs, 150g de farine, un demi-sachet de levure chimique, un sachet de sucre vanillé et une pincée de sel. Faites cuire le tout. Versez du sirop d’érable et parsemez de fruits rouges.

À la banane
Avec de la banane, les pancakes deviennent encore plus consistants. Commencez par écraser deux bananes. Dans un saladier, battez deux œufs puis ajoutez les fruits. Ensuite, mélangez 70g de sucre, une cuillère à café de levure chimique, une pincée de sel et 200g de farine. Versez 10 cl de lait tout en continuant de mélanger. Faites-les dorer, c’est prêt !

Aux amandes et noisettes
Rien de mieux que l’association d’oléagineux pour un petit-déjeuner sain et équilibré. Pour cela, mélangez deux œufs, un sachet de sucre vanillé, un stick de stévia, une cuillère à café d’extrait de vanille, un sachet de levure et 80g de farine d’avoine. Ajoutez 50g de poudre d’amande et 50g de purée de noisettes. Enfin, incorporez 100 ml de lait d’amande. Faites cuire le tout et servez avec des amandes et des noisettes concassées.

Au chocolat
Les plus gourmands vont être ravis. Pour cette recette de pancakes au chocolat, mélangez un œuf, 15 cl de lait et 40g de beurre fondu. Dans un second saladier, ajoutez 120g de farine, 20g de cacao, 40g de sucre et une cuillère à café de levure chimique. Mélangez. Creusez un puit et versez le premier mélange en trois fois. Mélangez bien à chaque fois. Faites cuire les pancakes. Pour une recette encore plus généreuse, préparez un coulis de chocolat en portant à ébullition 5cl de crème liquide entière et 3cl de lait. Hors du feu, ajoutez le chocolat coupé en morceaux. Nappez les pancakes de coulis.

Au saumon fumé
Si vous êtes adepte des petits-déjeuners salés, nous avons la solution. Dans un premier saladier, mélangez 130g de farine, 20g de sucre, une cuillère à café de levure chimique, 20g de sucre et une pincée de poivre et de sel. Dans un second bol, mélangez 15 cl de lait, un œuf, 30g de beurre fondu et de la ciboulette ciselée. Incorporez cette préparation à la première à l’aide d’une cuillère en bois, sans chercher à lisser la pâte. Faites cuire les pancakes. Pendant ce temps, mélangez deux petits suisses, un peu de zeste de citron, deux œufs, de la ciboulette et de l’ail semoule. Tartinez le dessus de chaque pancake avec cette crème et disposez une tranche de saumon fumé. Vous pouvez maintenant vous régaler !

Faut-il commencer la cuisson des oeufs durs à l’eau froide ?


Pour les œufs durs, il y a deux écoles : plonger les œufs dans l’eau bouillante ou démarrer la cuisson dans l’eau froide, pour éviter la casse et les brûlures. La deuxième méthode est notre préférée. On vous la détaille.
La cuisson d’un œuf dur est une opération plus délicate qu’il n’y paraît : plongez l’œuf dans l’eau bouillante, il a de grandes chances de se casser. Plongez-le dans l’eau froide, vous serez bien en peine de savoir à quel moment mettre en route votre minuteur : immédiatement ? quand l’eau frémit ? Quand elle bout ? Et combien de minutes ? 9 ? 10 ? Pas si simple. Voici notre méthode infaillible pour faire des œufs durs parfaitement cuits. A vous les œufs mimosa et les salades protéinées.

La cuisson de l’œuf dur à l’eau froide
Traditionnellement, pour faire des œufs durs, on porte de l’eau à ébullition dans une petite casserole puis on y plonge délicatement les œufs. Mais les risques de casse sont grands. Voilà pourquoi, selon nous, pour un œuf dur, la cuisson se fait idéalement « départ à froid ».

La méthode : prenez une petite casserole, placez-y vos œufs que vous aurez conservés à température ambiante (c’est mieux) et recouvrez-les complètement d’eau. Le niveau de l’eau doit être au minimum 1 centimètre au-dessus des œufs. Allumez le feu et portez l’eau à petite ébullition puis baissez le feu pour éviter les gros bouillons qui risqueraient de casser vos coquilles. La cuisson de vos œufs durs est bien engagée, reste maintenant à bien la minuter.

Le temps de cuisson d’un œuf dur
L’autre question épineuse qu’on se pose quand on veut faire des œufs durs, c’est le temps de cuisson. L’œuf dur idéal cuit-il 9, 10, 11 minutes ? Réponse : pour un œuf dur, le temps de cuisson dépend de la taille de vos œufs. Les petits calibres cuiront en 9 minutes à partir de l’ébullition. Comptez 10 minutes pour des œufs normaux. 11 minutes pour les gros. On ne dépassera pas les 12 minutes, pour éviter d’obtenir un jaune caoutchouteux bordé d’un anneau gris peu appétissant.

Lorsque la cuisson est terminée, égouttez vos œufs et passez-les immédiatement sous l’eau froide pour stopper la cuisson. Il ne reste plus qu’à écaler vos œufs durs : cassez la coquille sur une surface dure puis roulez l’œuf entre vos mains pour décoller la coquille du blanc. La coquille devrait ensuite s’enlever très facilement. Vous pouvez écaler vos œufs sous un filet d’eau froide ou dans un bol d’eau pour faciliter l’opération et débarrasser vos œufs du moindre éclat de coquille.

Vous savez tout sur le temps de cuisson de l’œuf dur à l’eau froide. Pour aller plus loin, découvrez toutes nos recettes à base d’œufs durs. Mayonnaise, mimosa, gratinés… il y en a pour tous les goûts.

Le régime végan ne serait pas bon pour les os

Notre santé osseuse peut-elle vraiment se passer de protéines animales : viande, fromage, lait, œuf… ? La réponse est non selon des scientifiques allemands.
Malgré les différentes alternatives dans l’assiette et les suppléments anti-carences consommés en cas de véganisme, l’exclusion des protéines animales pourrait nuire à la santé osseuse.

Pour nous éclairer sur ce point, des chercheurs allemands (*) ont recruté 36 personnes véganes et 36 autres consommant de tout. Tous ont passé un test basé sur des ultrasons. Des prélèvements sanguins et urinaires ont aussi été effectués. « Ces examens nous ont permis d’observer le métabolisme osseux à partir de l’identification de douze biomarqueurs précis », décrit le Pr Andreas Hensel, principal auteur de l’étude. Il s’agit par exemple de la lysine, un acide aminé, mais aussi des vitamines A et B6. Résultat, « ces différents marqueurs étaient présents en quantité moindre chez les volontaires véganes comparés aux non-véganes ». Un point qui pourrait confirmer une moins bonne santé osseuse chez les personnes ne consommant aucune protéine animale.

Autre étude probante sur le sujet : un sur-risque de fracture osseuse de 43 % lié aux régimes véganes et végétariens a, en effet, été mis en avant par des chercheurs britanniques des Universités d’Oxford et de Bristol. Et ce comparé à des personnes consommant régulièrement de la viande et des produits laitiers. « De faibles apports en calcium et en protéines ont été associés à une qualité dégradée de la santé osseuse », décrit le Dr Tammy Tong, principal auteur de l’étude.

Les protéines et le calcium dans les légumes ?
Certes, une alimentation végétarienne ou végane peut apporter des protéines et du calcium : les légumineuses (lentilles, pois chiche, haricots, fèves…), les oléagineux (amandes, noisettes, noix…), les céréales (quinoa, sarrasin), certains légumes (le brocoli, le panais…), le tofu et le seitan contiennent des protéines. Le calcium, lui, se trouve dans le beurre de sésame, les laits et yaourts végétaux, les figues sèches, les amandes et le brocoli.

Mais les concentrations sont moindres comparées aux protéines animales. Et la consommation quotidienne de légumes, légumineuses et autres alternatives ne suffisent pas toujours à éviter des carences. À titre d’exemple, on trouve l’équivalent de 20 grammes de protéines dans :

  • 80 grammes de cuisse poulet rôti
  • 100 grammes de jambon
  • 200 grammes de lentilles cuites ou de tofu
  • 240 grammes de pois cassés ou de pois chiche
  • 490 grammes de quinoa cuit

* German Federal Institute for Risk Assessment (BfR)

Mousse au citron et mascarpone

Les ingrédients :

  • 250 gr de Mascarpone
  • 90 gr de sucre
  • 30 cl de Crème liquide entière
  • 3 cl de jus de citron
  • zeste d’ ½ citron
  • colorant jaune (facultatif )

La préparation :

  1. Battre le mascarpone, le sucre, le colorant, le jus et le zeste de demi citron ensemble.
  2. Fouetter la crème liquide en chantilly bien ferme.
  3. Ajouter délicatement cette chantilly au premier mélange jusqu’à homogénéité.
  4. Verser ensuite la préparation dans des verrines à l’aide d’une poche à douille ou avec une cuillère et mettre au frais pour au moins 4 heures .

Flan à la noix de coco et au kiwi

Les ingrédients :

  • 3 kiwis
  • 20 cl de lait de coco
  • 3 œufs
  • 50 g de sucre
  • 20 g de fécule de maïs
  • 20 g de noix de coco râpée

La préparation :

  1. Préchauffez le four à 180°C.
  2. Versez les œufs dans un saladier.
  3. Ajoutez le sucre et la fécule de maïs, mélangez au fouet.
  4. Ajoutez le lait de coco.
  5. Mélangez encore une fois.
  6. Épluchez les kiwis et coupez-les en rondelles.
  7. Répartissez 2 tranches de kiwi au fond de 4 ramequins beurrés.
  8. Versez la préparation à flan par-dessus.
  9. Répartissez le reste des rondelles de kiwi sur la préparation.
  10. Saupoudrez de noix de coco râpée, puis placez les ramequins dans un bain-marie.
  11. Enfournez et faites cuire 25 minutes.
  12. Laissez refroidir avant de déguster.